Cher(e) ami(e),
Un trésor légendaire, connu sous le nom de « nectar des pharaons », se cache dans les pages du papyrus Ebers, le plus ancien traité médical connu, datant de plus de 3 500 ans1.
Parmi les 700 remèdes naturels mentionnés dans ce papyrus, ce nectar occupe une place spéciale.
Non seulement il était apprécié pour son goût rafraîchissant, mais surtout pour ses propriétés thérapeutiques exceptionnelles2 :
-
Diminution de l’hypertension3 ;
-
Accélération du métabolisme pour faciliter la perte de poids4 ;
-
Stabilisation du taux de glycémie5 ;
-
Action antioxydante grâce à sa richesse en vitamine C et en anthocyanes6 ;
-
Réduction du taux de mauvais cholestérol et des triglycérides7.
Au fil des siècles, ce nectar s’est répandu au-delà des frontières de l’Égypte et a conquis le monde entier…
Jusqu’à arriver chez Monique
(histoire incroyable !)
Après avoir accouché, Monique a connu des problèmes d’hypertension post-grossesse.
Elle était inquiète à l’idée de prendre des médicaments qui pouvaient passer dans le lait maternel.
Les hypotenseurs prescrits par son médecin ne semblaient pas fonctionner.
C’est alors qu’elle a découvert la boisson des pharaons8.
En seulement trois jours, sa tension artérielle est revenue à la normale, et elle a pu retrouver une vie normale, sans bourdonnements, palpitations ni maux de tête9.
Et elle n’est pas la seule.
Une étude menée en 2004 sur 90 patients souffrant d’hypertension légère à modérée a montré que cette boisson réduisait la pression artérielle systolique de 11% et la pression artérielle diastolique de 12,4%10.
Des chercheurs ont découvert que cette boisson contient un composé appelé Anthocyane, qui s’est avéré aussi efficace que le Captopril, un médicament couramment prescrit, pour traiter l’hypertension11.
Et l’avantage, c’est que vous pouvez profiter de cette boisson depuis le confort de chez vous, car c’est
L’infusion d’hibiscus :
Consommez-en sans modération
Mais il y a mieux !
L’hibiscus n’est qu’une des nombreuses plantes qui peuvent devenir de véritables trésors pour votre santé.
Les tisanes à base de cynorrhodon, de thym, de sabline rouge, d’achillée millefeuille, de cassis, de prêle et de matricaire ont toutes des propriétés bénéfiques pour soulager divers problèmes de santé :
Douleurs articulaires, déclin cognitif, calculs urinaires, troubles digestifs et bien plus encore12.
L’effet de synergie qui se produit lorsque plusieurs plantes sont combinées dans une même tisane multiplie les bienfaits thérapeutiques.
C’est une véritable bombe thérapeutique à portée de main.
Alors n’hésitez pas à en profiter en fin de journée.
|
1 . Papyrus Ebers. (n.d.). Retrieved from https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c5/Papyrus_Ebers.png 2 . Bown, D. (1995). Encyclopédie des plantes médicinales. Paris: Editions de Vecchi. 3 . Herrera-Arellano, A., Flores-Romero, S., Chávez-Soto, M. A., Tortoriello, J., & Arévalo-Gallegos, S. (2004). Effectiveness and tolerability of a standardized extract from Hibiscus sabdariffa in patients with mild to moderate hypertension: a controlled and randomized clinical trial. Phytomedicine, 11(5), 375-382. 4 . Mozaffari-Khosravi, H., Jalali-Khanabadi, B. A., Afkhami-Ardekani, M., & Fatehi, F. (2009). Effects of sour tea (Hibiscus sabdariffa) on lipid profile and lipoproteins in patients with type II diabetes. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 15(8), 899-903. 5 . Mozaffari-Khosravi, H., Jalali-Khanabadi, B. A., Afkhami-Ardekani, M., & Fatehi, F. (2009). Effects of sour tea (Hibiscus sabdariffa) on lipid profile and lipoproteins in patients with type II diabetes. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 15(8), 899-903. 6 . Madsen, H. L., & Bertelsen, G. (1996). Anthocyanins as natural antioxidants. Journal of Agricultural and Food Chemistry, 44(11), 3422-3427. 7 . Mozaffari-Khosravi, H., Jalali-Khanabadi, B. A., Afkhami-Ardekani, M., & Fatehi, F. (2009). Effects of sour tea (Hibiscus sabdariffa) on lipid profile and lipoproteins in patients with type II diabetes. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 15(8), 899-903. 8 . Mohamed, M. A., & Hussein, L. A. (2007). Tannins and anthocyanins content in Hibiscus sabdariffa and Malva parviflora herbal teas consumed in Sudan. Bulletin of the National Research Centre, 32(2), 239-247. 9 . Clemençon, T. (2016). Secret des pharaons. Editions Leduc.s. 10 . Herrera-Arellano, A., Flores-Romero, S., Chávez-Soto, M. A., Tortoriello, J., & Arévalo-Gallegos, S. (2004). Effectiveness and tolerability of a standardized extract from Hibiscus sabdariffa in patients with mild to moderate hypertension: a controlled and randomized clinical trial. Phytomedicine, 11(5), 375-382. 11 . Mozaffari-Khosravi, H., Jalali-Khanabadi, B. A., Afkhami-Ardekani, M., & Fatehi, F. (2009). Effects of sour tea (Hibiscus sabdariffa) on lipid profile and lipoproteins in patients with type II diabetes. Journal of Alternative and Complementary Medicine, 15(8), 899-903. 12 . Bown, D. (1995). Encyclopédie des plantes médicinales. Paris: Edition
|