Greg - Life Stylers - Ne supprimez pas les emails, copiez-les !

Comment faire bien plus de ventes, en passant bien moins de temps sur ton copywriting

Quelque chose qui surprend nombre de nouveaux arrivants sur Gresgland :

(Et encore plus ceux à qui on a recommandé de venir voir par là ce qui se passait pour tout ce qui est copywriting…)

Ton loustic de marketeux n’a pas une formation en stock sur comment rédiger des pages de vente vraiment mise en avant.

Genre si tu en as une à prendre chez lui, vu pour quoi il est reconnu, c’est celle-là.

Du suicide commercial, de ne rien avoir de tel à proposer sur le sujet dans ce cas ?

Sans doute.

(Surtout que c’est les ventes les plus faciles à faire ça :

Des produits pile sur ce sur quoi tu es perçu comme une référence.

Par exemple, ma formation « Devenir copywriter pro » est celle que je vends le plus facilement de toutes.

Justement pour cette raison là.

Rien que le thème de la formation et son titre suffisent à la vendre.

C’est d’ailleurs pour ça que je ne la propose plus jamais en promo.

Pas besoin)

La raison numéro une derrière ça ?

C’est que tu n’apprends pas à rédiger de super pages de vente juste en suivant une formation, aussi bonne soit elle.

Est-ce que tu peux apprendre toutes les bases et les mécanismes comme ça ?

Et déjà savoir comment vendre tes premières offres ?

Bien sûr.

Mais maitriser le truc, et savoir faire des argumentaires qui claquent de gros taux de conversion, quasi systématiquement…

…c’est un tout autre sport.

Et une compétence qui se développe comme toutes les autres :

En apprenant et en pratiquant sur la durée.

Et c’est pour ça qu’il y a bientôt 10 ans, j’avais créé une « petite » formation continue sur le copywriting, l’emailing et la persuasion : la Marketing Master School.

Où je continue d’y enseigner tout ça.

Aussi ?

J’ai complètement changé la façon dont je m’y prends pour rédiger des pages de vente il y a quelques années maintenant.

En mettant définitivement à la poubelle les interminables et super complexes structures d’argumentaires de vente que tu connais forcément si tu t’es un minimum intéressé au sujet.

Tu sais :

Celles en 18, 24 ou je ne sais combien de points.

Qui te disent exactement quoi mettre et où dans tes pages.

Pas parce que ces structures et templates ne fonctionnaient pas.

Loin de là.

Mais juste parce qu’elles t’obligent, par leur nature, et en raison de tous les points à inclure, à passer un temps fou sur tes argumentaires de vente.

Et qui rendent aussi le tout un casse tête absolu à assembler.

(Avec le risque de publier un truc qui perd plus tes prospects en route qu’il n’en convainc un maximum d’acheter, là, tout de suite…)

Désormais ?

Mes pages de vente ne tiennent plus qu’en 5 points.

Et pas un de plus.

Pourtant ?

Tout ce qui est nécessaire pour rendre difficilement soutenable de ne pas acheter y est.

Car tout ce que j’ai fait, d’abord inspiré par ce que Gary Halbert (sans doute le meilleur copywriter n’ayant jamais existé) disait sur quel était son premier objectif avec ses pages de ventes…

… n’a finalement été que d’étudier en profondeur comment certains des meilleurs copywriters de l’histoire structuraient eux-mêmes leurs argumentaires.

(Chose qu’aucun d’entre eux n’enseignait nulle part, d’ailleurs, pour je ne sais quelle raison…)

Jusqu’à les réduire à 5 étapes faciles que même un grand débutant en copywriting peut suivre.

Le résultat ?

Des pages de ventes que je rédige BEAUCOUP plus vite qu’avant.

Même quand elles finissent par être assez longues.

Et qui vendent pourtant plus qu’avant quand même.

Bien sûr ?

Il n’y a rien de magique derrière ça.

Et ne t’attends à aucun miracle si tu ne connais pas suffisamment tes clients idéaux, et si tu n’as pas un bon produit à vendre.

Toujours est-il que le seul moyen d’en savoir plus sur cette méthode était de posséder les formations papier de mars et avril 2020 de la MMS.

Où j’avais expliqué tout le marketing et toute la psychologie derrière l’un des tous meilleurs lancements de produit que je n’ai jamais fait dans ma carrière pour te partager cette structure archi minimale.

Tout en te l’expliquant intégralement.

Avec la page de vente utilisée pour ce lancement comme exemple.

Ces deux éditions ?

Il n’est pas possible d’y accéder.

(Il fallait être membre de la MMS à l’époque pour ça)

Alors que c’est pourtant les seules où j’enseigne comment j’ai tout changé à la façon dont je rédige mes pages de ventes, pour de biens meilleurs résultats encore.

Mais là ?

J’ai décidé de faire une UNIQUE exception.

Tu peux donc les récupérer, au format PDF, jusqu’à demain soir derrière ce lien :

https://lifestylers.thrivecart.com/marketing-master-school-mars-avril-2020/

(Attention :

Tu as accès à tes téléchargements juste après ton paiement)

Par contre ?

Ca sera la SEULE et UNIQUE fois que ces deux éditions seront re proposées, comme là jusqu’à demain.

Pour des raisons que tu comprendras très vite…

C’est donc vraiment du « maintenant ou jamais » sur ce coup là…

Greg

GREGORY LAGRANGE

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Fini la vie de bohème ?

Claire se demande ce qui se se trame derrière l’envers du décor de Gregsland :

« Hello Greg,

Je suis curieuse :

Tu voyageais non stop par le passé et j’adorais quand tu commençais tes mails avec l’endroit et le pays où tu étais.

Ca me faisait rêver, même si tu n’en disais pas plus.

Je suppose qu’avoir Bubble a tout changé à ce niveau.

Tu ne voyages plus du tout ?

D’ailleurs, tu parles peu finalement de ta vie perso, contrairement à d’autres.

C’est un choix volontaire ?

Une des nombreuses stratégies dont tu as le secret pour créer le mystère ? »

On est d’accord :

Oui, tu es bien curieuse ! 😛

Quelques éléments de réponse (non exhaustifs) en vrac :

La vérité, c’est que je suis arrivé, au moment du Covid, à un point où j’étais complètement cramé du voyage.

Genre burn out du truc.

(C’est le souci quand on est quelqu’un comme moi qui ne fait jamais rien à moitié.

C’est-à-dire que quand je suis à fond sur quelque chose, et qu’un domaine me passionne, je ne fais VRAIMENT pas semblant.

Et le reste ?

Complètement rien à foutre…

Jusqu’à parfois complètement saturer du bordel, et limite ne plus jamais vouloir en entendre parler)

Enfin, pas de voyager exactement.

Mais des gros voyages.

Avec longs vols, escales et aéroports non stop, surtout.

(Faut dire que j’étais sur un rythme où je pouvais commencer le mois de décembre en Thaïlande, passer le milieu de mois à voir des potes à Tbilissi ou Belgrade, être de retour en Bretagne pour les fêtes et me baigner aux Philippines dès le 2 janvier…)

Le voyage ?

J’ai toujours adoré ça.

Mais une fois que tu as mis les pieds un peu partout, et testé tous les styles de voyages possibles, à un moment, à part aller caresser du pingouin sur une banquise ou monter une station interplanétaire dans un trou noir entre Pluton et Jupiter, ça n’a plus le même charme.

Du moins, pour moi, en mode « voyage traditionnel ».

J’ai vite préféré voyager lentement.

Comme beaucoup de gros voyageurs, je pense.

La qualité des moments que tu vis et des situations que tu expérimentes explosant largement tout ce que tu peux rayer de ta « Bucket List ».

Et c’est vrai qu’après avoir été bloqué 2 mois et demi en Hongrie pendant le confinement, d’avoir adopté mon partner in crime de nounours « moyen format » juste en rentrant a pas mal changé la donne.

(Ca devient plus complexe de décider à 18h42 de prendre le premier vol pour le Costa Rica le lendemain…)

Est-ce que je voyage moins qu’avant pour autant ?

Hmm, pas dit.

Mais complètement différemment :

J’évite les avions et les aéroports désormais, autant que possible.

Les villes aussi, d’ailleurs.

Hormis pour voir mes amis un peu partout sur la carte d’Europe.

Par contre ?

Je passe un temps absolument fou en nature.

Ca a toujours été de loin ce que je préférais.

Mais à quel point c’est mon oxygène a fini par faire tilt qu’assez récemment, finalement.

(D’ailleurs, dur de trouver meilleure thérapie que de passer du temps dans la nature, quelle qu’elle soit)

Ca, et très souvent de chouettes road trips, aussi.

(Même chose :

Toujours été ma came, et ce que je préférais)

Bref, peu importe l’endroit sur la carte, on « slow travel » dur.

Et on fait même de plus en plus dans le « slow living » tout court.

(Là aussi, il y aurait de quoi dire sur les bienfaits de l’approche…)

Et puisque notre louloute est curieuse, et que je suis chaud ?

Pour ce qui est de partager sa vie perso ?

Y aurait de quoi sacrément groover sur le sujet.

Mais je vais juste glisser ceci pour aujourd’hui :

Comme je le vois ?

Même ceux qui *semblent* en montrer beaucoup plus que moi sur ce qu’ils font de leurs journées ne montrent finalement que ce qu’ils veulent bien montrer.

Et chacun met le curseur où il veut sur ce qu’il veut bien partager.

Est-ce que c’est un excellent moyen de faire accrocher les gens à ce que tu fais, genre si tu voyages et que tu vloggues le truc, ou que tu as un mode de vie hyper décalé et que tu le partages, en plus de ce que tu fais dans ton activité ?

Carrément.

Les gens adorent ça.

Ce n’est juste pas la seule façon.

Tu peux tout aussi bien développer un univers qui t’est propre, au fil de ce que tu partages.

Ton propre monde.

Et il me semble que c’est que ce que je fais, depuis des années et des années.

Il a même un nom, le machin :

Gregsland.

On n’est pas bien nombreux, mais vu qu’on est surpeuplé du bocal, ça compense, j’imagine.

Et, surtout, on s’amuse.

Tout en aidant nos clients, et en gagnant très bien notre vie dans l’opération.

Ce qui est plutôt quite cool, me thinks.

On enseigne les méthodes qui rendent tout ça possible par ici : https://lifestylers.fr/toutes-les-formations/

Greg

GREGORY LAGRANGE

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Il te faut de l’Islande pour ton business, pas des Vanuatu. Mais tu ne le sais pas encore

Un schéma que je vois hyper souvent se répéter ?

Chez ceux qui se lancent ou qui réfléchissent à quoi faire pour enfin décoller, qui hésitent sur quel projet se lancer, quelle thématique choisir, sur quel positionnement prendre, etc ?

Celui-là :

Vouloir avoir des réponses avant même d’avoir les éléments pour pouvoir se poser les bonnes questions.

(Je viens un peu plus loin à ce que j’entends par là)

Ce qui provoque ce genre de schémas pas franchement cools :

Comme quand tu hésites entre lancer un projet dans le dev perso, et un autre dans la musique.

Et que tu passes du coup des années à te demander lequel choisir.

Tout ça pour te retrouver au même point après toutes ces années.

C’est-à-dire toujours dans les starting blocks.

Ou quand tu demandes si tu ne vas pas saturer à force de toujours parler du sujet X.

Et que du coup tu ne te lances pas, alors que le domaine t’attire pourtant beaucoup.

Ou bien encore si tu demandes dès le début si tu devrais opter pour cette spécialisation dans ta thématique à laquelle tu penses.

Ou plutôt rester plus libre sur le choix de tes sujets, et plus généraliste.

(Je pourrais, comme souvent, multiplier ce genre d’exemples pendant 20 mails de suite…)

Est-ce que ce genre de questions méritent que tu te les poses ?

Of course que yes.

Ce que j’ai remarqué qui change tout ?

C’est à quel moment ça fait sens de te les poser.

Chercher des réponses définitives avant d’avoir fait quoi que ce soit ?

C’est le schéma on ne peut plus humain qui va nous tenter.

Mais ce n’est pas le bon à suivre.

Soit parce qu’il va provoquer la paralysie du choix.

Et donc l’inaction.

Et la procrastination.

(Tant que tu n’auras pas ta réponse, tu ne vas rien faire)

Soit parce que tu vas vouloir avoir un choix, sans vraiment connaitre tes options.

Parce que tu n’auras même encore testé les différentes options !

C’est comme si tu hésitais entre t’installer en Islande ou aux Iles Vanuatu, sans jamais avoir foutu les pieds dans un seul des deux.

L’approche que je te recommande ?

Elle va à l’envers total de ça :

Tu commences le voyage.

Comme si tu partais pour un tour du monde au long cours.

(Parce que ça revient à ça, finalement, une carrière sur le oueb)

Et tu pars sur la destination qui te branche le plus, là tout de suite, pour le commencer, ton tour du monde.

Tu testes.

Tu vis le truc à fond.

Et de là ?

Tu vois ce que ça te dit.

Et tu affines ton itinéraire pour la suite au fur et à mesure que tu te rends compte, en conditions réelles, de ce qui te plait, et de ce qui te plait moins.

De ce qui te convient, et de ce qui n’est finalement pas pour toi.

(Très probable que tu aies des surprises…)

Je ne connais pas un seul entrepreneur qui a trouvé son truc direct, comme par magie, au moment de « designer » son projet sur papier.

Soit avant de faire quoi que ce soit.

C’est en faisant qu’on apprend.

Autant sur la technique, sur les compétences, que sur nous mêmes.

Quand j’ai lancé Life Stylers en 2013 ?

Je ne savais même pas encore que j’allais me spécialiser sur le marketing.

Même si c’est venu hyper vite après.

L’idée de me spécialiser (encore plus, donc) sur le copywriting ?

Elle ne m’avait pas traversé une seule fois l’esprit.

Alors je ne te parle de faire des pages de ventes pour les autres, de carrément me charger de l’intégralité du marketing de clients, de lancer une formation papier que je ferais toujours 10 ans plus tard, de lancer l’emailing quotidien en Francophonie, etc, etc…

Ces réponses ?

Elles sont venues en temps voulu.

Une fois en route.

Alors prépares ton sac, et trace ta route.

Fais ce qui t’attire le plus pour commencer.

Et commence à accumuler des « données » sur ce qui te convient, et ce qui n’est pas ton délire.

C’est comme ça, et pas autrement, que tu trouveras ton vrai truc.

Si tu veux aller plus loin sur cette approche ?

Je ne peux que te recommander ma formation « Le GPS » : https://lifestylers.fr/le-gps/

Qui est intégralement basée dessus.

L’objectif du GPS ?

C’est que tu saches exactement quoi faire…

…sur quoi te concentrer en tout premier lieu…

…sur quoi mettre le plus d’efforts…

…et même sur quoi te former en priorité…

…à chaque moment de ton activité.

Du moment où tu songes à te lancer, et que tu n’as pas encore d’idée claire de projet, de thématique ni même de quel est ton vrai « truc »…

…jusqu’au moment où tu as un business qui tape les 7 chiffres annuels, si tu veux le pousser aussi loin.

Et tout ça ?

En mode voyage et expérimentation qui vont te donner des réponses au fur et à mesure.

Le but de la formation étant d’avancer, pour justement trouver tes réponses, et ton vrai truc, le plus vite possible.

Greg

GREGORY LAGRANGE

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Greg – Life Stylers

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