👋 Bonjour, pendant les 3 prochains jours, nous vous présenterons notre programme – destiné aux entrepreneurs web – qui vous enseignera tout ce que vous avez (vraiment) besoin de savoir pour utiliser l’IA dans vos processus quotidiens de marketing organique.

Contenu Intelligent c’est :

• Augmenter ses tâches avec l’IA : la méthode complète pour automatiser une tâche marketing avec l’IA
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• Études de cas : comment l’IA s’applique concrètement dans vos processus de création de contenu web
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• Les consultations : accéder à un expert pour répondre en vidéo à vos questions, jusqu’à la fin de votre vie (ou de la nôtre)
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• Vos exercices corrigés par un coach
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• 4 heures d’accompagnement individuel

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Fermeture des inscriptions dimanche 29 septembre à minuit.

Attention, les places sont limitées à 30.

Ou si vous n’êtes pas intéressé par ce lancement, il suffit de cliquer ici : « Je ne suis pas intéressé par ce programme ».​

Les 5 habitudes du travailleur intellectuel productif (à l’ère de l’IA)

1. Attribue la bonne tâche au bon cerveau

Le travailleur intellectuel productif ne prend pas lui-même ses notes de réunion, il/elle est entièrement présent(e) avec son ou ses interlocuteurs.

Il/Elle ne corrige pas ses typos en relisant ses écrits en partant de la fin.

Il ne passe plus 10 à 20 minutes chaque matin dans son calendrier pour planifier sa journée.

Tout ça peut déjà être fait par une IA.

Ces 3 exemples sont les plus courants et les plus simples, mais il y a une infinité de tâches qui ne nécessitent plus votre attention aujourd’hui.

Pour les identifier, pas de raccourci, il faut pratiquer ; c’est-à-dire avoir une idée, dénicher un outil, mettre au point un processus, le tester, casser et recommencer, jusqu’à trouver.

Ou vous pourriez sauter quelques étapes et nous soumettre votre idée dans les consultations hebdomadaires du samedi.

Oui chaque semaine vous pouvez poser toutes vos questions à l’équipe d’IA Mania, sans limite de question. Vous recevrez une réponse en vidéo le samedi.

2. Maintient une veille active sur les derniers (bons) outils et les problèmes qu’ils résolvent

Sur le papier, bien sûr que vous pourriez utiliser un processus rafistolé à la main avec ChatGPT pour manager votre calendrier et vous gagneriez sans doute quelques minutes ; mais Motion apprend tout seul vos habitudes pour vous proposer les meilleurs horaires de boulot et a l’avantage d’être incroyablement plus doué, simple et intuitif d’utilisation.

Vous pourriez payer des outils hors de prix (30€/mois) pour prendre des notes de réunion pour vous, une simple recherche Google vous proposera des dizaines de concurrents en tout points équivalents ; ou vous pourriez installer Hurd qui fait le travail localement, gratuitement, sans jamais enregistrer vos données et avec infiniment plus de personnalisation disponible.

Vous pourriez créer un prompt ChatGPT qui corrige vos typos, fautes de syntaxe, de grammaire, d’orthographe ou de ponctuation, tout en ne changeant pas un mot de ce que vous avez écrit, puis copier/coller le texte dans l’interface et le laisser agir, en espérant que votre texte ne soit pas trop long ; ou vous pourriez utiliser Reverso, le site web préféré des collégiens, maintenant stéroïdé à l’IA.

Vous pourriez payer 50€/mois pour un compte sur Jasper, parce que leur rocambolesque budget marketing a réussi vous faire croire que c’est l’IA de référence pour le copywriting ; ou vous sauriez que ce n’est qu’une interface qui utilise ChatGPT, et que la majorité des « fonctionnalités » de Jasper sont en fait des compétences qu’on vous enseigne dans GPT-Pro.

Je pense que vous sentez qu’on parle d’expérience ici.

Oui, nous avons fait toutes ces erreurs avant même qu’elles ne soient au stade de graines dans vos esprits.

C’est pour cela que nous avons instauré les consultations du mercredi, pour que vous ne les reproduisiez pas.

3. Prototype avant de se lancer

Les gens sous-estiment l’IA, parce qu’ils l’ont essayé rapidement en espérant qu’elle puisse lire leur esprit et leur donner exactement le résultat qu’ils avaient en tête.
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Invariablement, ça ne se produit pas, alors ils disent “l’IA c’est nul”.

Les travailleurs intellectuels productifs savent que les forces de l’IA résident dans la vitesse du macro et la qualité du micro.

En termes châtiés, ils savent qu’avec l’IA ils peuvent amener une idée du stade de graine de l’esprit à prototype palpable en peu de temps.

Ils peuvent tester plusieurs idées, les voir de leurs yeux, puis décider si elles valent la peine d’être creusées.

Imaginez être un rédacteur en chef d’un grand magazine et recevoir des dizaines de pitchs sur la table chaque jour, vous n’avez plus qu’à vous fiez à votre flair pour choisir celui qui fera mouche.
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C’est le processus que j’utilise pour écrire les newsletters que je vous envoie (presque) toutes les semaines.

C’est d’ailleurs un très bon remède contre la page blanche, maladie dont le travailleur intellectuel productif ne souffre jamais.

4. Doute de lui même

Le travailleur intellectuel productif demande une seconde opinion.

À ce stade vous comprenez et vous maîtrisez la conception de GPTs personnalisés.

Jamais dans l’Histoire il n’a existé de période où il a été si facile de poser une question à un expert.

Alors oui, ça ne sera jamais pareil que de demander à un humain, c’est pour cela que la hausse de performance n’est que de 40% (stat issue de l’étude de Harvard citée dans les mails précédents) et pas de 2000%, comme elle pourrait facilement l’être avec le bon mentor.

Quand le travailleur intellectuel productif termine un livrable, il parcourt le GPT-Store ou crée son propre GPT avec ses données personnelles (peut-être d’anciens livrables de l’entreprise qui ont fonctionné dans le passé) et demande une seconde opinion.
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Un GPT permet de chatter avec la donnée, et le travailleur intellectuel productif ne s’en prive pas, 40% de performance gagnée pour 5 à 10 minutes de temps en plus, c’est un bon investissement pour lui.

5. Sa possession la plus précieuse est son temps (et par extension celui de ses collaborateurs)

La dernière habitude boucle la boucle puisqu’elle est intimement connectée à la première habitude (déléguer ce qui doit être délégué).

Le travailleur intellectuel productif est toujours à l’affût d’une économie de temps, sa seule ressource non-renouvelable.

Pour lui, l’IA est une arme de plus à son arsenal, de plus il respecte le temps des autres et est apprécié pour cela.

Lorsqu’il sait qu’une session brainstorming avec l’équipe est annoncée, il s’isole rapidement pour brainstormer en avance avec l’IA de son choix.

Il apporte ainsi les idées les plus originales, et fait gagner temps et qualité à la discussion.

La cerise, il amène avec lui des images pour illustrer ses idées, et même une vidéo, pour permettre à l’équipe de rebondir plus rapidement.

Temps investi pour être la superstar du bureau : 15 minutes.
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Les soirs d’afterwork, le travailleur intellectuel productif ne paie jamais sa bière.

Conclusion

En fait, si on ne devait garder qu’une habitude de la liste (⅕=20%) qui vous obtiendrait la majorité (80%) des résultats, ce serait la première “identifier quelle tâche nécessite du temps humain”.

Si vous en faites une habitude systématique dès aujourd’hui, alors vous n’aurez pas lu ce long mail pour rien.

J’espère que cette liste vous fera réaliser toute la dimension de la phrase “vous ne serez pas remplacés par une IA mais par quelqu’un qui utilise l’IA”.

Durant mes recherches j’ai aussi trouvé cette citation de Sam Altman : “les prochains milliardaires seront seuls dans leurs chambres avec ChatGPT.”

Bon on sent que le mec a un truc à vendre, on y est pas encore et on n’y sera pas tout de suite, mais vous pouvez quand même tenter votre chance.

Si vous n’êtes pas déjà un (ou une) travailleur intellectuel productif (ou que vous sentez que vous pouvez encore progresser)…

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