Le surpoids est un sujet difficile à aborder

Cher ami du bien-être,

C’est sensible. Tabou. Et les gens sont mal informés à ce sujet.

Prenons par exemple le sujet de l’Indice de Masse Corporelle.

Par définition, une personne est considérée en surpoids dès que son IMC (Indice de Masse Corporelle) est supérieur à 25.

Si vous mesurez 1m70, vous êtes considéré en surpoids si vous pesez 72 kilos.

(Alors que concrètement, ce n’est rien.)

Alors, selon ces calculs, une étude Obepi-Roche – menée par La Ligue Contre l’Obésité – a montré que 47,3% des Français adultes seraient en excès de poids⁽¹⁾.

Soit, presque un français sur deux.

Mais tout le monde ne vit pas le surpoids de la même manière

Beaucoup de personnes sont très bien dans le corps.

Quelques kilos en plus ne les dérangent pas.

Ils sont contents de leur corps.

Mais aujourd’hui, je m’adresse à ceux qui en souffrent dans leur vie quotidienne.

Je m’adresse à ceux qui ne se reconnaissent plus dans le miroir ;

Je m’adresse à ceux qui ont honte de se montrer en maillot de bain ;

À ceux qui complexent sur leurs hanches, leurs fesses, leurs cuisses ou leur ventre et qui essayent de les cacher à tout prix derrière leurs vêtements.

Mais surtout…

… Je m’adresse à tous ceux qui veulent perdre leurs kilos en trop mais qui n’y arrivent pas.

Car pour 2025, je peux vous aider. Et je vais vous expliquer comment dans un instant.

Mais avant cela, j’aimerais souligner une chose qu’on ne dit pas assez souvent :

Perdre du poids, c’est avant tout pour gagner une santé de fer

Les gens qui veulent perdre du poids le font souvent pour se sentir mieux dans leur corps. 

Personne n’a le droit de les juger pour ça, c’est normal.

Mais si vous avez quelques kilos en trop, ce n’est peut-être pas le miroir ou la balance qui vous posent le plus de problèmes…

Vous avez peut-être du mal à monter les escaliers ;

À jouer au ballon avec vos enfants ou vos petits-enfants ;

Et cela commence peut-être à vous inquiéter.

Alors, j’aimerais vous montrer les effets bénéfiques énormes que peut avoir une perte de poids sur votre santé.

Une étude publiée en 2016 a montré que perdre quelques kilos pouvait suffire pour vivre plus longtemps et en meilleure santé⁽²⁾ : 

• Votre cœur fonctionnera mieux quand vous aurez perdu un peu de poids, avec des artères moins encombrées de graisses en excès⁽³⁾.

• Votre digestion sera facilitée et plus confortable⁽⁴⁾. 

•  Vos jambes seront plus légères grâce à une meilleure circulation veineuse. 
  Le risque d’avoir des varices sera diminué^(5,6).

• Vos articulations seront moins sollicitées avec quelques kilos de moins à porter. 
  Vous serez moins gêné dans vos mouvements⁽⁷⁾. 

• La qualité de votre sommeil sera améliorée⁽⁸⁾. 

Et des études ont même montré qu’une perte de poids durable améliore les performances cognitives ! (mémoire, attention, langage…)⁽⁹⁾

Il existe donc mille raisons de vouloir perdre quelques kilos en trop

Le problème c’est que vous avez peut-être déjà essayé.

Et que ça n’a jamais fonctionné correctement…

… Comme si les graisses étaient « bloquées » à l’intérieur de votre corps.

Mais si c’est le cas, lisez attentivement ce qui suit.

Car ça pourrait tout changer pour vous.

Dans les prochains jours, je vais vous expliquer comment vous pouvez « autoriser » votre corps à mincir en régulant ces 3 hormones verrous qui vous empêchent de vous débarrasser de vos kilos en trop.

Et quel que soit votre âge ;

Votre sexe ;

Ou votre poids de départ…

… Vous allez enfin voir la différence. 

Alors prêtez attention à votre messagerie.

Une opportunité efficace et naturelle d’éradiquer vos problèmes de poids arrive sous peu.

Et cela n’a rien à voir avec un régime restrictif, ou une pilule miracle.

À demain,

Sources scientifiques :
1. Annick Fontbonne et al., Journal of Clinical Medicine 12, no 3 (2023): 925
2. Faidon Magkos et al., Cell metabolism 23, no 4 (2016): 591‑601
3. Marc-Andre Cornier et al., Circulation 124, no 7 (2011): 840‑50
4. Barry L. Fisher et al., Digestive diseases and sciences 44 (1999): 2290‑94./ Le piment aide à protéger l’estomac en cas d’ingestion de substances irritantes (par exemple des épices relevées)
5. A. M. Van Rij et al., European Journal of Vascular and Endovascular Surgery 35, no 6 (2008): 739‑44.
6. Arcangelo Iannuzzi et al., Journal of vascular surgery 36, no 5 (2002): 965‑68.
7. Stephen P. Messier et al., Arthritis & Rheumatism 52, no 7 (2005): 2026‑32
8. Kathryn M. Ross, J. Graham Thomas, et Rena R. Wing, Journal of behavioral medicine 39 (2016): 465‑71.
9. Nicola Veronese et al., Neuroscience & Biobehavioral Reviews 72 (2017): 87‑94