LE secret pour moins souffrir…đ
Lâhumain choisit de souffrir, il sâinflige ce marathon pour Ă©viter de lĂącher la corde ! ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ ͏ Hellooooo chers amis du vendredi midi,âșïž Welcome aux heureux nouveaux venus qui dĂ©couvrent…
Hellooooo chers amis du vendredi midi,âșïž
Welcome aux heureux nouveaux venus qui dĂ©couvrent cette newsletter du vendredi midi pour la premiĂšre fois.đ€
đ Son objectif est de transmettre des tips de Joie de Vivre, entre autres.
Sentez-vous libres de mâadresser vos questions, retours, etc.
JâespĂšre que vous avez passĂ© une belle et merveilleuse semaine !
đ§ Imaginez un instant : vous ĂȘtes dans un marathon. Pas le genre avec une mĂ©daille en chocolat Ă la fin, non. Celui oĂč vos pieds brĂ»lent, votre souffle siffle et, bizarrement, vous avez oubliĂ© pourquoi vous couriez au dĂ©part. Eh bien, chers amis du vendredi, bienvenue dans le marathon de la souffrance humaine ! Pourquoi faisons-nous cela ? Pourquoi l’ĂȘtre humain court-il aprĂšs une ligne d’arrivĂ©e imaginaire avec des chaussures trop petites ?
La rĂ©ponse est simple, mais pas facile Ă avaler (comme un verre dâeau en pleine courseđ€Ș) : la souffrance est souvent le fruit de nos propres choix… (in)conscients. Oui, oui. Nous mettons nos baskets nous-mĂȘmes ! En somme, la plupart du temps, nous dĂ©cidons de notre souffrance et de sa durĂ©e ! Mais la souffrance est OPTIONNELLE ! SpĂ©cialiste de la question, la souffrance a fait lâobjet de mon tout premier roman. Le jour oĂč jâai intĂ©grĂ© Ă mon systĂšme que jâĂ©tais mon propre dĂ©mon, cela ne mâa pas fait plaisir du tout⊠Mais pire, je me suis dit que jâĂ©tais complĂštement folle de mâinfliger des souffrances inexistantes ! Elles nâont pas de matiĂšre en soi, notre esprit non maitrisĂ© les crĂ©e donc libre Ă chacun de les faire sâenvoler ou de les laisser nous enfoncer. Câest un fantastique jeu de leviers !
Constat : la vie est bien plus belle sans souffrance !
La souffrance est une vieille amie collante, une sorte de colocataire encombrante.
Elle sâinstalle chez vous sans gĂȘne et met ses chaussettes sur votre canapĂ©. On voudrait la virer, mais elle trouve toujours un prĂ©texte pour rester : un vieux regret, une peur mal digĂ©rĂ©e, un idĂ©al trop haut perchĂ©. Cela vous parle-t-il ?
đ Nous souffrons parce que nous croyons que la vie devrait ĂȘtre diffĂ©rente de ce quâelle est. On rĂȘve de soleil, mais la mĂ©tĂ©o de la rĂ©alitĂ© fait ce quâelle veut !
Le piĂšge du contrĂŽle fait souffrir ! Le seul contrĂŽle Ă avoir est sur SOI-MĂME ! Et cela se travaille !
Imaginez maintenant que vous ĂȘtes en train de tenir une corde.
Au bout de cette corde se trouve tout ce que vous ne contrĂŽlez pas. Et plus vous tirez dessus, plus vos mains brĂ»lent. La souffrance, c’est ça : une lutte constante pour contrĂŽler ce qui Ă©chappe Ă nos mains. La premiĂšre Ă©tape pour rĂ©duire la souffrance ? LĂącher cette corde ! Oui, câest contre-intuitif, mais câest lĂ que la magie opĂšre : les mains guĂ©rissent, et vous rĂ©alisez que la corde nâest pas nĂ©cessaire !
đ§ Mais alors, pourquoi souffrons-nous ? C’est comme si notre cerveau avait un contrat secret avec la souffrance. Une sorte de « si je souffre, je mĂ©rite plus » ou « si je souffre, on va me plaindre et mâaider, youpi » ou encore « si je m’inquiĂšte, je serai prĂ©parĂ©e ». Spoiler : ça ne marche jamais vraiment comme ça ! En rĂ©alitĂ©, la souffrance n’ajoute rien de positif Ă la situation, elle nous ralentit. Se cacher derriĂšre la souffrance, câest se positionner en victime donc se fermer aux portes du bonheur !
đ€ Peut-ĂȘtre pensez-vous : « Elle est barge cette nana, la vie est dure, on est bien obligĂ© de souffrir ! Quel serait le mode dâemploi alors pour rĂ©duire la souffrance ?! »
Mes chers amis du vendredi, le remÚde miracle pour réduire cette douleur est LA CONSCIENCE ! Elle est votre lampe torche pour éclairer les piÚges invisibles sur votre chemin. Vous marchez plus léger, plus sereinement. Pour chaque moment de stress, de tension, de tristesse, prenez une pause et demandez-vous :
đ€ « Est-ce que ça vaut vraiment la peine de continuer Ă courir avec des baskets en feu ? »
Mais vous vous en doutez, on ne parvient pas aisĂ©ment Ă sortir de la souffrance seul puisque lâon est aveugle pour soi-mĂȘme !
En fin de compte, la souffrance est un professeur dĂ©guisĂ©. Top, perso, j’adooooore les dĂ©guisements !
La souffrance nous pousse Ă grandir, mais on peut choisir dâapprendre la leçon sans en faire trop. Un peu comme un Ă©lĂšve modĂšle qui rĂ©ussit sans suer Ă grosses gouttes. On ne peut pas l’Ă©viter totalement mais on peut clairement raccourcir ses dĂ©lais !
đđ»ââïž Moins de course, plus de vie ! đ„ł
âșïž La prochaine fois que vous vous surprenez Ă serrer les dents ou Ă tirer sur cette fameuse corde, pensez Ă lĂącher prise… Vous verrez, la vie devient tout de suite plus lĂ©gĂšre… et vos pieds vous remercieront !
đš Vous voulez arrĂȘter de souffrir? (Re)Activer votre JOIE !!!!!
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Vous découvrirez :
đ 5 clĂ©s majeures de rĂ©ussite
đ 5 erreurs fatales anti-joie
đ 4 fondamentaux oubliĂ©s & 4 Ă©tapes vers la joie de vivre !
En attendant de nous retrouver, je vous souhaite un merveilleux WE ! đ„ł
Avec toute ma lĂ©gĂšretĂ© (et mes baskets confortablesđ€Ș),
Adela
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