Je ne sais pas pourquoi sa phrase m’a marqué.
(Quand tu es aussi surpeuplé du bocal que moi, en même temps, tu apprends à ne plus trop te poser de questions…)
Mais je m’en rappelle très bien.
C’était en 2004.
Je venais de bouger pour Amsterdam.
Sans date de retour.
Et ton loustic de pas encore marketeux, il avait besoin de manger.
Parce que donner des cours de français à 10 ou 20 balles, c’était cool.
(Surtout que mes élèves m’apprenaient au moins autant l’anglais dans l’opération…
…et qu’un paquet de fois, la leçon du dimanche 17h se finissait à la Xe pinte de Kamerliet Triple au bar belge, vers 3h du mat’…)
Mais insuffisant.
Quand tu bouges à Dam et que ton anglais est encore pas ouf ?
(Comprendre que tu es bon en anglais à l’école en France.
C’est-à-dire que tu ne sais pas aligner 3 phrases en fait…)
Et bah tu vas bosser au call center.
Taf à la con ça.
Non, pire encore.
A se tirer une balle.
Toute la journée avec la luminosité du putain de PC réglé à bloc dans ta tronche.
Avec les néons à fond, même sous grand ciel bleu.
Avec du téléphone qui sonne de tous les côtés, sans jamais s’arrêter.
Et des gens dégoûtés de devoir t’appeler.
Et toi dégoûté de devoir leur répondre.
Pour un produit dont tu te bats les steaks.
(Je sais, je te raconte ma life, pour une fois.
Mais j’ai quand même réussi à faire 2 ans et demi de « support technique » chez TomTom, les navigateurs GPS, sans jamais en allumer un, de foutu TomTom.
« Vous avez un trombone ?
Vous voyez le petit trou en dessous ?
Faites un reset avec.
Bonne journée ! »)
Bref…
Maintenant, imagine que tu es manager d’une équipe de branle-couilles avec ton cher narrateur comme tête d’affiche.
Et que tu essaies de motiver les troupes.
Parce que…
Euh…
Tu as de l’espoir.
Et bien tu leur dis un truc comme ça :
« Moi, je m’éclate quand je suis au téléphone.
Parce que derrière mon téléphone, je peux être n’importe qui ».
Est-ce que ça m’a motivé ?
Absolument pas, évidemment.
Mais par contre, ça m’a sacrément inspiré à bien me marrer avec les clients qui appelaient…
Et si au téléphone, tu peux être n’importe qui…
…c’est pile tout pareil avec l’emailing.
Du moins, tel qu’on le pratique et qu’on l’enseigne sur Gregsland.
Pas d’humeur à rédiger un truc sérieux ?
Pas de souci.
Ras le bol du discours ou des pratiques de tes concurrents, et même pas envie d’être associé à eux dans l’esprit des gens ?
All good.
Pas envie d’avoir les cassos de ta thématique qui prennent tes produits ou te posent des questions ?
No problem.
Le truc, comme je le vois ?
C’est que tu peux casser à peu près tous les codes avec l’emailing.
Tant que tu partages des choses intéressantes aux gens ?
Que tu restes dans leur monde ?
Ou, mieux encore, que tu sais les faire accrocher au tien ?
Tu es tranquille.
Et encore plus si tu sais varier les plaisirs, pour toujours surprendre.
Et contrairement à ce que ceux qui n’ont jamais osé vraiment mailer pensent…
…tu ne peux jamais envoyer trop de mails.
Tant que tu suis ce que je viens de te dire.
Mieux encore :
Plus tu mailes, plus tu palpes.
Je me suis bien calmé, parce que ça fait belle lurette que je ne suis plus au taquet.
Mais si tu traines sur Gresgland depuis longtemps, tu te rappelles sans doute des dimanche où j’envoyais souvent 5, 6 ou 7 mails.
Le dernier jour d’une promo.
(Carnage de vente assuré, ça, si tu fais ça bien…)
Si j’étais vraiment motivé ?
Je t’enverrais 2 à 3 mails.
CHAQUE JOUR.
(Et bien plus le dernier jour de lancement d’une offre, juste avant qu’il ne soit trop tard pour profiter de la promo, au moment où les procrastinateurs se réveillent toujours….)
Et ça ne me prendrait pas des masses de temps pour autant….
Bien sûr, quand tu ne l’as jamais fait, ça te parait dingue, de ne serait-ce qu’écrire et envoyer un mail chaque jour à sa liste.
Mais c’est pareil pour tout ce qu’on n’a jamais fait.
Surtout que les idées appellent les idées.
Comment apprendre à rédiger sans effort de simples mails tout cons, basés sur TA personnalité, mais qui vendent chaque jour de l’année ?
C’est ce que tu peux trouver dans mon livre Emailing 4.0 que j’ai créé l’an dernier.
Qui est ma méthode intégrale, en plus de 200 pages, qui t’enseigne comment t’y prendre.
J’en parle peu, parce qu’il n’est pas à vendre.
(C’est volontaire, bien sûr)
Et que le seul moyen de l’obtenir est de t’inscrire à la Marketing Master School : https://lifestylers.fr/marketing-master-school/
Est-ce que je « perds » de l’argent en ne le proposant pas à l’achat seul ?
Bien sûr.
Mais je m’en fiche total.
Parce que mon but n’est pas de vendre mes trucs à un max de gens qui n’en feront jamais rien, pour 99% d’entre eux.
Mais au contraire que ceux qui se donnent la peine d’investir dans mon travail sur la durée soient récompensés fois 100.
Parce qu’ils auront appris à vendre sur demande.
Et pas juste survolé le sujet.
Ce qui demande un peu plus que 2 mois, bien sûr.
Même si tu peux déjà constater de sacrés améliorations dès les premières semaines.
Surtout si tu mailes ta liste (même petite), chaque jour…
Greg