On entend à peu près tout et n’importe quoi sur l’intelligence artificielle. Certains ont fait croire aux créateurs qui débutaient qu’ils pouvaient maintenant pondre tout leur contenu automatiquement en utilisant des outils d’I.A., et qu’ils n’avaient plus besoin de s’enregistrer ni de rédiger q…
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On entend à peu près tout et n’importe quoi sur l’intelligence artificielle :
Certains ont fait croire aux créateurs qui débutaient qu’ils pouvaient maintenant pondre tout leur contenu automatiquement en utilisant des outils d’I.A., et qu’ils n’avaient plus besoin de s’enregistrer ni de rédiger quoi que ce soit par eux-mêmes.
Avec l’état actuel des outils qui existent, ils obtiennent des contenus qui sont ce que j’appelle des « contenus de stagiaire ». On a l’impression qu’ils ont été créés par un mauvais étudiant.
Et même si on utilise tous les prompts possibles et imaginables – j’ai passé un temps fou à en essayer et à en optimiser des tonnes, j’ai discuté avec des experts là-dessus, etc. – il n’y a PAS MOYEN, dans l’état actuel des choses, d’obtenir des contenus qui sont directement publiables sans intervention humaine (en tous cas en langue française : ces outils-là sont souvent meilleurs en anglais).
Par contre, il y a des usages de l’intelligence artificielle qui sont de nature à transformer de façon radicale la vie des créateurs.
Par exemple :
J’ai un catalogue de plus de 400 formations que j’ai créées au fil des ans, qui, pour la plupart ne sont plus commercialisées aujourd’hui parce que j’en ai lancé tellement que j’ai un peu perdu la trace du contenu qu’il y a dans chacune d’entre-elles.
À un moment, j’avais même embauché quelqu’un pour regarder ces formations et me faire des fiches en m’indiquant ce qui était devenu obsolète dans chacune d’entre-elles. Il listait tous les outils dont je parlais à tel ou tel module, pour que je puisse savoir si les infos que j’y fournissais étaient encore à jour, et donc si je pouvais donc continuer ou non à les commercialiser.
Ça m’a coûté de l’argent et ça prenait un temps fou… Et je crois que moins de 5 ou 10 % de toutes les formations ont été traitées de cette façon-là.
J’ai aussi un autre problème : toutes les formations de mon catalogue n’ont pas forcément une bonne page de vente (certaines n’en ont même pas…), parce qu’il y a des périodes entières pendant lesquelles je faisais des vlogs ou des podcasts dans lesquels je présentais directement mes produits, sans passer par la rédaction d’une page spécifique.
Par conséquent, si je veux relancer d’anciennes formations aujourd’hui, j’ai donc parfois besoin de créer une toute nouvelle page de vente, de rédiger de nouveaux e-mails de lancement, etc.
Et je n’ai pas envie de devoir passer des heures à regarder en boucle tous mes anciens produits en prenant des notes pour savoir quels arguments et quels angles je pourrais utiliser pour le faire…
Ce que je fais donc aujourd’hui, grâce à l’intelligence artificielle, c’est que je charge la formation sur un outil de transcription qui s’appelle HappyScribe.
Je demande ensuite à une I.A. :
« Fais-moi la liste de tous les outils, de tous les services, de tous les sites que je cite dans ce transcript. »
Et il me fournit une liste hyper détaillée.
Pour rédiger les bénéfices d’une page de vente, j’utilise aussi le même système :
Les outils d’I.A. actuels ne savent pas rédiger des bénéfices convaincants de zéro. Mais ce qui aide énormément, c’est de leur demander quelque chose comme :
« Trouve dans ce transcript les 20 idées, astuces ou hacks qui sont les plus étonnants, les plus surprenants et les plus choquants. »
Et tu vas te trouver avec une liste d’éléments qui sont de nature à susciter la curiosité des membres de ton audience, sur la base desquels tu rédiges ensuite une liste de bénéfices persuasives, dans ton propre style.
Et sans devoir regarder ta formation en boucle pour pouvoir les identifier…
Et en ce qui concerne la vidéo, il existe aujourd’hui des outils avec lesquels il suffit d’éditer le texte d’un transcript… et le montage vidéo se fait automatiquement. Si tu retires une phrase ou un mot dans le texte, l’outil le retire aussi sur ta vidéo.
C’est comme ça que je fais le montage de mes vidéos actuelles, et c’est ce qui me permet d’en publier quasiment quotidiennement, en plus de tout ce que je crée à côté.
Tu peux aussi demander à l’I.A. d’enlever les silences dans ta vidéo, de corriger les répétitions et les reprises, de rendre ton discours plus clair, et encore beaucoup d’autres choses…
Le problème, c’est que ça ne marche pas toujours. Il y a certaines de ces fonctionnalités-là qui ne sont pas encore au point : ça demande donc d’optimiser son process de montage pour le rendre performant malgré l’état actuel -imparfait- des outils basés sur l’I.A.
Dans la formation que je lance cette semaine, j’ai inclus tout un module dans lequel je te montre mon propre process de montage basé sur cette approche.
C’est ici :
« Décoller sur YouTube en 30 jours sans montrer sa tête »
Tu n’auras plus besoin d’utiliser des outils comme Premiere ou comme Final Cut. L’intelligence artificielle permet d’obtenir des vidéos publiables en un temps record, sur la base de tes rushs.
L’objectif de cette formation, c’est aussi de t’apprendre toute ma méthode pour faire des vidéos YouTube sans montrer sa tête, et de décoller sur YouTube.
Tu vas obtenir un système intégral, qui contient tout : à la fois le montage, à la fois les systèmes pour trouver des sujets de vidéos impactants, les méthodes pour décoller sur YouTube sans montrer sa tête, les structures qui permettent à tes vidéos d’être vues, les workflows, l’organisation…
Bref, tous les éléments nécessaires pour décoller rapidement sur YouTube de la façon la plus simple qui soit : sans se montrer, juste en filmant des petites balades. Et en utilisant l’intelligence artificielle pour faire le montage.
Je te propose de regarder la vidéo de présentation qui explique tout ça en détail :
« Décoller sur YouTube en 30 jours sans montrer sa tête »