Je vais être honnête avec toi.
Je pensais que
SWITCH allait exploser cette fois-ci.
En décembre, on a fait salle comble.
En janvier, presque aussi bien.
En février… 3 ventes seulement.
Et je ne vais pas te mentir : ça m’a mis une claque.
Parce que j’étais convaincu que j’avais entre les mains un processus puissant,
accessible, capable de transformer des centaines de vies.
Alors j’ai cherché à comprendre.
J’ai regardé mes autres opportunités du moment.
Ce week-end,
j’étais en Alsace, payé pour intervenir sur scène au congrès national d’une entreprise.
Je repars avec 3 prospects chauds,
plus le patron de l’entreprise lui-même qui veut aller plus loin.
Hier soir,
à une simple soirée réseau, sans même chercher à vendre,
un DG dans la grande distribution, une notaire et une responsable d’agence immobilière
m’ont demandé un rendez-vous.
Et là, j’ai compris une chose.
Ce n’est pas que
SWITCH n’a pas de valeur.
C’est que je ne suis peut-être pas en train de l’offrir aux bonnes personnes, pas au bon moment.
Et tu sais quoi ?
Ça va dans le sens de ce que j’enseigne :
Quand tu forces quelque chose et que ça ne répond pas…
c’est peut-être que ce n’est pas là que tu es censé être.
Alors je prends une décision.
SWITCH ne reviendra pas sous cette forme.
Ça ne veut pas dire que je ne proposerai plus jamais
de transformations puissantes et accessibles à tous.
Ça veut juste dire que je vais explorer une autre manière de le faire.
Si tu fais partie des 3 personnes qui ont déjà pris leur place,
ou de ceux qui vont le faire d’ici vendredi,
je suis honoré(e) de vous accompagner pour ce denrier
SWITCH,
et crois-moi, ce sera une session puissante.
Mais pour ceux qui ne participeront pas,
Je ne suis pas triste.
Je suis reconnaissant d’avoir eu cette expérience.
Et j’ai hâte de voir où cela va me mener.
À très bientôt,
Cédric