Oui, Non, Peut-être, Je sais pas…
« La raison sépare et isole alors que l’intuition unifie et harmonise. » Shafique Keshavjee ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ Hellooooo, Semaine aux 1000 choix ou semaine sans choix ? Si je vous…
Hellooooo,
Semaine aux 1000 choix ou semaine sans choix ?
Si je vous parle d’indécision chronique, de procrastination pro, et de championnats de la tergiversation, est-ce que cela vous parle ?
Aujourd’hui, plongeons dans les méandres de l’incapacité humaine à choisir. Vous savez, cette sensation familière d’être coincé entre deux options et plus, comme un âne affamé hésitant entre deux bottes de foin.
Pourquoi est-ce si difficile de se décider ? Et surtout, quel est le secret pour faire des choix intelligents et éclairés ?
Connais-tu le syndrome du Buffet à volonté ?
Imaginez-vous dans un buffet à volonté. Il y a des centaines de plats, des entrées aux desserts, tous plus appétissants les uns que les autres. Le problème ? Vous ne pouvez pas tout prendre (à moins de posséder un estomac élastique et une incroyable capacité de digestion). Votre cerveau se retrouve alors submergé par les options. Certains pros appellent cela le « paradoxe du choix » : plus nous avons d’options, plus il devient difficile de choisir. Perso, je préfère l’appeler à ma manière particulière : « Le Festin des mille délices ».
Face au « Festin des mille délices », une des solutions est de restreindre les délices (dixit les options). Limitez-vous à un petit nombre de choix, comme au bon vieux temps où il n’y avait que trois chaînes de télévision. Votre cerveau conservera son mode décision et n’entrera pas en mode panique.
Avez-vous déjà passé des heures à choisir un film/docu fiction/biopic/etc sur Netflix pour finalement… ne rien regarder ? C’est la peur du mauvais choix. Notre peur de regretter une décision (peu importe le type de décision) pousse notre cerveau à procrastiner.
Pourquoi s’engager dans une voie qui pourrait potentiellement être une impasse ?
Certaines personnes adoptent la méthode du « choix satisfaisant ». Plutôt que de chercher l’excellence, ils cherchent quelque chose qui est « assez bon » (=> le film qui a l’air sympa, même si ce n’est pas le chef-d’œuvre du siècle). Certes, ils économisent des neurones, mais ils ne vibrent pas et perdent potentiellement du temps. Or l’Univers est vibratoire => « Satisfais-toi de vivre du moyen, tu obtiendras du moyen ».
Un des secrets de la sagesse décisionnelle pourrait être, ou non, la méthode du « Yes Man ».
Vous rappelez-vous ce film avec Jim Carrey dans lequel il dit « oui » à tout ? Oh my God ! Eh bien, ce n’est pas tout à fait ce que perso je ferais, mais il y a une leçon à tirer. Parfois, dire « oui » plus rapidement et plus souvent peut nous libérer de la paralysie de l’analyse, mais en même temps nous empêche de nous affirmer et de prendre notre place en osant dire « non ».
Ok cocotte, alors on fait comment ?
Une astuce est de développer une habitude de décisions rapides sur les petites choses, sans conséquence majeure pour aider notre cerveau à devenir plus agile pour les grandes décisions.
Mais LE truc & astuce de JEDI est votre INTUITION. Elle sera toujours plus rapide que votre cerveau. Notre petite voix intérieure SAIT ce que notre cerveau analytique met des heures à comprendre !
Dans le labyrinthe des options, écoutez votre intuition ! Elle est votre guide infaillible si tant est que vous l’ayez judicieusement développée et travaillée…
« L’indécision est une forme de méconnaissance profonde de soi dont l’antidote est
la pleine libération de ses capacités intuitives. » A.N
Beau WE… InTuition !
Adela
https://linktr.ee/adelanoste