Pranams Moksha Sadhaka, 

Dans les années 1930, si vous aviez une dépression, le traitement que l’on vous prescrivait, c’était une lobotomisation.

Ce n’est pas une blague.

Vous alliez voir votre médecin pour un coup de mou…

Et vous vous retrouviez avec un bout de cerveau en moins !

Traduction :
Êtes-vous déprimé ?
Souffrez-vous d’anxiété ou de migraines ?
Vous avez peut-être besoin d’une lobotomie
Schizophrénie, trouble panique, OCD, douleurs chroniques, crises de violence, syndrome de stress post-traumatique, trouble de l’attention, Alzheimer, proches ingérables
Ne prend que 10 minutes ! 

Mais ce n’est même pas le plus inquiétant.

Alors même que dès la fin des années 1930, de graves effets secondaires avaient été observés.

Changement de personnalité, perte de spontanéité, incapacité à fonctionner de manière autonome.

Et que, cerise sur le gâteau, l’auteur de cette procédure documentait mal ses procédures et ne faisait aucun suivi de ses patients après l’opération.

Cela n’a pas empêché que

Oui, vous avez bien lu.

À l’époque, il n’y avait pas d’autres solutions.

Et puis, comme après la procédure, le patient ne pouvait plus fonctionner normalement – il n’était donc plus déprimé… alors Egas Moniz a reçu le prix Nobel de la Médecine en 1949.

Qui est quand même la plus haute distinction dans le domaine !

Heureusement, en 1950 les effets secondaires graves s’accumulaient beaucoup trop, cette procédure a été abandonnée au profit d’autre chose : le traitement par électrochocs.

Est-ce mieux ? Je suis partagé. 

D’un côté, les effets sont plus réversibles que la lobotomie, vous avez toujours votre cerveau…

Mais la douleur ne semble pas être à la hauteur des résultats.

Donc, on a torturé les patients pendant quelque temps, jusqu’à l’arrivée de la pharmacologie.

Et comme le Messie que l’on attend pendant des décennies, elle a sorti l’artillerie lourde avec un éventail de solutions : Halopéridol, Chlorpromazine, Olanzapine, Fluoxétine, Sertraline, Venlafaxine, Amitriptyline, Bupropion, Valproate, Diazépam, Alprazolam et j’en passe !

Fantastique, non ? Avec autant de solutions, c’est sûr que chacun trouve un traitement personnalisé sans aucun effet secondaire.

Oui mais… pas vraiment.

Les benzodiazépines (Diazépam, Alprazolam), des médicaments contre l’anxiété, ont des effets secondaires lourds comme la somnolence, la faiblesse musculaire, des problèmes de mémoires, des changements d’humeur). Ils créent aussi une forte dépendance, ce qui rend sonsevrage difficile. Malgré cela, leurs prescriptions et leurs champs d’application n’ont jamais cessé de grossir depuis les 50 dernières années.

Les antidépresseurs (Fluoxétine) qui peuvent donner de l’anxiété (pratique…), des vertiges, de l’hypertension, des convulsions et même des pensées suicidaires ! Cela n’a pour autant pas empêché leur prescription de croître également ces 50 dernières années. Et pire ! On les prescrit encore plus facilement. Ils sont devenus la solution pour tous les troubles possibles et imaginables (humeur, anxieux, alimentaires, douleurs chroniques), et ce, même chez l’enfant !

En fait, la médecine a un terrible secret qu’elle n’osera jamais vous avouer…

Laissez-moi vous expliquer.

La falsification est le principe fondamental de la médecine actuelle.

C’est-à-dire que les traitements et les solutions qui vous sont proposés sont les meilleurs qui existent… aujourd’hui avec les données et les informations actuelles.

Mais dès qu’il y a une nouvelle information, ce que votre médecin vous a dit devient donc… faux. 

La médecine n’a donc, dans le fond, aucune certitude absolue.

Aucun médecin ni scientifique digne de confiance ne peut vous dire à 100% que ce qu’il dit ou a trouvé est vrai.

C’est pourquoi, 

Sans le savoir, ou sans vous le dire, votre médecin vous propose des traitements « faute de mieux ». 

La médecine vous assomme jours et nuits avec ses preuves, ses courbes et ses études lorsqu’il y a une nouvelle « avancées scientifiques »,

Les entreprises pharmaceutiques déploient autant de moyens pour faire prescrire (pour ne pas dire vendre) leurs médicaments.

Car tout repose sur un mensonge.

Alors maintenant je vous demande, 

Êtes-vous prêt à être le cobaye de la prochaine lobotomisation, pour qui on se rend compte trop tard que ce n’était pas la bonne méthode ?

Êtes-vous prêt à accepter une médecine qui récompense avec la plus haute distinction des pratiques barbares, car elle n’a pas mieux sous le coude ?

Êtes-vous prêt à continuer à suivre aveuglément une médecine qui est vraie aujourd’hui mais qui est fausse demain ou dans 1 an ?

En fait, il n’y a qu’une seule qui importe : 

Car c’est la vérité d’aujourd’hui. 

Que ce soit pour vos douleurs physiques,

Vos tracas émotionnels,

Ou vos états d’âmes…

La médecine occidentale n’a qu’une seule réponse : traitement chimique.

Alors qu’il existe un autre chemin beaucoup plus simple et doux. 

Qui ne vous demande pas de sacrifier une part de vous.

Car ce qui vous est présenté comme un « remède miracle » est en fait un raccourci… droit vers 7 pieds sous terre.

En restant dans le déni, et en ne voulant pas réellement prendre en main tout votre être, vous vous mettez réellement en danger.

C’est pourquoi votre Saint-Graal n’est ni dans les traitements chimiques, ni dans votre mental.

Votre quête spirituelle est un tout que vous devez développer, regarder, apprivoiser.

Ce chemin peut vous sembler long, trop long.

Vous pouvez penser que vous êtes seul…

… Parfois même, vous voulez lâcher l’affaire, car à quoi bon…

Mais avant de tout laisser tomber, ouvrez mon email de demain.

Car à l’intérieur je vous explique pourquoi vous avez toujours l’impression de ne pas être entier… Mais surtout comment le tourner en force ! 

Alors à demain,

Gabriel Ethos