bonjour @marketingmania.fr

Avez-vous abandonné ce projet ?

Bonjour,

Il y a 5 jours, vous avez demandé Le Plan d’action pour devenir copywriter professionnel en 6 mois.

Mais vous n’avez pas encore pris rendez-vous avec nous pour rejoindre L’École des copywriters.

Je vois plusieurs possibilités :

👋 Soit vous avez décidé que ça n’est PAS pour vous.

Si vous avez regardé le plan d’action, et que le copywriting ne vous parle pas…

… tant mieux !

Vous avez creusé le sujet et vous pouvez faire une croix sur cette manière de gagner votre vie sur internet. Il y a plein d’autres chemins à explorer.

⏱️ Soit vous n’avez pas encore eu le temps de regarder le plan d’action.

Alors je vous encourage vraiment à prendre une vingtaine de minutes (ou moins si vous passez en vitesse x2) pour regarder le Plan d’action aujourd’hui.

Selon mon expérience, les gens qui réussissent sur internet sont ceux qui passent à l’action rapidement.

Pour cette raison, les liens vers le plan d’action et mes autres ressources ne fonctionneront plus à partir de demain à minuit.

Ne laissez pas passer cette opportunité juste parce que vous êtes trop occupé cette semaine. Regardez au moins les 5 premières minutes.

Ou parcourez la liste des copywriters que nous avons aidé ici.

🤔 Soit vous êtes intéressé, mais pas encore certain.

C’est parfaitement normal.

Les gens sur internet vous font toutes sortes de promesses.

Mais très honnêtement, j’ai un avantage injuste sur mes concurrents : le copywriting est une compétence en forte demande, qui vous permet de faire gagner de l’argent à n’importe quelle entreprise.

Et c’est pour ça que je peux vous garantir votre premier client en 6 mois, ou vous êtes remboursé à 100%.

Mais même comme ça, c’est normal d’avoir des doutes.

👉 Est-ce que c’est vraiment possible d’être payé plusieurs milliers d’euros pour écrire ?

Oui, et je décortique en détail une mission de copywriting à 5000€ dans cette vidéo.

👉 Est-ce que c’est vraiment possible d’apprendre le copywriting en 3 mois ?

Oui, et je vous montre comment vous allez faire dans cette vidéo.

👉 Et comment est-ce que vous allez trouver des clients ?

Je vous explique notre méthode étape par étape dans cette vidéo.

Avec ces ressources, vous pouvez voir que tout ça est réaliste… mais est-ce que c’est fait pour vous ?

Donc la prochaine étape, c’est de prendre rendez-vous avec nous pour discuter de VOTRE situation :

👉 Prenez rendez-vous pour découvrir si L’École des copywriters est faite pour vous.

À bientôt,

Stan

PS : rappel que toutes mes ressources expirent dans 2 jours. Regardez-les aujourd’hui !

PPS : autre rappel que les places sont limitées, parce que L’École des copywriters inclut de l’accompagnement par un coach en copywriting.

Si les places sont remplies, vous pourriez vous retrouver sur liste d’attente, sans savoir quand de nouvelles places vont s’ouvrir.

[BEST OF] Les biais du “biais du survivant” 🤪

Durée de lecture : 7 minutes.

Bonjour,

1. Le biais du survivant 🧪

Supposons que je retire toutes mes économies de mon compte en banque, et “j’investis” tout dans une petite crypto.

Sur les semaines qui suivent, cette crypto fait x100.

Boum ! J’ai instantanément fait fortune ! 🦍 🚀 🌕

Est-ce que ça prouverait que vous devriez investir toutes vos économies dans une crypto ?

Non, évidemment.

Même si le scénario décrit plus haut était véridique (et vous pouvez trouver des gens qui ont vécu à peu près ça) – le problème est que j’ai pris un risque énorme.

Pour évaluer la stratégie “mettre toutes ses économies dans une crypto”, il faudrait aussi inclure tous ceux qui ont fait la même chose, et qui ont perdu.

C’est ce qu’on appelle “le biais du survivant”.

Définition Wikipedia :

“Le biais des survivants est une forme de biais de sélection consistant à surévaluer les chances de succès d’une initiative en concentrant l’attention sur les sujets ayant réussi mais qui sont des exceptions statistiques (des « survivants ») plutôt que des cas représentatifs.”

Et un exemple, qui est plus parlant :

“En architecture également, les bâtiments de plus de cent ans encore debout donnent une fausse impression de « qualité de la construction d’antan » alors qu’ils ne représentent qu’une infime part de ce qui a été construit depuis l’invention de la construction, le reste s’étant écroulé ou ayant été démoli.”

2. Les subtilités du Biais du survivant 🤔

“Mais Stan, ce n’est pas justement ça que tu fais dans tes vidéos ?”

Mes vidéos analysent des gens / entreprises à succès pour en tirer des leçons marketing.

Évidemment, je n’analyse pas de gens n’ayant PAS de succès, puisque ça n’aurait pas grand intérêt.

Alors est-ce que ça veut dire que je tombe dans le biais du survivant ?

Oui et non.

D’abord, c’est évident qu’il y a un biais dans la sélection de mes sujets :

Ils ont du succès
Il y a quelque chose d’intéressant à dire sur eux

Ça veut dire que mes analyses sous-estiment les chances de réussir en faisant quelque chose qui n’est PAS particulièrement intéressant à analyser.

Par exemple, je peux analyser le succès d’un groupe comme PNL, qui a une stratégie marketing intéressante (en plus de la qualité musicale que vous pouvez leur trouver) – mais je n’ai rien à dire sur un artiste qui fait JUSTE de la bonne musique, sans innover dans son marketing.

Donc, si mes vidéos vous font tirer la conclusion que “la seule chose qui compte dans la musique, c’est d’être fort en marketing”, alors vous êtes tombé dans l’erreur du Biais du survivant :

vous oubliez qu’il y a un filtre invisible qui a éliminé de ma sélection les artistes “fort musicalement mais inintéressant niveau marketing”
vous oubliez que les artistes qui sont complètement nuls musicalement ne réussiront sans doute jamais (quel que soit la qualité de leur marketing), et donc sont aussi éliminés de ma sélection

Mais si je ne prenais pas en compte le Biais du survivant, mes analyses n’auraient aucun intérêt :

“Devinez quoi : The Rock fait de la muscu !

Elon Musk mange des œufs à la coque au petit déj’ !

Jeff Bezos change de slip tous les jours !”

Évidemment, ces observations n’auraient aucune valeur.

Donc que que j’essaie de faire dans mes analyses et comprendre la différence entre les gens / entreprises qui cartonnent et ceux qui échouent.

Parfois, cette comparaison est explicite. Par exemple, dans ma première vidéo sur Gilette, je comparais leur pub avec celle d’une autre entreprise qui avait mieux géré la même situation.

Mais le plus souvent, elle est implicite. Je me demande “qu’est-ce qui rend cette personne unique, et la différencie de ceux qui réussissent moins bien ?”.

3. Le biais du survivant n’est pas un contre-argument général 🖐

Ces 3 commentaires, pris au hasard, viennent de 3 vidéos complètement différentes.

Mais il en ressort la même idée : le “biais du survivant”, (tel que ces personnes le comprennent), est utilisé comme contre-argument général face à tout conseil.

“Tu dis qu’il faut travailler dur pour réussir ?

Bah ! Biais du survivant !

Tu oublies tous les gens qui ont travaillé dur et échoué !”

Ce raisonnement est illogique.

Travailler dur (dans cet exemple), peut être une condition nécessaire mais non suffisante pour réussir :

Nécessaire : si on observe que tous les gens qui ont réussi au delà d’un certain niveau ont travaillé dur, alors on peut en déduire que c’est une condition nécessaire
Non suffisante : c’est évident que si vous travaillez dur, mais sur une mauvaise idée, vous n’allez pas réussir !

Donc dire “il faut travailler dur pour réussir” n’est pas la même chose que dire “il SUFFIT de travailler dur pour réussir”.

Mais ces commentateurs confondent les deux. Ou font semblant de confondre…

4. La voie de la facilité 🐥

A mon avis, ces gens commettent une de deux erreurs :

a. Ils cherchent des excuses pour leurs échecs.

“Certaines personnes qui travaillent dur échouent quand même.

=> Donc travailler dur ne garantit pas le succès.

=> Donc il faut avoir un coup de chance pour réussir.

=> Donc si je n’ai pas de succès, c’est juste que je n’ai pas de chance.

=> Donc je n’ai pas besoin de changer ma mentalité ou mon comportement.”

Pratique, n’est-ce pas ?

Vous n’avez pas à avoir de regrets si vous avez échoué quelque chose. Vous n’avez jamais à sortir de votre zone de confort. Rien n’est jamais de votre faute.

Et cette excuse est super efficace, parce que…

… c’est VRAI que la chance joue un rôle énorme dans le succès !

Mais encore une fois, il s’agit d’une “condition nécessaire mais non suffisante”.

Certes, toute personne qui a spectaculairement réussi (comme les Kardashians ou The Rock) a bénéficié d’un super timing, des bonnes rencontres, d’être née au bon endroit au bon moment, etc…

Mais ils ont aussi pris des milliers de bonnes décisions pour 1) se mettre dans une situation où la chance pouvait les trouver et 2) capitaliser sur ces opportunités.

Admettre qu’ils ont aussi eu de la chance ne vous empêche pas d’apprendre de leur stratégie et de leurs décisions – pour vous aussi créer la chance* dont vous allez avoir besoin.

* Sur la question de la chance, voilà le grand débat philosophique : Si réussir votre carrière est l’équivalent de jouer à un loto qui est gagnant une fois sur 100, quelle est la fréquence des tirages ?

Les gens qui vous disent “c’est juste de la chance”, semblent opérer sur un modèle mental ou tout le monde est tiré au sort une fois, à l’âge de 18 ans – et si votre ticket n’est pas gagnant, vous êtes cuit.

De mon côté, j’opère sur un modèle mental où chaque vidéo, chaque rencontre, chaque projet est un nouveau ticket de loto. Si vous générez des dizaines de tickets chaque année, tôt ou tard vous tomberez sur un gagnant.

b. Ils exigent un niveau de certitude inatteignable

“On ne peut pas savoir à 100% pourquoi quelqu’un a réussi.

On n’a pas toutes les informations.

On n’est pas dans sa tête.

On ne sera jamais exactement dans la même situation, pour répliquer ce qu’il a fait”.

Vrai sur tous les points.

Et alors ?

Le but d’étudier des gens à succès n’est pas de pouvoir écrire un papier dans une revue scientifique qui “Prouve À 100% La Stratégie De Succès Qui Marche À Tous Les Coups”.

Parce que c’est impossible.

Le monde est trop compliqué pour ça. Chaque personne que vous étudiez est vaguement similaire à vous sur certains points, et très différents sur d’autres.

On ne peut pas faire une expérience rigoureuse de ce qu’il serait arrivé aux Kardashian sans leur sextape, ou cloner Arnold Schwarzenegger pour voir s’il réussirait aujourd’hui.

Aucune stratégie ne marche à tous les coups. Personne ne peut vous garantir, sans l’ombre d’un doute, que vous allez réussir si vous faites X.

Alors exiger une parfaite certitude est un moyen déguisé de justifier son inaction :

“Personne ne peut me prouver par A + B comment réussir, donc je ne vais jamais rien essayer.”

5. Reconnaître les schémas 📊

Le mieux que vous puissiez faire, dans notre monde incertain, est d’estimer la bonne réponse :

“J’ai étudié 50 personnes à succès, et j’ai remarqué qu’ils ont généralement une vision inspirante du futur, qui inspire les gens à les suivre.

Donc avoir une vision inspirante va probablement m’aider à devenir un leader dans mon domaine.”

Vous ne pouvez pas fonder votre stratégie sur un seul exemple. Mais si vous continuez à emmagasiner des études de cas, vous allez voir des tendances générales se dégager.

C’est ce que les américains appellent le “pattern recognition” : reconnaître des schémas qui se répètent.

C’est imparfait, mais c’est le meilleur outil à notre disposition.

L’alternative est de ne rien apprendre et de ne rien faire.

6. Les mécanismes de défense mentaux 🛡

Le Biais du survivant n’est qu’un exemple d’un mécanisme de défense mentale.

On a tous ces réactions instinctives de notre cerveau, qui cherche à maintenir le statu quo :

“Je ne suis pas le genre de personne qui fait X.”

“Ça ne marchera pas pour moi.”

“Si je ne suis pas sûr à 100% que ça va marcher, ça ne sert à rien d’essayer.”

Ces mécanismes sont nécessaires : ils nous protègent au quotidien. Sans eux, nous tomberions dans toutes sortes d’arnaques et sectes religieuses.

Mais, comme un antivirus un peu zélé, parfois ils bloquent des programmes qu’on aurait bien voulu installer.

Je suis tout aussi victime de ces blocages que n’importe qui.

Prenez cet exemple : je voudrais devenir meilleur en yoga.

Mais “je ne suis pas le genre de mec qui s’inscrit à un stage de yoga”.

C’est plus facile de pratiquer avec des vidéos que de risquer d’avoir l’air ridicule en public.

Mais si je suis honnête, je sais très bien que le stage me fera progresser plus vite.

Et ce genre de contre-argument marche pour absolument tout ce qui me donne un peu d’anxiété :

“Je ne suis pas le genre de mec qui fait de la moto.”

“Je ne suis pas le genre de mec qui va à ce type de soirée.”

“Je ne suis pas le genre de mec qui poste sur TikTok.”

Donc il est important de ne pas vous reposer sur un “contre-argument général”, et de vous demander :

“Et si je m’inscrivais à ce stage de yoga ? Que se passerait-il ?”

“Et si je suivais ce conseil, qui est en dehors de ma zone de confort ?”

“Est-ce que ça vaut le coup de tenter, même si je ne suis pas sûr que ça marche ?”

À bientôt,

Stan

Sa première semaine en tant que copywriter (inoubliable)

Voici Léa :

Elle risque de se rappeler longtemps de sa première semaine en tant que copywriter…

Léa est encore étudiante lorsqu’elle démarre le copywriting.

Son objectif est de générer un complément de revenu.

Mais son profil est loin d’être idéal :

Elle manque de temps (elle est étudiante et compte bien décrocher son diplôme)
Elle est jeune et n’a encore jamais facturé de mission
Elle se pose des tonnes de questions :
- Comment se vendre en tant que copywriter ?
- Comment trouver son premier client ?
- Comment le closer ?
- Comment réussir tout un processus d’onboarding ?

Léa rejoint l’École des Copywriters et a le déclic :

“J’ai tout simplement fait une database de mes clients potentiels et j’ai envoyé 30 mails en une semaine.”

Et…

“Dès lendemain, j’avais déjà quelqu’un qui avait booké pour parler avec moi. Et au final, c’est devenu mon premier client.

Donc, on peut dire que j’ai trouvé mon premier client en une semaine de prospection.”

Léa finit sa première semaine en tant que copywriter avec un client, qu’elle facture 2500€.

Et ça ne s’arrête pas là :

“Grâce à ma présence sur LinkedIn, j’ai eu mon deuxième client.

Puis ça s’est enchaîné.

Et aujourd’hui, je ne prospecte plus du tout par mail. Je ne fais que du contenu LinkedIn et j’entretiens mon réseau.”

À la sortie de l’École des Copywriters, Léa est débordée de missions :

“J’ai eu la chance de ne pas avoir eu une seule semaine sans client.

J’ai entre 4000 à 5000 € de chiffres d’affaires par mois.

Pour les prochaines années, je compte passer à temps plein sur le copywriting.”

Pourquoi ça fonctionne si bien pour Léa ? Comment est-ce possible pour une étudiante sans revenu de remplir son calendrier de clients et signer au minimum 4000€ de CA par mois ?

Léa n’a pas de secret.

Elle a juste suivi méthodiquement une stratégie prouvée pour démarrer sa carrière de copywriter.

Tout est dans ce schéma :

Vous pouvez faire des pubs (mais allez dépenser des milliers d’euros sans certitude de trouver un client).

Vous pouvez faire du contenu (mais de quoi allez-vous parler ? Vous n’avez aucune expérience).

Vous ne pouvez pas faire de réseau (qui va vous recommander ? Vous n’avez pas de client).

✅ Commencez par de la prospection très personnalisée.

Pourquoi ?

Car personne ne vous connait et et que vous n’avez aucune crédibilité.

Envoyez ce type d’email à vos prospects :

“Bonjour Antoine 👋

J’ai adoré votre dernière vidéo YouTube sur la promenade sans laisse. J’ai essayé d’appliquer vos conseils avec mon chien et ça donne déjà des résultats !

Je vous envoie cet email car je suis copywriter et j’aide les entreprises à réaliser plus de ventes en ligne grâce à l’écriture persuasive.

Je me suis permis d’analyser votre page “[Insérer une page de vente du prospect]” et de vous faire 3 petites suggestions pour améliorer vos ventes :

[Insérer le lien de votre vidéo Loom]

J’espère que ça pourra vous aider 🙂

[Votre nom]

PS : Si ça vous intéresse que je m’occupe de votre copywriting, je serais ravi d’en discuter avec vous.”

Ici, vous cochez toutes les cases :

Le prospect ne vous connait pas MAIS… vous créez immédiatement une première connexion en expliquant que vous suivez son travail et appliquez ses conseils.

Le prospect ne vous fait pas confiance MAIS… vous lui apportez immédiatement de la valeur grâce à votre petite vidéo d’analyse.

Alors oui, tous les prospects ne seront pas si réceptifs et la plupart :

Ne liront jamais vos emails
Ne vous répondrons jamais
Ne seront pas intéressés

Mais multipliez cet email par 30 (comme Léa) et vous avez d’énormes probabilités de trouver un premier client.

Et une fois que vous avez votre premier client et une mission réussie, vous pouvez passer à la stratégie de réseau.

Demandez à votre client :

“Hello Antoine 👋

Est-ce que tu connais d’autres entrepreneurs qui auraient besoin des services d’un copywriter ?

Si oui, peux-tu me mettre en contact avec eux ? Merci 🙏”

Pas besoin de faire plus compliqué : 9 fois sur 10 votre client connait quelqu’un qui aurait “peut-être” un besoin et vous mettra en relation.

Et pour ce “quelqu’un” vous êtes :

Crédible (car vous venez de réaliser une première mission à succès)
Presque une connaissance (car vous venez de la part d’une personne de son réseau)

Répliquez ce processus avec chacun de vos futurs clients et vous avez les bases d’une solide stratégie d’acquisition.

À ce stade, vous avez deux options :

1/ Continuer de prospecter et faire jouer votre réseau : ça suffit pour obtenir 2 à 3 missions par mois.

2/ Faire comme Léa et commencer à créer du contenu.

Le contenu, c’est la méthode la plus confortable (mais lente) pour trouver des clients.

Vous publiez sur LinkedIn, Instagram, YouTube… (ou ce que vous voulez tant que vos prospects sont sur la plateforme).

Ça fonctionne car :

Vous parlez de votre expertise (le copywriting) et des expériences que vous avez vécu avec vos clients (vous êtes crédible)
Vous créez une relation de confiance avec votre audience (vos prospects ont l’impression de vous connaitre)

Quelqu’un qui suit vos publications pendant plusieurs mois n’aura aucun frein à travailler avec vous quand le moment sera venu.

Ce que vous devez retenir :

Trouver rapidement des missions de copywriting est possible.

Tout ce que vous avez à faire c’est :

1 – Envoyez des emails de prospection

2 – Puis demander des mises en relation

3 – Et (en option) créer du contenu

C’est exactement ce que vous allez apprendre dans l’École des Copywriters.

✍️ Dans 3 mois, vous serez devenu bon en copywriting.

🤝 Dans 6 mois, vous aurez signé votre premier client.

Les copywriters qui sortent du programme commencent généralement à 1500€ pour leurs premières missions.

👉 Prenez rendez-vous pour découvrir si L’École des copywriters est faite pour vous.

À bientôt,

Marc de l’École des Copywriters

PS : les places sont limitées, parce que L’École des copywriters inclut de l’accompagnement par un coach en copywriting.

Si les places sont remplies, vous pourriez vous retrouver sur liste d’attente, sans savoir quand de nouvelles places vont s’ouvrir.

Avez-vous abandonné ce projet ?

[BEST OF] Les biais du “biais du survivant” 🤪

Sa première semaine en tant que copywriter (inoubliable)

Comment trouver votre premier client en copywriting [expire le 26/11/2024]

Comment devenir un excellent copywriter en seulement 3 mois [expire le 26/11/2024]

[BEST OF] Comment faire la vidéo YouTube parfaite : une analyse en profondeur (vidéo) 📹