Mix #74 : Confessions d’un fétichiste des calendriers (+ combien m’a rapporté mon livre ?)

Durée de lecture : 7 minutes.

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👇 Au programme de cette édition :

Confessions d’un fétichiste des calendriers 📅
Combien m’a rapporté mon livre ? 📖
La véritable histoire de l’IA 🤖
Le business juteux des chatbots romantiques 🤤
Il est passé de 1300 à 38 000 abonnés avec CETTE vidéo (analyse) 🚀

✍️ Confessions d’un fétichiste des calendriers

Pendant 2 ans de ma vie, je n’avais qu’une seule obsession : intégrer une grande école de commerce.

Et pourtant, le jour où j’ai eu le résultat des concours, je n’ai pas ressentit la jubilation que j’espérais.

J’avais atteint mon objectif… mais rien n’avait changé.

C’est souvent ce qu’il se passe, quand vous atteignez un objectif.

Dépasser les 10k€/mois.

Avoir 100k abonnés sur YouTube.

Devenir millionnaire.

Publier votre premier livre.

Ce sont des beaux accomplissements dont vous pouvez être fier. Mais le lendemain matin, vous mangez les mêmes Chocapics au petit déj.

Donc j’ai décidé de fixer un nouveau type d’objectif.

J’ai commencé à rêver à ma journée parfaite.

Et mon but est d’arriver au point où je peux vivre cette journée parfaite, tous les jours.

Créer votre journée parfaite est plus difficile que ça en a l’air.

Votre premier instinct est peut-être de vous dire “je me lèverais à midi, je passerais l’après-midi à la plage, puis je mangerais dans un bon resto avec mes potes et je ferais la fête toute la nuit”.

Mais à quoi ressemblerait votre vie si vos faisiez ça tous les jours ?

Vous seriez un débauché sans aucune ambition ni discipline.

Alors vous décidez de vous lever tôt, de bien manger et de faire du sport.

Mais à quoi bon être un machine parfaitement huilée… si vous n’employez votre énergie sur aucun projet ? Vous êtes comme une Formule 1 qui ne sort jamais du garage.

Alors vous décidez qu’il vous faut un projet ambitieux où appliquer vos talents.

Mais à quoi bon être beau et riche si vous n’avez personne avec qui le partager ?

Tout d’un coup, vous vous retrouvez à devoir équilibrer santé, travail, famille et temps personnel.

C’est un sacré jeu de Tetris.

C’est pour ça que je passe autant de temps dans mon calendrier.

Ce n’est pas un exercice pratico-pratique de gestion du temps.

C’est un exercice philosophique sur le sens de la vie.

Les grecs anciens appelaient ça eudaimonia (“une vie bien vécue”).

J’appelle ça le Google Calendar parfait.

Voilà où j’en suis.

D’expérience, ce genre de calendrier fait peur aux gens.

Alors je précise deux choses :

1/ Chaque minute est planifiée (c’est tout le principe), mais beaucoup de blocs sont assez abstraits.

“Family time” est le temps que je veux passer chaque jour avec mes enfants – mais ça peut aussi bien dire regarder Le bossu de Notre Dame, lire un livre, les amener à la piscine, faire du vélo, faire des coloriages ou construire une maison en Lego.

“Write” est mon créneau pour écrire. Mais écrire quoi ? Ça peut être une vidéo, une newsletter ou une formation. Ou quelque chose de complètement différent.

Bref, les seuls rendez-vous vraiment fixes sont 1 à 2 appels (selon les semaines) le mardi, l’enregistrement du Trilliard le samedi après midi et un dîner avec ma femme le samedi soir.

Ça signifie aussi que…

2/ Je suis ce plan 70% du temps (au mieux).

Ce calendrier représente ma semaine idéale.

Mais personne n’est parfait. Parfois je manque de discipline et je démarre en retard (généralement à cause de mon addiction à la lecture). Parfois ma session du matin dépasse et j’oublie de déjeuner. Parfois je zappe juste une tâche que je n’ai vraiment pas envie de faire.

Tout ce que je veux, c’est créer un plan qui soit réaliste et que je peux suivre la plupart du temps.

C’est pour ça, par exemple, que je plannifie 1h30 pour mon petit déjeuner. Entre faire à manger, habiller les enfants et traîner en lisant un livre, c’est le temps que j’y passe réalistiquement.

Le seul objectif qui va améliorer ma vie, c’est de me rapprocher de ma journée parfaite.

En ajustant mon plan en fonction de la réalité (à force d’échouer, j’ai compris que je ne peux pas déjeuner en 10 minutes le matin !).

Et aussi en ajustant la réalité en fonction du plan (il faut vraiment que je me couche tôt).

Je n’y suis pas encore (70% !). Mais j’y travaille.

🎙️ Nouveau Podcast

Combien mon livre m’a rapporté

Dans cet épisode :

Combien mon livre m’a rapporté
Ma plus grosse erreur dans la création du livre
Paul a lancé un produit sur Kickstarter : voilà le bilan
L’histoire de l’homme qui dépense 2 millions par an pour devenir immortel

🤖 IA Mania

Les origines de ChatGTP, de -3100 à nos jours

📰 Article du lundi

The Horny Truth About AI Chatbots de Evan Armstrong.

Peu de gens en parlent, mais le business des chatbots romantiques est énorme :

“Janitor AI a attiré un million d’utilisateurs dès la première semaine de son lancement. (…) D’autres, comme Muah.AI, rapportent avoir atteint un chiffre d’affaires annuel de 1 million de dollars en quelques mois après leur lancement. J’ai pu identifier huit autres services atteignant des niveaux similaires de popularité, avec des noms comme Chai, Sakura et SpicyChat.”

Comme je l’expliquais dans le Trilliard, le marché cible le plus logique ne sont pas les hommes mais les femmes :

“Avant de penser qu’il s’agit simplement d’un problème d’hommes solitaires, il faut savoir que 80 % des utilisateurs de Janitor s’identifient comme non-hommes, et la plupart des chatbots les plus populaires sont des personnages masculins.”

Ce qui m’a surpris, c’est le niveau d’engagement énorme de ces services. Deux heures par jour ! En moyenne !

“Character.AI compte 3,5 millions d’utilisateurs actifs quotidiens, chacun passant en moyenne deux heures par jour à discuter.”

Les retours qualitatifs disent la même chose. Exemple :

“Les commentaires du type « Je préfère parler à [mon personnage IA] plutôt qu’à des personnes qui m’attirent » étaient incroyablement courants.”

Et :

“Un commentaire sur le subreddit de Character.AI résume bien la situation : « Peu importe à quel point leurs politiques deviennent imparfaites, je préférerai toujours [Character.AI] à interagir avec de vraies personnes. “

L’impact sur la société est incertain, mais pas forcément aussi noir et blanc que penseront certains :

“Un document de travail de la Harvard Business School, publié le 26 juillet, a trouvé, dans une méta-analyse, que les chatbots étaient efficaces pour résoudre la solitude. Et les services les plus chers plafonnent à environ 40 dollars par mois, bien moins cher que de rencontrer des amis dans un bar ou un club social.

Cependant, l’étude la plus longue n’a mesuré ces sentiments que sur une semaine. Mon intuition me dit que l’utilisation de ces chatbots pour résoudre la solitude est l’équivalent de l’utilisation d’un médicament GLP-1 pour résoudre les problèmes de poids. Certes, vous obtenez le résultat, mais sans les changements de mode de vie sous-jacents, vous dépendez finalement d’un produit dont les effets à long terme sont inconnus.”

📺 Vidéo du lundi

you know social media is public, right? de David Achu.

Pour percer sur YouTube, il faut constamment étudier ce qui marche.

Cette vidéo :

Avance un argument assez banal…
… avec un format très à la mode (et réplicable)

Et surtout, elle a catapulté la chaîne de son créateur, qui est passé de 1300 à 38k abonnés en quelques semaines :

En juin, il a fait 6k vues sur l’ensemble de sa chaîne. Sur les 30 derniers jours, il en a fait 800k (x133).

La formule gagnante, selon la méthode YouTube Mania :

Un bon sujet + Un bon packaging + un bon script = Vidéo virale.

Le sujet, c’est les réseaux sociaux. Et plus particulièrement, les gens qui postent des choses bizarrement personnelles.

Donc c’est une vidéo avec un angle négatif sur quelque chose que les gens connaissent. Autrement dit, un sujet juteux.

Le problème sur ce genre de sujet, c’est que les gens ont l’impression d’avoir déjà tout vu.

C’est là qu’entre en jeu le packaging (c’est à dire : le titre + miniature).

Le titre joue sur 2 tendances YouTube dont je vous avais parlé au début d’année lors de la mise à jour de YouTube Mania pour 2024 :

1. Le contre-signalement : c’est à dire les titres volontairement sous optimisés.

Ici, un titre classique serait “Ces gens qui font des révélations CHOQUANTES sur TikTok”.

La minitaure contiendrait des exemples de TikTok en questions, dans le style de ce que fait Drew Gooden ici :

À la place, on a un titre moins hyperbolique : “tu sais que les réseaux sociaux sont publics, oui ?”.

Écrit tout en minuscule (c’est une tendance aussi).

Et une miniature sans montage. Ce qui est justement la deuxième tendance :

2. Le “fait à la main”.

Voyez ça comme une réaction aux YouTubeurs avec un montage léché et un studio parfait.

Les YouTubeurs qui percent en 2024 ont souvent une esthétique bordélique à base de décors bricolés et de signes écrits à la main.

Ici, cette esthétique se prolonge dans la vidéo :

Il n’y a pas de texte ajouté au montage (il est écrit sur une feuille)
Les visuels sont incrustés DANS le décor, à travers un fond vert étalé par terre… et maintenu en place par des pots de peinture… au milieu d’un salon mal rangé

Le commentaire le plus like porte d’ailleurs sur cette esthétique particulière :

La vidéo alterne entre différents plans atypiques : David affalé dans un canapé, assis par terre, et la contreplongée de son salon avec le fond vert que je vous ai mis juste au dessus.

(Pour un autre exemple de ce type de mise en scène qui marche très bien en ce moment, allez lire le Mix 45 et mon analyse de Tejas Hullur).

Finalement, le script.

Voici les 30 premières secondes (cruciales) de la vidéo, avec mes annotations :

“Si je renverse cette bouteille d’eau, mon bureau et tout ce qui s’y trouve vont être mouillés.

<il renverse la bouteille d’eau sur tous ses papiers>

[ndStan : accroche surprenante (un “pattern interrupt”) qui intègre un aspect visuel et bricolé.]

Oh mon Dieu, mon bureau et tout ce qui s’y trouve est mouillé pour des raisons que je ne comprends pas. Comment cela aurait-il pu être évité ?

[ndStan : payoff immédiat et effet humoristique.]

Dans l’état actuel d’Internet, je pense qu’il est crucial de réinsuffler les idées de conséquences et de cause à effet.

[ndStan : présente le sujet de la vidéo en une phrase]

< on le voit essorer ses papiers >

(J’espère vraiment que c’est une bonne métaphore, sinon je vais devoir nettoyer ça pour rien.)

[ndStan : renforce la blague, communique sa personnalité, commentaire meta sur la vidéo que vous êtes en train de regarder].”

Il faut comprendre POURQUOI les gens ont cliqué sur la vidéo.

S’ils ont cliqué pour apprendre quelque chose => apprenez-leur quelque chose dans les 30 premières secondes
S’ils ont cliqué par curiosité => promettez-leur une grosse révélation dans les 30 premières secondes

Mais ici, les gens ont cliqué pour être divertis. Donc le rôle de ces 30 premières secondes de script est d’introduire de l’humour et de communiquer la personnalité du créateur, ce qui est très bien fait.

C’est tout pour cette semaine.

Comme toujours, vous pouvez me donner votre avis en répondant à ce mail.

À lundi prochain,

Stan

PS : Prêt à passer à l’action ?

💡 Trouvez votre idée de business en 7 jours

✍️ Devenez copywriter Pro en 6 mois

Pourquoi vous allez adorer être copywriter (7 bonnes raisons)

Bonjour 👋

Je voudrais vous donner 7 bonnes raisons de cliquer sur ce lien et de démarrer votre carrière de copywriter dès aujourd’hui.

#1 : Mieux vaut développer des compétences profondes plutôt que suivre des “méthodes clé en main”

Beaucoup de formations font des grosses promesses, mais ne peuvent pas les tenir.

Parfois, ces promesses sont impossibles et sont juste là pour appâter le chaland.

Mais tout aussi souvent, les solutions “clé en main” qu’on vous vend ont marché à un moment, pour une personne – mais sont depuis périmées.

Donc si vous allez vous former, autant apprendre des choses que vous allez pouvoir utiliser pour le restant de votre carrière.

#2 : Le copywriting est la compétence la plus importante pour réussir sur le web

Vous n’y échapperez pas : si vous voulez gagner de l’argent sur internet, vous allez avoir besoin de vendre. Et si vous voulez vendre, vous allez avoir besoin du copywriting.

C’est d’autant plus important si vous êtes le genre de personne qui “n’aime pas / ne sait pas vendre”. Tôt ou tard, il va falloir briser ce blocage, ou vous ne pourrez jamais vivre de votre business.

#3 : Un résultat exceptionnel demande un investissement exceptionnel

Est-ce que c’est un peu bizarre aux yeux de votre entourage de rejoindre un programme en ligne ?

Oui.

Tant mieux.

Beaucoup rêvent de gagner beaucoup d’argent, travailler depuis n’importe où dans le monde et faire leurs propres horaires. Mais 99% des gens ne sont pas prêts à faire l’investissement en temps et en énergie nécessaire.

La plupart ne liront jamais un email de ce genre. Ils voient une de mes vidéos et se disent immédiatement “ça n’est pas pour moi”.

J’applaudis ces gens.

Ils savent quelles sont leurs priorités et ils sont honnêtes avec eux-mêmes.

Mais il y a aussi des gens (et c’est peut-être vous…) qui sont abonnés à plusieurs chaînes YouTube, qui lisent les newsletters de différents marketeurs – mais qui ne font rien.

Ils consomment du contenu, ils se disent que “un jour, quand j’aurais la bonne idée, quand les conditions seront parfaites dans ma vie, je vais me lancer”.

Peut-être même qu’un jour ils testeront un petit projet – mais sans y mettre les efforts nécessaires. Ils ne feront pas le maximum pour se former et pour s’entourer des bonnes personnes. Et donc ils échoueront.

Si vous vous reconnaissez dans cette description, sachez qu’il y a une lueur d’espoir. Il suffit d’un moment, d’une décision, pour basculer dans le camp de ceux qui font les choses sérieusement.

Rejoindre un programme comme L’École des Copywriters, ça n’est pas juste accéder à du contenu en profondeur.

C’est aussi vous engager à fond dans la pratique d’une compétence. Au lieu de regarder des petites vidéos YouTube par ci par là, vous allez entrer en profondeur dans UN sujet pendant des semaines et des mois.

Et tout du long, vous serez entouré des bonnes personnes. Vous pourrez poser vos questions à quelqu’un qui est passé par où vous en êtes.

Votre désir de réussir ne sera plus juste dans votre tête – il sera dans vos actions.

#4 : Certaines choses sont trop importantes pour être laissées au hasard

Est-ce que vous pouvez apprendre le copywriting en lisant des articles par-ci par-là ?

Pas vraiment.

Feriez-vous confiance à un médecin qui n’a suivi aucun cursus, mais a juste lu des articles au gré de sa navigation sur internet ?

Probablement pas : il y aurait trop de trous dans ses connaissances, son approche ne serait pas assez systématique, il ferait des erreurs médicales qui auraient pu être évitées.

Je ne suis pas en train de dire que le copywriting est aussi compliqué que la médecine. Ce n’est pas le cas. Et heureusement : vous n’avez pas besoin de faire 10 ans d’études.

Mais ça fait partie de ces compétences qui sont trop complexes pour être apprises sans suivre un cursus sérieux.

Il vous faut une vision en profondeur, des concepts, un grand nombre d’exemples et de la pratique. Vous avez besoin d’une formation structurée pour acquérir ça.

#5 : Personne ne travaille son contenu autant que Marketing Mania

Vous avez vu le niveau d’implication pour chacune de nos vidéos YouTube. Aucun de nos concurrents ne fait ce niveau d’efforts.

Alors imaginez jusqu’où va notre contenu payant.

Le programme va en détail dans chaque concept, avec des centaines d’exemples.

Imaginez des dizaines de nos vidéos YouTube mises bout à bout, avec une progression structurée, des ressources téléchargeables et des réponses vidéos à toutes vos questions.

#6 : C’est le bon moment d’apprendre le copywriting

Il y a une demande énorme en ce moment pour les copywriters freelances.

C’est le meilleur moyen de vous lancer sur internet sans avoir à trouver une idée, monter une audience et créer un produit.

Mais même si vous allez appliquer le copywriting sur votre propre business, c’est une bonne nouvelle pour vous : ça veut dire que le niveau moyen est toujours assez bas.

Si vous passez les 6 prochains mois à suivre l’École des Copywriters, vous en sortirez avec un meilleur niveau que quasiment tous vos concurrents (qui ne feront pas l’effort d’étudier cette compétence en profondeur).

#7 : Vous allez adorer être copywriter

C’est un kiff d’être capable de vous asseoir devant un ordinateur, n’importe où dans le monde et écrire des mots qui convainquent vos prospects de vous donner de l’argent.

Quand vous êtes copywriter, vous pouvez générer des milliers d’euros de valeur en quelques heures d’écriture.

Vous pouvez apporter de la valeur à n’importe quel entrepreneur (même un multi-millionnaire) en regardant sa page de vente et en suggérant 3 améliorations spécifiques.

Vous pouvez entrer dans n’importe quelle niche, par passion, par curiosité – ou juste parce que vous avez repéré une GROSSE opportunité.

On vous propose constamment de vous associer sur de nouveaux projets, parce que votre compétence vaut de l’or.

Vous apprenez tous les jours de nouvelles choses sur la psychologie humaine – et comment convaincre les gens de faire ce que vous voulez.

Vous exercez un des rares métiers où vous pouvez gagner beaucoup d’argent avec votre écriture.

Pouvez-vous vous permettre de passer à côté de cette opportunité ?

Les candidatures pour l’École des Copywriters sont ouvertes pour la session de septembre.

Attention : Il faut passer par un appel pour s’assurer que vous êtes motivé et que vous comprenez que le programme est exigeant.

Mais si vous êtes accepté, vous êtes couvert par une garantie imbattable :

Je vous garantis que vous allez trouver votre premier client en moins de 6 mois – où vous serez remboursé à 100%.

👉 Cliquez ici pour déposer votre candidature

À bientôt,

Marc de l’École des Copywriters

(FAQ) Je réponds à toutes vos questions sur le copywriting

Les candidatures pour l’École des Copywriters sont ouvertes pour la session de septembre.

Attention : Il faut passer par un appel pour s’assurer que vous êtes motivé et que vous comprenez que le programme est exigeant.

Mais si vous êtes accepté, vous êtes couvert par une garantie imbattable :

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1 – “Est-ce que je peux me lancer dans le copywriting si j’ai un emploi à plein temps ?”

Il faut séparer cette question en deux :

Premièrement, est-ce que c’est possible de suivre le programme si on a un job à plein temps ?

La réponse est oui.

Prévoyez entre 3 et 5 heures par semaine pour suivre le programme et assister aux appels.

Le programme est conçu avec énormément d’études de cas et de contenu bonus, que vous pourrez suivre plus tard, quand vous en aurez besoin pour un projet client.

En dehors des appels de 1 h par semaine (plusieurs options seront proposées à des horaires adaptés aux salariés), vous êtes libres de suivre les vidéos au moment qui vous convient.

Deuxièmement, peut-on se lancer en tant que copywriter freelance en parallèle de son job à plein temps ?

Là encore, la réponse est oui : c’est ce que fait Marie, allez voir son interview.

Ce qui est clair, c’est que vous pouvez tout à fait mener des projets clients sur votre temps libre.

Quasiment tous les entrepreneurs, YouTubeurs, etc… se lancent à côté d’un emploi, et ne passent à plein temps que quand leurs revenus sont suffisants. C’est la même chose pour les copywriters.

Trouvez 90 minutes par jour pour écrire, le matin ou le soir. C’est largement suffisant pour mener un projet à bien en quelques semaines.

Par contre, il faudra faire des compromis :

D’abord, vous devrez probablement vous contenter de mener un seul projet à la fois.

Ensuite, vous allez sans doute refuser les projets de dernière minute, du type “j’ai besoin d’un tunnel de vente entier pour la semaine prochaine”.

Je vous conseille de commencer tranquillement et de prendre un projet par mois, facturé 1500 à 2500 €. Ça vous permet d’établir une base de clientèle et d’avoir un complément de revenu.

Quand vous êtes prêt à passer à plein temps, ça devrait se faire assez naturellement, puisqu’il suffira d’augmenter votre temps de travail pour boucler 2 à 4 projets par mois.

2 – “Le marché risque-t-il d’être saturé ?”

Il faut comprendre que le marché cible du copywriting va bien au-delà de la vente de formation.

Rendez-vous sur Facebook ou Instagram : chaque pub que vous voyez, c’est du copywriting.

Cliquez sur un lien et vous arrivez sur une page : c’est du copywriting.

Dès que vous voyez une page de vente : c’est du copywriting. Dès qu’on vous demande d’entrer votre email : c’est du copywriting.

Donc votre opportunité va bien au-delà des vendeurs de formations, et s’étend à toute entreprise qui vend sur internet : e-commerce, logiciel, prestataires de services, agences immobilières, compagnies d’assurance, etc…

Toutes ces entreprises sont faciles à démarcher sur le web, et peuvent gagner gros grâce à vos services.

Ce qu’il faut regarder, ce sont les dynamiques globales qui vont affecter l’offre et la demande.

D’abord, la demande va continuer de grossir :

De plus en plus d’entreprises découvrent que le copywriting est une compétence bien spécifique (et ne peut pas simplement être confiée à quelqu’un du département marketing)
Les business en ligne dont le fondateur était le copywriter arrivent à maturation et doivent déléguer (au bout de quelques millions de chiffre d’affaires, ça devient intenable de faire votre propre copywriting)
Les entreprises auront toujours besoin d’un message de vente persuasif, quels que soient les changement technologiques

Quelle est la probabilité que ces tendances s’inversent ?

Il faudrait un cataclysme technologique qui détruise internet.

La demande de copywriters n’est pas une mode : c’est une conséquence logique d’une économie qui évolue. On est passé des spots sur TF1 à la pub Facebook, et ces deux canaux demandent des compétences très différentes.

Ce qui nous amène à l’autre point :

Le copywriting est une compétence de spécialiste – l’offre reste limitée.

N’imaginez pas qu’il y a une masse de gens qui rêvent de devenir copywriters.

Les copywriters n’affichent pas leurs Lamborghinis sur Instagram à la manière des formateurs en dropshipping.

Ça reste une compétence qui demande du travail et de l’effort pour être acquise – ce qui assure que le copywriting ne va pas devenir mainstream de sitôt.

Et surtout, il faut avoir le tempérament pour : aimer lire, faire des recherches, écrire, être jugé sur son impact chiffré, etc…

Ceux qui ont un tempérament purement littéraire sont repoussés par la rigueur de la structure et l’importance des chiffres de vente.

Ceux qui ont un tempérament purement commercial n’ont pas toujours la patience de passer des heures à éplucher des sondages pour trouver LA pépite qui va faire vibrer le client.

Je vois une analogie avec le marché des développeurs informatiques : tout le monde sait que c’est un bon débouché. Vous pouvez suivre une formation en ligne et trouver un job de développeur en 6 mois (durée du cursus sur Lambda School) avec un salaire confortable.

Mais la majorité des gens n’ont ni l’envie, ni les capacités, ni le tempérament de faire ça.

Et donc, même s’il y a de plus en plus de développeurs, la demande continue à augmenter plus vite que l’offre.

Ceci étant dit, le marché du copywriting est particulièrement bouillant en ce moment – et ce serait naïf de croire que ça durera pour toujours.

Malgré la masse de copywriters présents sur le marché, la plupart des entreprises n’arrivent simplement pas du tout à trouver un bon copywriter.

Le but c’est que, d’ici là vous soyez bien établi grâce à votre réseau et votre liste de clients. Vous aurez commencé au bon moment pour bénéficier du boost initial, mais vous n’en aurez plus autant besoin.

3 – « Chat GPT peut-il remplacer un copywriter ? »

Non ! Il y a encore pas mal de marge avant que l’IA remplace le travail d’un vrai copywriter.

Ce que fait l’IA (pour l’instant) : elle écrit un texte qui fait sens et qui respecte quelques principes de copywriting.

Mais l’IA ne fait pas d’interviews de vos prospects. Elle n’analyse pas la concurrence. Elle ne trouve pas de proposition de valeur unique. Elle a du mal à faire visualiser des bénéfices via des métaphores ou des images. Etc.

Le travail d’un copywriter ne se limite pas à écrire des mots dans un Google Doc.

Pour écrire des textes qui se démarquent et qui vendent, il faut de la créativité et une bonne dose d’empathie ! Ce que l’IA a du mal à faire pour l’instant.

L’IA peut évidemment être une aide à la rédaction, et il serait bête de ne pas s’en servir. Mais les business qui veulent des textes qui vendent continueront à faire appel à de bons copywriters.

4 – “Combien facturer sur mon premier projet ?”

Pour une première page de vente, je vous conseillerais de demander 1500€.

Si vous ajoutez un tunnel de vente (avec page de capture, emails, etc…) vous pouvez ajouter entre 500 et 1000€ à ce tarif.

Pour un copywriter avec quelques années d’expériences, on voit plutôt des devis aux alentours des 5000 à 7000€.

5 – “Combien de temps prend la rédaction d’une page de vente ?”

Écrire une page de vente en partant de zéro (sur un nouveau client) peut facilement prendre 3 semaines.

Il y a un énorme travail de recherche en amont, qui peut prendre entre 5 et 10 jours. Plus le travail de rédaction d’une page qui peut être LONGUE si on parle de vendre des formations.

(La page – et donc le temps de rédaction – sera plus courte si le client vend un produit physique, ou un logiciel ou un service B2B, mais le temps de recherche sera plus ou moins le même).

Mais ça n’est pas encore tout : il faut prévoir la séquence email, qui peut être au total aussi longue que la page de vente.

Et en plus de ça, beaucoup de clients ont besoin d’emails réguliers entre les lancements. Comptez une demi-journée de travail pour un solide email.

Si vous avez un client qui vous demande des emails quotidiens (très à la mode actuellement !) , alors vous allez probablement consacrer 50 à 75% de votre temps à ce seul client.

Ces besoins sont assez typiques pour un business établi. Donc si vous avez 3 clients réguliers, votre emploi du temps sera rempli.

C’est une bonne chose aussi, car vous gagnerez BEAUCOUP de temps à chaque projet, en évitant de refaire toutes les recherches sur l’avatar du client et son style d’écriture.

Ça vous permet aussi de vous consacrer sur… le copywriting – au lieu de passer votre vie à prospecter et prendre des rendez-vous avec des clients potentiels.

6 – “Le programme est-il adapté si je débute ?”

Ça dépend de votre objectif.

Si vous voulez monter un business en ligne mais n’avez pas commencé, alors le programme n’est PAS adapté (car je n’y explique pas comment trouver une idée, créer un site, monter une audience, etc…).

Rejoignez plutôt la formation La Pyramide des Idées.

Si vous voulez devenir Copywriter Professionnel en partant de zéro, alors oui, L’École des Copywriters est adaptée.

Vous allez apprendre :

Comment écrire des pages de vente qui convertissent très bien
Comment trouver des clients
Comment faire des devis, vous spécialiser et monter vos prix
Plus un accompagnement individuel tout au long de votre première mission

7 – “Comment obtenir la certification École des Copywriters ?”

Soyons clair : la certification ne consiste PAS à simplement suivre le programme.

Vous pouvez bien sûr suivre le programme, puis afficher sur votre LinkedIn, votre CV, votre site (etc…) que vous avez suivi L’École des Copywriters.

Au besoin, nous pouvons même vous fournir un document attestant que vous avez suivi le programme.

Mais notre Certification ne dit pas juste “cette personne a suivi une formation”.

Notre certification va plus loin, et dit :

“Ce copywriter a été accompagné par l’École des Copywriters tout au long de son premier projet.”

Commençons par faire le bilan de L’École des Copywriters. Vous avez :

La version complète de Copywriting Mania pour apprendre à écrire des pages de vente qui convertissent (très) bien
La version complète de La Solution pour construire une carrière de Freelance stable et rentable
15 semaines de coaching de groupe
2 Masterclass exclusives avec des copywriters indépendants professionnels, qui vous expliquent les coulisses du métier (comment trouver des clients, fixer vos prix et mener une mission de A à Z)
Réponse en vidéo à toutes vos questions (lors des consultations du mercredi) et l’accès à la communauté privée (forum et groupes de travail)

Avec tout ça, vous avez toutes les cartes en main pour vous lancer en tant que Copywriter indépendant – mais il vous reste 2 obstacles à résoudre :

« Comment est-ce que je peux savoir que je suis assez bon pour aider un client (si c’est mon premier projet) »
« Comment convaincre un client de me faire confiance (si je n’ai pas encore de résultats à montrer) »

Et c’est là que L’École des Copywriters peut vous apporter encore plus de valeur.

Imaginez si votre premier client était un lecteur de cette même newsletter, qui a un business qui tourne bien et me demande de lui trouver un copywriter talentueux.

Imaginez si mon équipe vous accompagnait directement au cours de votre premier projet, pour vous donner (à vous et au client) la certitude que votre travail sera de grande qualité.

Imaginez si, à l’issue de ce premier projet, vous pouviez afficher sur votre site « Copywriter certifié par l’École des Copywriters » – un gage de qualité décerné uniquement à ceux qui ont suivi le programme et ont réalisé leur premier projet avec un coaching direct.

Vous pourriez vendre votre premier projet avec confiance – et avoir une expérience (et une certification) à faire valoir quand vous démarcherez vos clients suivants.

Voilà ce que ça veut dire concrètement :

Suivez le programme et l’accompagnement pendant les 3 premiers mois pour maîtriser toutes les techniques.
Quand vous vous sentez prêt, utilisez la stratégie de prospection expliquées dans le programme pour acquérir votre premier client en copywriting (ou répondez à une des annonces que nous relayons auprès de nos élèves).
Vous pouvez vendre vos services en toute confiance : vous serez accompagné par un coach de l’École des Copywriters tout au long de la réalisation du projet. Votre client sait qu’il travaille, à travers vous, avec une des boîtes les plus réputées du domaine.
Demandez des retours à votre coach tout au long du projet : sur votre avatar client, votre arc narratif et votre page rédigée.

Résultat : vous aurez appris comment vendre vos services pour plusieurs milliers d’euros, vous aurez gagné en expérience sur un projet réel, vous aurez des résultats à montrer et vous serez certifié par l’École des Copywriters pour rassurer votre deuxième, troisième client, etc…

Le but de ce programme de certification est de vous permettre de vendre votre premier projet en toute confiance – et de rassurer votre client que vous travaillez avec l’assistance d’un coach expert.

8 – « Comment se passe l’accompagnement sur ma 1ère mission ? »

Une fois votre mission signée, vous êtes accompagné par un copywriter de l’École des Copywriters.

Pendant 4 semaines, vous avez avec lui un appel hebdomadaire de 30 minutes pour lui poser directement toutes vos questions. Il pourra également vous faire un retour sur vos travaux afin que que cette 1ère mission se déroule parfaitement.

9 – « Combien de temps pour rentabiliser le programme ? »

Une question qui est énormément revenue au cours de ce lancement est :

“Combien de temps est-ce que ça va me prendre pour suivre la formation ?

Et combien de temps ça me prendra de trouver mon premier client et rentabiliser mon investissement ?”

La première moitié de la question est facile : l’École des Copywriters dure 6 mois.

Trouver votre premier client est plus variable selon les gens.

Si vous attendez que votre premier client tombe sur votre blog ou votre page Facebook (ce que font 80% des gens qui veulent devenir Freelance), ça peut prendre des mois.

Mais si vous suivez la méthode de prospection recommandée dans L’École des Copywriters, vous pouvez contacter 3 clients potentiels par jour.

Si 5% d’entre eux expriment un intérêt suite à votre premier email, vous obtiendrez 5 rendez-vous. Et si 20% de ces rendez-vous mènent à un projet…

… alors il vous faudrait contacter en moyenne 100 personnes pour décrocher votre premier projet.

Ça peut sembler beaucoup. 100 personnes ! 99 refus !

Mais souvenez-vous que, dans ce scénario, vous avez zéro réseau, zéro expérience, zéro preuve de votre crédibilité.

Donc forcément, il faut tenter plus de propositions pour décrocher un premier projet.

Mais même si seulement 1% des gens étaient intéressés, ça vous prendrait à peine plus d’un mois pour trouver votre premier client (si vous contactez 3 personnes par jour).

Donc cinq mois pour suivre le programme + un mois pour trouver votre premier client = 6 mois.

Pas trop mal pour commencer une toute nouvelle carrière !

Bien sûr, rien de tout ça n’est une certitude : si vous ne suivez pas la formation, et si vous ne suivez pas notre plan de prospection… alors vous allez avoir du mal à trouver des clients 🙂

10 – “Que se passe-t-il si je ne suis pas satisfait de la formation ?”

Le programme est garantie « satisfait ou remboursé ».

Suivez toute les étapes du plan d’action et trouvez votre premier client en moins de 6 mois, ou vous êtes remboursé.

👉 Cliquez ici pour déposer votre candidature

À bientôt,

Marc de l’École des Copywriters

Marc de l’École des Copywriters

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