(Et pourquoi je m’en tape total de quand tu achètes chez moi)
Même si elles ont depuis inspiré nombre de (for)marketeurs…
…mes méthodes de ventes sont très différentes de ce qui est le plus souvent enseigné, et présenté comme THE way to do it.
Pas faute de les avoir testées pourtant, ces méthodes.
Notamment quand j’ai commencé à me charger de tout le Mark et aussi tout le Ting de mes clients.
Où j’ai poussé à l’extrême les tunnels de vente les plus chiadés.
En mode segmentation dynamique et « comportementale ».
C’est-à-dire que selon ce sur quoi tu cliquais ou ce que tu achetais, tu allais ensuite recevoir telle ou telle séquence censée correspondre à ce qui t’intéresse le plus, et à ce qui donne le plus de chances que tu achètes le plus vite possible…
Est-ce que ça peut donner de très bons résultats, quand c’est bien pensé ?
Bien sûr.
Mais ça donne surtout de sacrés maux de crâne.
Et tu as vite la sensation de plus être un nouvel ingénieur de la NASA qu’un marketeux.
Et ça te fait surtout un travail monumental pour pas plus de résultats que quand tu vends sans chercher à manufacturer ce qui ne peut pas vraiment l’être.
(J’y reviens juste après)
Très vite après cette période cosmonaute ?
J’ai débranché les fils.
J’ai enlevé le casque.
Et j’ai arrêté de me prendre la tête.
Tout ce que je cherche à faire, niveau stratégie de vente, depuis ?
(Quelque soit le client, l’offre, de quoi je parle, et tout et tout ?)
Vendre à l’usure.
C’est-à-dire que je m’en fous complètement que Micheline, qui s’inscrit à ma liste le 12 août, achète quelque chose chez moi dès la semaine suivante.
Ce qui m’intéresse ?
C’est qu’à force de me lire, elle soit aspirée dans mon monde.
Ce qui m’intéresse ?
C’est qu’à force de me lire, elle voit que ton loustic de marketeux, il sait de quoi il parle.
Et qu’il est vraiment compétent.
Ce qui m’intéresse ?
C’est qu’à force de me lire, elle voit que je suis vraiment à même de l’aider.
Et même, à force là encore, la meilleure option pour l’aider.
Ce qui m’intéresse ?
C’est qu’à force de me lire, elle finisse par tomber sur une offre qui lui parle vraiment, et qu’elle achète une première fois.
Parce que ça y est :
Le sujet lui parle.
Elle recherche une solution.
Ce que je lui pitche lui donne envie, et suscite sa curiosité.
Et, là, non seulement elle a le cash pour acheter, le moment est bon pour elle, et elle a confiance en moi.
Ce qui est quelque chose qui est très dur à manufacturer.
(Même si tu pars sur un lancement « orchestré » publicité puis X vidéos puis conférence en ligne.
Ou avec une séquence automatique qui cherche à ce que tous ces critères soient réunies pour la Micheline.
Ou, en faisant ça de façon bien plus poussée encore, comme je l’avais fait pour mes clients)
D’ailleurs, quand j’ai monté mon projet anglophone sur la création d’un superbe jardin, ma séquence est certes automatique.
Mais c’est juste une succession d’énormément de mails.
Comme je le ferais si je faisais du mailing quotidien finalement.
Et tant que ça te parle et que ça t’intéresse ?
Tu continues à lire.
Jusqu’au jour où toutes les conditions sont réunies pour toi, et que ça soit un no brainer d’acheter.
Ce qui m’amène à l’édition de novembre de la Marketing Master School.
Une édition XXL de la formation papier.
Parce que j’essaie de t’enseigner en parallèle différents points qui peuvent beaucoup augmenter tes résultats.
Ce qui demande pas mal de pages.
Toute cette édition est dédiée à comment tu peux extraire le plus d’euros par inscrit de tes toutes meilleures idées et compétences.
L’un des bonbons que tu vas pouvoir découvrir dedans ?
Ce sont des exemples disséqués de mailings que j’ai utilisés qui sont peut-être la meilleure illustration que je n’ai jamais faite de ce j’appelle « vendre à l’usure ».
Pas juste à force d’envoyer des mails et différentes offres jusqu’à ce qu’elle soit chaude, ta Micheline.
Mais vraiment pour penser stratégiquement ce que tu envoies, ce que tu partages dans tes contenus, et pendant combien de temps, pour une offre précise.
Une offre que tu juges à même de faire beaucoup plus de ventes que ce que tu proposes d’habitude.
Et tu verras que je pousse tellement le truc à l’extrême qu’il est possible d’acheter dans seulement un de ces mails.
Malgré tout ?
Il a rapporté à lui seul autant que ce que donnent la plupart des lancements de formations qu’on peut faire dans une année.
Alors que la vraie meute de loups, elle n’est pas encore lâchée.
Et qu’elle attend bien sagement son tour…
Il y a tellement à dire sur ce que tu vas pouvoir découvrir dans cette édition que je vais bien sûr t’en parler à nouveau dans mes prochains mails.
Mais les bonnes choses ne sont jamais éternelles.
Et passée la traditionnelle deadline qui arrive déjà très vite où je fais expédier la formation papier du mois aux membres de la School ?
C’est mort pour l’obtenir.
(Aucune exception n’est faite là-dessus, parce que je ne vais pas renvoyer les personnes en charge des envois à la Poste tous les jours, juste pour un procrastinateur ou deux)
Mieux vaut assurer le coup via ce lien donc, si tu souhaites la recevoir, en plus de mon livre Emailing 4.0 : https://lifestylers.fr/marketing-master-school/
Greg