Vous aviez manifesté un intérêt pour GPT-Pro, la formation qui vous aide à écrire 2x plus vite avec l’IA en 2023, depuis l’IA a avancé, et vite.
Comme on pouvait le prévoir, de (très) nombreuses nouveautés sont arrivées.
Pour cette raison, nous avons entièrement mis à jour la formation GPT-Pro.
Parmi les nouveautés :
Des sections poussées sur le processus d’idéation avec l’IA
Utiliser les GPT pour écrire de meilleurs messages de vente
De nouvelles méthodes pour améliorer le style de vos écrits
GPT-Pro n’existe plus en formation unique mais est maintenant intégrée à IA Mania Pro, notreprogramme complet qui vous apprend tout ce qu’il y a à (vraiment) savoir pour utiliser l’IA au travail – en un endroit.
IA Mania Pro c’est :
GPT Pro : la méthode complète pour écrire 2x plus vite avec l’IA (entièrement remise à jour)
Imagine Pro : la méthode complète pour créer des visuels professionnels avec l’IA
8 semaines d’ateliers en direct pour pratiquer et poser vos questions [Rediffusions disponibles]
On va essayer de comprendre pourquoi en France, on ne tire pas encore les pleins potentiels de l’IA.
Ensuite, on va vous proposer quelques solutions.
1. L’IA, ça fait peur
Observez vos missions actuelles et le futur de votre industrie : sans nul doute, vous en arriverez à la conclusion que les IA génératives renégocient les manières de faire.
Tout particulièrement quand on est un travailleur intellectuel.
Définition : par opposition à travailleur manuel, personne dont l’activité fait surtout appel au discours et à l’abstrait – donc, 99% de nos lecteurs.
On sait que l’IA fait peur, le risque existentiel est présent : va-t-on participer à notre propre remplacement si on utilise les outils ?
Si vous nous lisez depuis un moment, vous savez qu’il n’y a aucun risque.
🚂 🚂 🚂 Le vrai risque se trouve dans le manque à gagner si vous ne saisissez pas le train en marche.
Vous ne serez pas remplacé par une IA, vous serez remplacé par un humain qui utilise l’IA.
L’IA est partout depuis plus d’une décennie mais ce n’est qu’aujourd’hui que le grand public la voit de ses yeux.
Ne pas se faire dépasser en matière d’IA, c’est avant tout l’affaire de votre propre posture vs les autres professionnels de votre industrie.
Régulièrement consommer du contenu, bidouiller avec les outils, échanger avec vos amis, confrères et collègues.
Pas versus l’IA, versus votre concurrent bien humain.
Si vous êtes un dirigeant de PME qui nous lit, êtes-vous dans les 3% ou les 12% ?
Les clé du succès ?
Des traits profondément humains.
L’esprit critique, l’esprit d’innovation, pour tirer le plein potentiel de ces outils… avant que :
Tout le monde s’y mette et qu’il n’y ait plus aucun avantage
La technologie ne se complexifie trop et rattraper son retard ne signifie invariablement un investissement vorace en temps et en ressources
Pour ce groupe, utiliser l’IA, c’est faire entrer le loup dans la bergerie.
Par exemple, des illustrateurs qui refusent de travailler avec des maisons d’édition sans charte claire contre l’IA.
Maisons d’éditions qui s’empressent d’aller travailler avec des illustrateurs qui maîtrisent Midjourney et font la différence entre expression artistique et payer son loyer.
Un cas très concret d’humains qui se font remplacer par le combo humain + IA.
Et non par une super-intelligence maléfique et avide de $$.
Qu’est-ce que ces 3 livres ont en commun ?
Leurs couvertures ont été faites avec l’IA.
Et pourtant, les auteurs avaient largement les moyens de se payer un artiste illustrateur.
Le premier a eu un grand prix de l’imaginaire.
Le second a écrit “Divergent” qui a été adapté au cinéma avec Jennifer Lawrence.
Et le dernier “Eragon”, qui a aussi eu droit à ses films blockbusters (nous sommes d’accord, ils étaient moins bons, même pour 2006).
D’ailleurs quelque chose me dit que l’IA était probablement un pitch pour faire payer plus.
Refuser d’y prendre part, c’est chercher à se préserver.
On comprend.
En fait, cela relève de la peur…
Le peur de ce qu’on ne connait pas et la peur de mal faire : les dirigeants expliquent qu’ils craignent que leurs collaborateurs n’utilisent les IA de travers.
Oui, la seule solution à cela, c’est de se former.
Vous travaillez, vous n’avez pas le temps d’aller chercher et expérimenter les dernières techniques d’IA.
Outre la peur, la majorité des dirigeants considère que l’intelligence artificielle générative, ce n’est pas pour eux.
Pas pour leur industrie, ni pour leur corps de métier, ni pour leurs collaborateurs.
Bref, pas pour eux.
Une conclusion malheureusement souvent liée à un manque de d’éducation professionnelle de la part de l’organisme employeur, mais aussi de curiosité de personnelle.
Tâches intellectuelles ne veut pas dire industries intellectuelles.
L’enjeu se joue à l’échelle individuelle.
Si vous êtes inscrits à cette newsletter, premier frein levé : vous êtes du bon côté de la barrière pour saisir les pleins potentiels de ces outils, quel que soit votre secteur d’activité.
Vous appartenez à cette bulle qui décide de s’intéresser à l’intelligence artificielle.
Comme vous, chez IA Mania, on cherche à l’explorer, à la démystifier, à la comprendre, un peu par passion mais surtout dans le but de gagner en productivité.
Mais ce n’est pas le cas de tout le monde : certains n’ont même jamais entendu parler des IA génératives (oui), ou ne savent pas que c’est possible de les utiliser.
Nous sommes descendus dans la rue pour demander aux français à quelle version de GPT nous étions, 5, 6, 7, ou 8 ?
Une seule personne, sur dix interrogées, a su nous répondre, et ce même malgré l’âge moyen bas des interrogés. (et vous, avez-vous la bonne réponse ?)
Comment progresser ?
C’est là que ça coince.
Ok, l’IA c’est cool, nous pouvons tous lire et recopier de merveilleuses statistiques à ce sujet.
Il faut en fait en comprendre les usages et l’application réelle.
4. L’IA, c’est trop de barrières à l’entrée
Pour tirer des bénéfices clairs de l’IA générative en matière de tâches intellectuelles… encore faut-il savoir l’utiliser.
Heureusement, pas besoin de reprendre les études pour devenir ingénieur.
On le voit clairement : le gap de productivité qui se trouve entre ceux qui utilisent l’IA et ceux qui n’ont pas appris à le faire, c’est la formation.
Une fois les compétences de bases acquises – les plus importantes, en réalité – ce gap diminue drastiquement.
Mais cela ne se fait pas si aisément : se former soi-même c’est une chose, former ses collaborateurs en est une autre.
Ensuite, les fonctions de base, ce n’est pas s’inscrire et attendre que ChatGPT nous comprenne immédiatement.
C’est bien plus itératif.
Et ça en refroidit plus d’un.
On essaye l’IA en espérant assister à un miracle de la nature, et ça nous donne un résultat lamentable.
On ne sait pas comment interagir avec l’IA, mais ce n’est pas ce qu’on se dit.
Ça n’est pas pour moi, pour mon industrie, ça fonctionne mal.
5. Ce qu’il faut, c’est d’abord de la connaissance, ensuite de l’accompagnement
C’est ce qu’on constate chez IA Mania.
C’est pour cela qu’on prend soin de décrypter les enjeux de l’IA et qu’on teste les outils.
Notre but est en fait de proposer d’acquérir les bonnes méthodes, pour vite s’améliorer et obtenir des résultats probants.
Quand on parle de résultats, on parle de :
temps dégagé pour se concentrer sur des missions à plus forte valeur ajoutée
pertinence dans les livrables produits
productivité
possibilité pour monter en compétences et être encore plus concurrentiel sur son marché
Et les usages sont vastes : aide à la rédaction, relecture, génération de contenus, recherche et veille, analyse des données, prospection commerciale, aide à la décision… cela va des tâches quotidiennes aux restructurations des opérations.
Le champ des possibles est large, suffisamment pour que tout le monde y trouve son compte.
En conclusion…
Tirer les pleins potentiels de l’IA, c’est 1) une affaire de posture et 2) de connaissance de base.
Des études montrent qu’une fois ces deux volets dépassés, les utilisations réussies des IA génératives ouvrent la voie à deux postures.
Les “centaures” : des travailleurs intellectuels qui délèguent leurs activités de création de solutions à l’IA
Les “cyborgs” : ils intègrent leur flux de tâches à l’IA et interagissent continuellement
De notre côté, on ne le répètera jamais assez : le vrai risque n’est pas de se faire remplacer, c’est de prendre un retard difficilement rattrapable.
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