Bonjour Anne Givaudan, vous allez bientôt publier un nouveau livre dont le titre est « Rencontre avec les êtres de la nature » alors d’abord on comprend bien que c’est une rencontre avec quelqu’un mais qui est ce quelqu’un, c’est qui ces êtres ?
Ces êtres de la nature, qu’on appelle aussi « le petit peuple de l’invisible » enfin petit ou grand, en tout cas le peuple de l’invisible ce sont tous ceux qui font partie de cette espèce d’univers « imaginaire » ou qu’on a cru imaginaire disons, qu’on relègue dans les bibliothèques des livres pour enfants.
Ce sont les elfes, les gnomes, les Dévas, les ondines, les salamandres, les fées, c’est-à-dire tous ces êtres qui font partie des éléments qui nous composent, des éléments qui composent la terre, à savoir :
L’air, le feu, la terre, l’eau et le 5ème élément qui est l’éther, et qui est aussi leur monde, qui est un monde éthérique.
Et c’est pour ça que souvent c’est un monde qu’on ne capte pas ou qu’on ne voit pas avec nos yeux physiques.
Et pourtant vous leur dédiez un livre… donc quelque part vous avez pu capter ce monde, n’est-ce pas ?
Effectivement, la chance que j’ai, c’est de pouvoir travailler sur les plans subtils avec ma pratique de décorporation, de voyage astral. Pour aller dans le monde éthérique, ce n’est pas tout à fait la même chose :
Effectivement, il y a toujours cette pratique de décorporation, de sortie hors du corps, mais on reste très proche de la matière physique.
Actuellement ce peuple de l’invisible, ce peuple de la nature, c’est un peuple qui demande à nouveau à nous recontacter.
C’est-à-dire qu’il le faisait autrefois puisque, il y a des personnes comme j’ai écrit dans le livre (Ndlr : Rencontre avec les êtres de la nature)
Socrate, Paracelse, qui connaissaient et qui avaient des contacts avec ces être-là.
Un peu plus tard dans notre époque il y a aussi Steiner qui en parle, il y a aussi Omraam Mikhaël Aïvanhov, il y a les amérindiens qui en parlent.
Il y a les peuples proches de la nature évidemment qui en parlent aussi.
Ce qui s’est passé pour moi c’est que, à un moment donné, j’ai senti qu’il y avait ce contact et comme à chaque livre, je ne décide pas du sujet ; ce sujet m’est proposé…
Et là, l’Etre avec lequel je travaille pour tous les livres depuis le début, donc depuis de nombreuses années, m’a demandé si j’étais d’accord pour pouvoir rentrer en contact avec le peuple de la nature, avec ces Etres-là.
Et ça m’a complètement ravie parce que je n’ai aucun doute sur leur existence mais je n’avais jamais eu de vrais contacts avec eux, à part des contacts épisodiques.
Donc j’étais contente de pouvoir me dire que j’allais en savoir un peu plus moi aussi.
Vous venez de dire que ces êtres veulent nous recontacter…
Eh bien pourquoi est-ce que nous avons perdu le contact avec eux ?
Ou alors peut-être qu’ils ont interrompu les contacts, et en ce cas pourquoi est-ce qu’ils veulent maintenant nous recontacter ?
Alors justement ce qu’ils m’ont expliqué c’est qu’à une époque ils étaient connus.
Il y avait une grande collaboration avec l’être humain.
Et puis l’être humain est devenu de plus en plus matérialiste et a commencé à ne plus vouloir que se servir d’eux plutôt que de collaborer avec eux.
Et à ce moment-là eux-mêmes ont décidé de se retirer et de continuer leur travail auprès de la nature.
Parce qu’ils ont un travail qui est extrêmement important en fait et dont on ne se doute absolument pas, ou en tout cas dont la plupart d’entre nous ne se doute pas.
Et à un moment donné donc, ils ont décidé de s’éloigner de l’humain, à part quelques-uns d’entre eux qui sont restés encore proches des hommes ou qui les guident encore.
Au moment de l’aire industrielle, toute la religion aussi a posé de grands problèmes parce que tout ce qui n’était pas connu ou marqué dans les évangiles, ou marqué disons, dans les écrits religieux était considéré comme diabolique.
Par exemple au moment de l’Inquisition au Moyen-Âge, beaucoup de personnes ont été brûlés parce qu’elles disaient avoir des contacts avec ces êtres de la nature.
Donc il est évident que devant ce danger-là, petit à petit, les portes se sont fermées et les contacts se sont espacés.
Actuellement nous sommes dans une période où la terre est en train de s’éthériser, ça veut dire que nous captons de plus en plus leur monde et en même temps, eux-mêmes ont envie.
D’ailleurs ils expliquent bien que ça n’est pas un besoin ; « nous n’avons pas besoin de votre monde, vous n’avez pas besoin du nôtre », mais actuellement c’est le moment d’une collaboration.
C’est-à-dire que tous les êtres en fait qui vivent sur cette planète qu’ils soient visibles ou non, puissent collaborer pour créer une nouvelle planète et que vraiment cette planète soit une planète où tous ces règnes-là soit en communication.
Et pour eux c’est important qu’on puisse à nouveau rentrer en contact avec eux, et qu’eux rentrent en contact avec nous.
Et alors ils m’ont dit, notamment le premier qui était le lutin qui m’a expliqué dans ces messages que, si beaucoup d’entre eux ne sont pas rentrés en contact avec nous depuis longtemps c’est parce que nous avons une aura qui dégage des odeurs qu’eux sentent et que ces odeurs leur sont très difficiles à supporter.
C’est une anecdote évidemment, il y a beaucoup d’autres choses dedans mais c’était amusant d’entendre ça parce que c’est vrai qu’on n’a pas l’impression de dégager d’odeur désagréable !
Alors on je leur ai dit : « est-ce que c’est une odeur corporelle ? » mais ils disent : « pas du tout » c’est une odeur au niveau du psychisme et de ce qui se dégage des couleurs qui sont autour de vous et qui nous éloignent.
Et c’est pour ça qu’en général on contacte les enfants et quand ils commencent à avoir les mêmes odeurs à ses couleurs, on commence à s’éloigner d’eux aussi.
Alors ils veulent nous recontacter mais qu’est-ce qu’on peut faire pour rentrer en contact avec eux, à part laver notre aura ?
Alors déjà savoir que nos pensées peuvent les perturber parce qu’ils n’ont pas les mêmes protections que nous.
Disons que nous entre nous, on a une densité qu’eux n’ont pas, donc ils sont beaucoup plus atteignables par les pensées que nous émettons, et c’est une difficulté.
Par contre le fait de savoir qu’ils existent, de mieux les connaître, de mieux les comprendre, de comprendre leurs mœurs et leur rôle aussi, le rôle important qu’ils jouent, fait que quand nous sommes en contact avec un des règnes de la nature…
Par exemple quand nous sommes en contact avec l’eau, quand nous sommes en contact avec la terre ou avec l’air ou avec le feu, savoir que derrière il y a tous ces êtres qui contribuent à faire que la terre est comme elle, et que les plantes poussent par exemple…
Quand les gnomes disent :
« Bon, on garde des endroits sacrés de la Terre, mais en même temps certains d’entre nous sont là pour aider à la pousse des plantes. C’est-à-dire que si nous n’étions pas là pour dynamiser les racines ou pour nous en occuper, vous n’auriez pas de végétation ».
Si les ondines n’étaient pas là pour redynamiser l’eau ou pour faire en sorte qu’il y ait de l’eau à la surface de la terre, on aurait beaucoup plus de désertification.
Donc on ne se rend absolument pas compte, je crois, de leur travail et heureusement qu’il y a des êtres, par exemple, qui ont pu rentrer en communication comme à Findhorn, que je cite aussi (Ndlr : dans le livre) et qui montre bien comment on peut collaborer, comment dans un endroit désertique on peut arriver à faire pousser des plantes extraordinaires quand on est à l’écoute des conseils qu’ils peuvent nous donner.
Et ce qu’ils me disent, par exemple, c’est que c’est dommage que les personnes sur terre s’occupent de la pollution, s’occupent d’essayer de jardiner mieux, s’occupent de produits biologiques, et ne pensent pas à nous contacter pour nous demander comment on pourrait faire pour que ce soit mieux.
Et donc comment est-ce qu’on pourrait les contacter ?
Puisque on ne les voit pas déjà, et on les entend pas non plus !
Déjà le fait de penser qu’ils peuvent exister va créer une collaboration et va créer le fait qu’ils vont pouvoir ou nous donner des messages, ou on aura des pensées ou des idées qui vont venir et qui vont nous permettre de pouvoir aller dans le sens ou d’écouter leurs conseils.
Même si ça n’est pas des paroles, même si on ne les voit pas complètement, mais ce que je voulais dire c’est qu’on les voit de plus en plus.
Justement dans le livre, j’ai mis des photos que des personnes m’ont envoyées et des photos étonnantes.
Et il y a aussi le phénomène par exemple des orbes qu’on connaît de plus en plus…
Au début, ce qui s’est passé pour moi par exemple, n’en connaissant pas l’existence – de ces cercles – je n’en avais aucune. Mes photos étaient complètement normales.
A partir du moment où j’ai commencé à savoir que ça existait, et qu’on pouvait prendre des photos et avoir sur ces photos des cercles lumineux avec différentes images à l’intérieur, j’ai commencé à avoir ces phénomènes d’orbes.
Quand avec Antoine nous en avons parlé à nos stagiaires eux-mêmes ont essayé et ceux qui avaient des photos tout à fait normales ont commencé aussi à les capter.
Ce qui veut dire que quand on commence à se dire qu’une chose existe, elle finit vraiment par exister pour nous, et par rentrer en contact avec nous…
Donc on traverse cette dimension.
Et le monde s’éthérisant, c’est de plus en plus facile effectivement d’avoir des contacts avec ces êtres de la nature.
Et à la fin du livre d’ailleurs, je mets trois ou quatre témoignages mais j’en ai reçu beaucoup plus avec des personnes qui n’en parlaient pas mais qui les ont vu au moins une fois ou plusieurs fois ; des personnes complètement différentes, de différents pays, qui n’y croyaient pas forcément au départ d’ailleurs.
Donc ça veut dire que ce petit peuple va devenir de plus en plus des collaborateurs disons, à condition effectivement qu’on leur laisse cet espace.
Sinon que va-t-il se passer ?
C’est qu’ils vont continuer leur travail avec ou sans nous.
Mais il y a une dimension qui nous manquera complètement et on finira par se cogner contre un mur si on continue à, par exemple, vouloir nettoyer la terre ou vouloir faire de l’écologie sans tenir compte des êtres qui travaillent sur cette terre.
Donc quel est votre conseil?
Mon conseil c’est vraiment de commencer à se dire que nous ne sommes pas seuls et que même s’il y a des êtres que nous ne voyons pas, ils sont à côté de nous.
Ils sont près de nous, ils nous donnent des conseils et quelquefois d’ailleurs ils nous perturbent aussi.
Parce que par exemple dans le règne des gnomes ou des lutins…
Il y en a qui sont facétieux et facétieux ça veut dire qu’ils n’ont pas du tout la même morale que nous.
Ne pas avoir la même morale, ça veut dire que ce qui nous agace peut très bien les faire rire beaucoup et que, il y a des journées complètes où on va passer son temps à perdre des affaires… à avoir des obstacles… la voiture qui ne démarre pas… enfin et cætera, et eux se nourrissent, enfin se servent plutôt, de nos formes pensées qu’on émet à ce moment-là pour pouvoir en rajouter encore…
Parce que c’est quelque chose qui leur est inconnu. Donc nous voir ou rire, ou être en colère, ou être en prise avec des émotions qu’ils ne connaissent pas ça les fait quand même rire – plutôt les lutins, c’est surtout leur domaine à eux.
Alors ça peut paraître fantaisiste ce que je dis là mais on les verra de plus en plus et je suis sûre qu’il y aura de plus en plus de photos, pas simplement des dessins ou des croquis qui vont pouvoir montrer leur existence
Quel est le plan qu’il y a derrière tout ça, de leur part, le fait de vouloir recontacter une espèce qui s’est avérée incapable de s’occuper de soi-même, de la terre etc., il y a donc un espoir, il y a donc quelque chose derrière ?
Alors complètement !
C’est-à-dire qu’ils sont en train de se dire que s’ils arrivent à collaborer, nous avec les capacités qu’on a, avec nos connaissances, et eux avec leur savoir-faire, on va arriver à créer une nouvelle planète mais qui sera une planète d’unité, où les plantes seront « vivantes », pourront nous parler comme ce que je peux voir moi, par exemple, sur le plan les plans subtils.
Quand j’arrive dans une nature astrale, par exemple, tout est « vivant » c’est-à-dire que la moindre plante va se redresser sur mon passage, pas parce que je l’ai touché, mais parce qu’elle a une vie autonome.
Et on commencera à vivre dans une planète qui aura une dimension complètement différente et où tous les règnes vont collaborer, c’est-à-dire le règne animal par exemple.
Les gnomes, ce sont des petits êtres qui vont s’occuper de la nature mais qui vont s’occuper aussi des animaux sauvages, qui contribuent à leur guérison.
Et quand on sera conscient de tout ça on aura plus du tout la même vision de notre monde, on ne sera plus séparés. On sera complètement dans l’Unité.
On dirait un Paradis perdu qu’on a une chance de regagner…
Ah moi je trouve ; en tout cas une étape de ce Paradis, c’est sûr !
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