Un article sur un entrepreneur qui cartonne avec des films d’horreurs à bas budget :
« Alors qu’il était jeune producteur en galère, il a transformé Paranormal Activity, un thriller de found-footage de 2009 qui a coûté 15 000 $ et que tout le monde lui disait sans valeur, en une franchise mondiale de 890 millions de dollars. Il a utilisé les profits pour construire sa société de production, Blumhouse, en une usine qui a depuis réalisé près de 200 films et généré 5,7 milliards de dollars au box-office. »
Son secret ? Maintenir les salaires de tout le monde au minimum syndical (littéralement) et payer des pourcentages sur les profits :
« Pour maintenir des budgets bas, ce qui signifiait 5 à 8 millions de dollars à l’époque d’Insidious et signifie maintenant plutôt 10 à 12 millions de dollars, les principaux créatifs travaillent pour le minimum requis par les contrats syndicaux (…) en échange de bonus et de profits différés basés sur la performance du film. Plus les profits sont importants, plus le bonus est élevé. »
C’est du capitalisme classique. Ça permet de maximiser la prise de risque (les coûts fixes sont bas) et d’aligner tout le monde sur le résultat :
« C’est « parier sur soi-même », aime dire Blum. Le système, selon lui, donne aux artistes une liberté de création tout en les incitant à réaliser des œuvres qui résonnent auprès du public. »
En chiffres :
« Pour les réalisateurs, le tarif conventionnel signifie environ 300 000 $, une fraction de ce que les grands noms demandent ailleurs. Pour un acteur principal de Blumhouse, il s’agit d’environ 65 000 $ pour cinq ou six semaines de travail, même pour des stars habituées à gagner des millions par film. C’est le genre d’accord qu’Ethan Hawke, l’un des plus anciens amis de Blum dans le secteur, a accepté pour jouer dans les deux premiers de ses trois films Blumhouse—Sinister, The Purge, et The Black Phone—qui ont rapporté en tout 340 millions de dollars. Hawke, l’acteur de film indé par excellence, est maintenant un homme très riche. »
« Prendre des risques » ça veut aussi dire… faire pas mal de bides :
« La plupart des films Blumhouse ne sont pas des succès exponentiels comme The Purge. Rien qu’en 2023, Blumhouse a déjà sorti huit films, et à moins que vous ne soyez un fan d’horreur, vous n’avez pas entendu parler de la plupart. »
Quel est le job d’un producteur ? Il n’est pas capable de faire un film, mais sait identifier les talents :
« Blum dit qu’il serait un terrible artiste, mais il a un radar aiguisé et le courage de lui faire confiance au lieu des algorithmes. (« Je déteste les données », m’a-t-il dit.) Comme son père, il a un don pour repérer les talents. »
C’est lui qui a récupéré la licence pour le cinéma de FNaF, un jeu vidéo qui cartonne sur YouTube :
« La prochaine production Blumhouse/Universal, et très probablement sa prochaine franchise à un milliard de dollars, ouvre dans les salles le 27 octobre, juste à temps pour Halloween : Five Nights at Freddy’s. »
De ce que j’ai vu, les critiques ont assassiné ce film. Mais…
« Blum est déjà largement gagnant avant même l’ouverture du film : Il refuse de partager des chiffres précis, mais il dit que le film a plus que remboursé ses coûts de production juste avec la vente de ses droits de distribution en streaming et en salles. »
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