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Copier n’est pas joué !

Voici une expérience sociale qui démontre à quel point nous sommes des suiveurs.

Quand je parle de suiveurs, je m’inclus bien évidemment dans le lot.

Il y a quelques jours, un de mes amis nous a invités pour une initiation au golf.

Nous nous sommes donc rendus au practice à côté de chez moi.

C’est toujours très sympa de découvrir de nouvelles choses.

Ça stimule le cerveau et permet d’être plus créatif. Faire toujours la même chose, c’est un peu ennuyeux.

En général, on adore au début et après, on fait plus ça par automatisme que par réelle conviction.

D’ailleurs, ses amis sont tous entrepreneurs.

Nous nous réunissons une fois par mois pour parler de nos différents challenges.

Comme nous sommes totalement amateurs, un prof de golf nous a encadrés.

Nous arrivons donc sur le practice et il nous dit que nous devons taper la balle pour la mettre dans le trou.

Jusque-là, rien de bien méchant.

Une des autres personnes, présente pour ce cours d’initiation, oui, nous étions plusieurs, tape donc la balle et choisit une trajectoire qu’il estime être la plus courte, la plus sûre pour atteindre le trou.

Entre nous et celui-ci, il y avait des descentes et des montées.

Il fallait donc juger quel était le chemin le plus praticable.

Un par un, nous essayons de mettre cette fameuse balle au fond du trou. Et comme nous passons les uns après les autres, nous empruntons le même chemin que la première personne qui a tapé la balle.

Naturellement, nous nous sommes dit que s’il avait jugé que c’était la bonne trajectoire, alors nous allions essayer de prendre à peu près la même.

Sauf que… ce n’était pas la bonne solution. Le professeur nous montre une toute autre trajectoire, qui n’a rien à voir et qui pourtant était bien plus sûre.

Nous avons tout simplement recopié ce qu’a fait la première personne parce que nous nous sommes dit qu’elle était au même niveau que nous et qu’elle avait bien jugé les diverses difficultés pour atteindre l’objectif.

C’est symptomatique !

Nous recopions toujours ce que fait le premier.

Même si ce n’est pas la bonne solution. En fait, notre cerveau choisit toujours la facilité.

Au lieu de refaire le parcours, il suffit de faire à peu près le même. Je ne dis pas que ça ne fonctionne pas à tous les coups.

Je dis simplement qu’il faut avoir un temps de réflexion pour analyser ce qu’il s’est passé et ne pas tomber dans les travers des raccourcis de pensée.

Il en est exactement pareil de tout ce que l’on peut voir aujourd’hui dans l’entrepreneuriat.

Et encore plus sur Internet !

Tout le monde fait la même chose.

Les mêmes pratiques, pour arriver au même résultat.

Pour que finalement, la balle ne termine pas dans le trou.

Vous avez saisi le principe.

Comment combattre ça ?

Premièrement, toujours avoir un temps de réflexion sur ce qui a été fait.

Deuxièmement, ce n’est pas parce qu’une chose a été faite qu’elle doit être refaite de la même manière.

Troisièmement, qui a fait en premier cette chose-là ? A-t-elle de l’expérience ? Depuis combien de temps exerce-t-elle ?

Si c’est le prof qui me montre le coup au golf, ça n’a pas la même valeur que si c’est un débutant qui va frapper pour la première fois la balle.

À vous de jouer ! Et vous, avez-vous déjà été victime de cette reproduction instinctive ?

Quelle erreur stupide !

Voici une expérience sociale qui démontre à quel point nous sommes des suiveurs.

Quand je parle de suiveurs, je m’inclus bien évidemment dans le lot.

Il y a quelques jours, un de mes amis nous a invités pour une initiation au golf.

Nous nous sommes donc rendus au practice à côté de chez moi.

C’est toujours très sympa de découvrir de nouvelles choses.

Ça stimule le cerveau et permet d’être plus créatif. Faire toujours la même chose, c’est un peu ennuyeux.

En général, on adore au début et après, on fait plus ça par automatisme que par réelle conviction.

D’ailleurs, ses amis sont tous entrepreneurs.

Nous nous réunissons une fois par mois pour parler de nos différents challenges.

Comme nous sommes totalement amateurs, un prof de golf nous a encadrés.

Nous arrivons donc sur le practice et il nous dit que nous devons taper la balle pour la mettre dans le trou.

Jusque-là, rien de bien méchant.

Entre nous et celui-ci, il y avait des descentes et des montées.

Il fallait donc juger quel était le chemin le plus praticable.

Naturellement, nous nous sommes dit que s’il avait jugé que c’était la bonne trajectoire, alors nous allions essayer de prendre à peu près la même.

Sauf que… ce n’était pas la bonne solution. Le professeur nous montre une toute autre trajectoire, qui n’a rien à voir et qui pourtant était bien plus sûre.

C’est symptomatique !

Nous recopions toujours ce que fait le premier.

Même si ce n’est pas la bonne solution. En fait, notre cerveau choisit toujours la facilité.

Au lieu de refaire le parcours, il suffit de faire à peu près le même. Je ne dis pas que ça ne fonctionne pas à tous les coups.

Je dis simplement qu’il faut avoir un temps de réflexion pour analyser ce qu’il s’est passé et ne pas tomber dans les travers des raccourcis de pensée.

Il en est exactement pareil de tout ce que l’on peut voir aujourd’hui dans l’entrepreneuriat.

Et encore plus sur Internet !

Tout le monde fait la même chose.

Les mêmes pratiques, pour arriver au même résultat.

Pour que finalement, la balle ne termine pas dans le trou.

Vous avez saisi le principe.

Comment combattre ça ?

Premièrement, toujours avoir un temps de réflexion sur ce qui a été fait.

Deuxièmement, ce n’est pas parce qu’une chose a été faite qu’elle doit être refaite de la même manière.

Troisièmement, qui a fait en premier cette chose-là ? A-t-elle de l’expérience ? Depuis combien de temps exerce-t-elle ?

Si c’est le prof qui me montre le coup au golf, ça n’a pas la même valeur que si c’est un débutant qui va frapper pour la première fois la balle.

À vous de jouer ! Et vous, avez-vous déjà été victime de cette reproduction instinctive ?

J’offre une voiture rouge

« Toi, t’es quelqu’un Franck. »

Je vous rassure, je ne suis pas atteint d’une melonite aiguë.

Nom de maladie créé par mes soins pour définir tous ces clones à succès dont nous voyons les pubs sur nos réseaux sociaux préférés.

Nous en parlerons plus en détail dans un prochain mail du renard, mais ce n’est pas le sujet du jour.

Depuis plus de deux ans, après avoir beaucoup boxé et m’être cassé un doigt, je me suis passionné pour un autre sport : le padel.

C’est devenu une véritable drogue !

D’ailleurs, il faudrait que je vous raconte comment je suis en train de créer une marque autour du padel.

J’applique exactement tous les conseils que je vous donne à travers ma chaîne YouTube, les nombreuses études de cas que j’ai publiées, ainsi que dans les e-mails que je vous envoie fréquemment.

Lorsque je suis sur un terrain de padel, je ne suis pas le disrupteur, et à vrai dire, tout le monde se fiche du travail des autres.

Tout ce qui compte, c’est de bien jouer et, pour les compétiteurs, de gagner.

Lors d’un tournoi, durant lequel j’ai fini second, le complexe qui organisait cette compétition m’a tagué sur Instagram sur la photo des finalistes.

Le lendemain, quand je suis retourné sur le terrain, j’ai croisé un joueur avec qui je partage de nombreuses parties.

Sa première réaction a été de me dire :

« Toi, t’es quelqu’un Franck. Je ne savais pas. »

Il avait cliqué sur le tag de la publication pour aller sur mon compte Instagram.

Il a alors constaté que j’avais plus de 10 000 abonnés.

À ses yeux, c’était un score très important.

J’ai tout de suite remarqué que sa manière de me considérer avait changé.

Pourtant, rien n’avait changé.

Je lui ai même dit que 10 000 abonnés, ce n’est rien sur Instagram.

Surtout que depuis un long moment, je ne fais plus rien sur ce réseau social.

Je considère que c’est un réseau éphémère et assez futile.

Je préfère travailler sur du contenu de qualité, durable, sur ma chaîne YouTube.

J’en profite pour dire que si vous n’êtes pas encore abonné, cliquez ici pour le faire.

Il y a de nombreuses études de cas qui vont vous intéresser.

Où est-ce que je veux en venir ?

J’en parle régulièrement, ce joueur a été victime de la bataille des chiffres.

Beaucoup considèrent les chiffres comme une métrique définissant le succès, la réussite d’une entreprise, d’un produit ou d’une personnalité.

Mais les chiffres, vous pouvez leur faire dire ce que vous voulez.

Prenons les fameux 10 000 abonnés, supposément gage de succès.

Cela fait plus de deux ans que mon compte stagne à 10 ou 11 000 abonnés.

Dans ce cas-là, est-ce toujours un succès ?

Sur les 10 000 abonnés que j’ai sur Instagram, très peu sont devenus clients, très peu me suivent sur ma chaîne YouTube, et pour la majorité, ils m’ont complètement oublié puisque je ne publie quasiment plus rien sur Instagram.

Les chiffres sont très importants.

Je ne dis pas le contraire.

Mais je pense que la bataille de l’esprit est bien plus importante.

Qu’est-ce que c’est ?

C’est comment on pense à votre entreprise ou à votre produit.

À quel point votre prospect ou votre client pense à vous ?
Comment pense-t-il à vous ?
Quand pense-t-il à vous ?
Est-ce qu’il pense fréquemment à vous ?

Toutes ces questions sont fondamentales pour créer une marque qui laisse une empreinte dans l’esprit.

N’oubliez pas que l’empreinte est la trace qui définit qui vous êtes.

Les plus grandes entreprises au monde, celles qui ont développé un branding, une image de marque d’exception, l’ont tout de suite compris.

Cette entreprise, dont j’ai fait une étude de cas détaillée ici, est marquée au fer rouge, et c’est le cas de le dire, dans votre esprit.

Je vous parie que vous la connaissez.

Merci de m’avoir lu.

Vous avez été piraté !

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