Il intègre l’École des Copywriters.
Il se forme au copywriting et attaque ensuite toute la partie freelancing : prospection, networking, vente…
“J’essaie de me mettre à la prospection, mais je n’aime pas ça du tout. C’est un boulet que je traîne.“
Ok, mais alors comment trouver des clients si on ne prospecte pas ?
Valentin décide de tout miser sur son réseau : il intègre un incubateur et a ainsi la possibilité de rencontrer pas mal d’entrepreneurs.
Il enchaîne les échanges et les évènements. Et au bout de 3 semaines, ça paye : il signe sa 1ère mission, facturée 1 000€.
Et là, il y a un déclic. Parce que c’est une chose d’être compétent en copywriting, c’en est une autre d’être payé pour s’occuper de la page d’un client.
Grâce à cette mission, il peut maintenant se dire :
“Un client m’a fait confiance, j’ai bossé sur un vrai projet, je peux gagner de l’argent avec le copywriting”.
Il est plus confiant sur ses compétences et a donc plus de facilité ensuite à trouver une 2ème mission.
Quelques semaines après, Valentin signe donc une nouvelle mission, qu’il facture cette fois 1500€.
C’est un très bon début de carrière, mais il y a un problème : la 1ère mission de Valentin était dans la tech et la seconde dans le bien-être.
C’était deux super missions, mais il se rend compte que sans un vrai positionnement, il est peu crédible. Il y a déjà des centaines de copywriters sur le marché.
Il prend bien deux mois avant de se décider : à partir de maintenant, il sera copywriter dans la niche de la tech et du web 3.0.
Ça lui paraît évident puisqu’il voit que la plupart des personnes qui sont dans ce domaine sont très techniques mais n’ont pas vraiment de notions en marketing.
En plus, il voit passer beaucoup de projets et plusieurs personnes semblent intéressées par ce qu’il a à proposer en copywriting.
Valentin s’affiche donc maintenant comme copywriter tech et web 3.0 sur LinkedIn. Et la différence est frappante !
Ses demandes de connexion LinkedIn ne donnaient pas grand chose avant. Maintenant, sur 10 personnes ajoutées, il y a en moyenne :
Aujourd’hui, Valentin vit du copywriting. Ses premiers mois en tant que copywriter freelance lui ont rapporté 11 000€.
Maintenant, l’objectif est d’augmenter ses tarifs. Ça fait sens : plus il réalise de missions, plus il gagne en crédibilité dans sa niche.
En savoir plus sur Valentin.
À bientôt,
Marc de l’École des Copywriters
PS : Les candidatures pour l’École des Copywriters sont encore ouvertes pour la session de septembre.
Attention : Il faut passer par un appel pour s’assurer que vous êtes motivé et que vous comprenez que le programme est exigeant.
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