|
Chère lectrice, Cher lecteur,
Les remèdes naturels ne fonctionnent pas…
En tout cas, c’est ce que je pensais il y a encore quelques années.
Depuis mes 12 ans, j’avais un seul objectif en tête : éradiquer toutes les douleurs et toutes les maladies.
Il faut dire que je n’ai pas eu de chance avec mon entourage.
Pour moi, mon père a toujours souffert d’hypertension.
Ma mère se sont les douleurs de l’arthrose qui l’handicapait.
Mes deux grands-pères sont décédés de cancers, un du poumon, l’autre du foie.
Ma grand-mère maternelle a eu un AVC.
Et ma grand-mère paternelle avait tellement d’ostéoporose, qu’à la première chute, c’était très compliqué… Et son diabète n’a pas arrangé les choses.
Donc à 12 ans,
Je voulais sauver le monde avec LA pilule miracle
Et j’étais convaincu que c’était seulement possible avec les procédés technologiques.
J’ai donc fait un Master en Chimie et Sciences du Vivant à l’ENS et l’Université Grenoble Alpes.
J’ai poursuivi en stage dans un grand laboratoire qui m’a ensuite recruté.
Et pendant 17 ans, j’ai travaillé d’arrache-pied pour réaliser ce rêve.
J’essayais des nouvelles technologies, des nouvelles méthodes, des nouveaux protocoles…
J’ai découvert plusieurs molécules qui étaient très prometteuses.
Mais à chaque fois, quelque chose clochait.
Soit
Les effets secondaires étaient beaucoup trop nombreux,
L’efficacité n’était pas au rendez-vous,
Ou la prise était trop complexe.
J’allais presque lâcher l’affaire, mais à 41 ans, mon médecin me diagnostique de l’arthrose…
Je n’en croyais pas mes oreilles, j’étais trop jeune pour en avoir.
Et pourtant il était catégorique.
Les solutions qu’il me proposait étaient à base de paracétamol, de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), d’injections de corticostéroïdes et, en dernier recours, de chirurgie.
Mais ces solutions viennent avec des effets secondaires lourds que je connaissais trop bien, comme l’hypertension, des dommages du foie, une prise de poids et aussi un risque élevé d’accoutumance aux corticostéroïdes.
Alors, avant de devenir un drogué de ces médicaments, j’ai commencé à fouiller dans les archives de la science, et je suis tombé sur ce document explosif qui a tout changé…
Ces 2 milliardaires ont tout fait pour que ces solutions tombent dans l’oubli
|
|
John D.Rockefeller, magnat du pétrole (à gauche) et Andrew Carnegie, industriel à succès (à droite) sont sûrement les deux hommes les plus riches en 1910.
À cette époque, ils n’avaient rien à voir avec l’industrie pharmaceutique.
Jusqu’au jour où, à la recherche de plus de profits, un employé de Rockefeller a fait une découverte révolutionnaire :
Les « déchets » de l’industrie pétrolière peuvent être transformés en médicaments.
Bingo !
Car si les remèdes naturels bruts ne sont pas très rentables (car impossible de déposer un brevet),
Les médicaments chimiques, transformés et donc brevetables, peuvent, eux, rapporter des milliards.
Et si en plus, les matières premières sont des déchets qui ne coûtent rien, alors les profits explosent.
C’est ce qu’ils ont réussi à faire par exemple pour l’ibuprofène, le paracétamol et presque tous les anti-douleurs modernes qui contiennent du benzène ou du toluène.
Mais il y avait une chose qui barrait la route des milliards : les médecins devaient prescrire ces médicaments.
Et pour cela, il fallait éliminer la concurrence : les remèdes naturels utilisés jusqu’à présent.
Chose que Rockefeller et Carnegie font en finançant un audit sur la qualité de l’éducation médicale dans les écoles de médecine des États-Unis et du Canada.
Et voici la conclusion :
« Il convient donc de les [les remèdes naturels] déclarer charlataneries et cesser de les enseigner dans les écoles de médecine pour n’y laisser apprendre que l’usage des molécules modernes »
Sur quoi base-t-il leur jugement ?
Des preuves ? Des chiffres ? Des études ?
Non, seulement leur conviction et leur croyance dans la standardisation… et leur envie de faire de l’argent.
Mais le mal est fait.
Surtout, qu’ils ne vont pas s’arrêter à un simple audit.
Ils vont aussi s’assurer que ces conclusions soient lues et partagées par toute la population.
Ils se lancent donc dans une campagne massive de propagande.
Résultat dans les années qui ont suivi :
La quasi-totalité des écoles de médecine américaine qui parlaient des remèdes naturels sont obligées de fermer…
… Car si vous ne suiviez pas la « vérité » du rapport, vous n’étiez plus financés.
Et c’est comme cela, grâce aux manipulations et aux chantages, qu’on nous met dans la tête depuis notre plus jeune âge, que la chimie est supérieure à la nature.
Vous vous dites peut-être que cette situation est impossible en France ? Que nous ne sommes pas aveuglés par la course à l’argent et au profit ?
Détrompez-vous…
L’herboristerie en France est aussi illégale que l’alcool aux États-Unis pendant la prohibition !
Le 11 septembre 1941, en pleine Seconde Guerre Mondiale, la population est éprouvée, affamée et malade :
Typhus, fièvre des tranchées, infections buccales, douleurs articulaires chroniques, bronchites, pneumonies, poux, scarlatine, diphtérie, coqueluche, rougeole, méningite… et j’en passe.
Dans ce contexte très tendu, le Maréchal Pétain apporte le coup de grâce aux remèdes naturels.
|
|
Il déclare « illégal » l’activité d’herboriste sous prétexte de centraliser les professions de santé entre les mains de professionnels jugés plus « fiables » et « scientifiques ».
Avec une seule phrase, il prive des milliers de personnes des remèdes naturels dont ils avaient l’habitude de se soigner, au pire moment.
|
Mais pendant que certains désespèrent, d’autres se frottent les mains : les pharmaciens.
Car grâce à cette décision, ils ont récupéré le monopole quasi-complet pour la vente de remèdes médicinaux naturels.
Sauf 148 remèdes, qui sont TROP puissants et TROP simples d’utilisation pour que les gens croient réellement qu’ils étaient dangereux. Je vous en dis plus dans la suite de mon message.
C’est comme ça, que les herboristes ont disparu les uns après les autres.
Si l’on comptait près de 4500 herboristeries avant 1941, ce chiffre n’est plus que d’une dizaine en activité au moment où je vous écris.
En faisant ces découvertes, je me suis demandé : pourquoi sortir l’artillerie lourde pour s’approprier le monopole de remèdes naturels moins efficaces ?
Personne ne perd son temps pour des choses sans intérêt.
Encore moins des personnes aussi perspicaces que les pharmaciens.
Et c’est là que mon intuition m’a dit : et si c’était la preuve de la grande efficacité et de l’extrême puissance de cette médecine naturelle ?
Alors avec l’intuition sur les solutions naturelles, je me suis mis à chercher, et j’ai trouvé :
Le curcuma : cette épice qui « huile » vos articulations
|
|
500 – 1000 mg de curcumine par jour… et mes douleurs ont disparu !
Il faut savoir que le curcuma est connu depuis l’Antiquité.
De l’hindouisme jusqu’à la médecine traditionnelle chinoise, elle a toujours eu une place centrale.
Et c’était écrit noir sur blanc :
Le curcuma contribue à la santé des articulations et aide à maintenir la flexibilité des articulations.
Mais les bienfaits de cette plante ne s’arrêtent pas là.
C’est en fait un véritable cadeau de la nature.
On la surnomme l’« épice de la longévité » dans la tradition ayurvédique, et ce n’est pas pour rien :
Comment c’est possible ?
En fait, c’est assez simple,
Le curcuma combat 2 phénomènes mortels
Pour vivre longtemps et en bonne santé, il faut faire face à :
-
L’oxydation, ou stress oxydatif, qui est la pollution de votre organisme par les radicaux libres. Ils s’attaquent à vos cellules et modifient vos gènes, accélèrent votre vieillissement et représentent un des principaux facteurs de risque de maladie ;
Mais le « truc » qu’on oublie de vous dire, c’est qu’il faut en même temps conserver un faible niveau de stress oxydatif ET aider à maîtriser la réponse inflammatoire.
Car les 2 se nourrissent mutuellement.
Si vous vous occupez de l’une mais pas de l’autre, cela laisse plus de place à celle que vous avez laissée tranquille.
C’est pour ça que le curcuma est si puissant, car il fait les 2 en même temps.
Mais avant de vous jeter sur la première boîte, je dois vous parler du
Gros problème de la curcumine
Et c’est sa biodisponibilité.
C’est-à-dire que seule une très petite partie du curcuma que vous allez manger va réellement être utilisée par votre corps.
En l’état, vous utilisez à peine 5% de la totalité que vous consommez car :
-
Une fois ingérée, la curcumine se décompose rapidement dans votre foie et dans votre intestin à cause du pH qu’elle ne supporte pas. Du coup, avant même qu’elle puisse être absorbée dans votre sang, une grande partie a déjà été détruite et éliminée ;
|
|
Mais pas de panique.
Pour bénéficier de tous ces bienfaits, vous n’allez pas devoir augmenter votre consommation, mais plutôt utiliser ces
2 boosters de la biodisponibilité du curcuma
Tout d’abord, le poivre noir, avec son principe actif la pipérine, est bien connu pour améliorer les effets du curcuma.
|
|
Si vous n’avez aucun problème de digestion, je vous le conseille les yeux fermés.
Dans le cas contraire, attention.
Car pour permettre à votre corps d’absorber jusqu’à 20 fois plus de curcumine, la pipérine va
Empêcher certaines enzymes de vos intestins de fonctionner,
Ralentir son élimination,
Mais aussi augmenter la perméabilité de votre paroi intestinale pour permettre à plus de curcumine de passer de votre intestin dans votre sang.
Ce qui signifie potentiellement que d’autres éléments nocifs, comme les métaux lourds, vont aussi passer.
Donc si vous avez un doute sur votre paroi intestinale, autant opter pour la deuxième synergie surpuissante : le fenugrec.
|
|
Cette plante est déjà connue pour ses effets sur la glycémie, le taux des lipides sanguin, la digestion, la libido et le système immunitaire.
Mais ce qui nous intéresse aujourd’hui c’est sa teneur en galactomannane.
Le galactomannane est soluble dans l’eau. En se liant avec la curcumine, il va la rendre soluble également. Et en étant plus soluble, une plus grande quantité va être absorbée par votre système digestif !
Avec ces 2 boosters, vous allez pouvoir profiter de tous les bienfaits de cette pépite de la nature :
|
|
Vous pouvez télécharger gratuitement cette fiche d’identité en cliquant ici >>
En plus, il est presque impossible de surdoser le curcuma dans votre alimentation.
C’est pourquoi il fait partie des 148 remèdes naturels dont je vous parlais au tout début.
Ceux qui ne sont pas passés sous le contrôle des pharmaciens.
De cette première trouvaille, je suis finalement tombé sous le charme de la médecine naturelle.
Et c’est là que j’ai compris que mon rêve quand j’avais 12 ans de trouver la pilule magique pour éradiquer les maladies ne serait pas une pilule chimique…
… Mais un remède naturel !
|
|
Cela fait maintenant 5 ans que moi, Antoine Simon, après des années chez Big Pharma, je suis devenu journaliste scientifique d’investigation.
Tous les jours, je fouille, je lis, j’étudie et je compare des dizaines d’études scientifiques, de méthodes d’experts et de conseils de thérapeutes pour démêler le vrai du faux.
Et laissez-moi vous dire que si Big Pharma est attiré que par les profits (et je l’ai vu de mes propres yeux),
La santé naturelle est aussi une jungle sans foi ni loi.
Aujourd’hui c’est devenu un marché très juteux.
Alors pour que vous ayez les bonnes informations, validées scientifiquement, je partagerai avec vous toutes mes découvertes des 5 dernières années.
Ce sera l’occasion de parcourir la liste des 148 remèdes naturels, mais aussi des ingrédients du quotidien, que vous pouvez très facilement trouver autour de chez vous, et qui ont des propriétés que vous n’aurez jamais soupçonnées !
Vous allez voir, reprendre le contrôle de votre santé naturellement n’aura jamais été aussi facile.
Alors surveillez bien vos emails, car la nature a encore de merveilleuses choses à partager avec vous.
Bien à vous,
|
|
PS : Dans mon prochain message, je vous montre un remède particulièrement efficace contre les risques cardiaques et les AVC… mais pas seulement. En une prise, vous pouvez également agir pour votre vue et votre peau !
|
Source :
https:// fr .wikipedia. org/wiki /Curcuma#Histoire
https:// daily .jstor .org/the-1910-report-that-unintentionally -disadvantaged-minority-doctors/
https:// www .mdpi. com/ 1999-4923/13/10/1715
https:// mdpi. com/ 1999-4923/13/12/2102
Rafe Bundy et al., « Turmeric extract may improve irritable bowel syndrome symptomology in otherwise healthy adults: a pilot study », Journal of Alternative & Complementary Medicine10, no6 (2004): 1015–1018.
Rajesh L. Thangapazham, Anuj Sharma, et Radha K. Maheshwari, « Beneficial role of curcumin in skin diseases », in The Molecular Targets and Therapeutic Uses of Curcumin in Health and Disease(Springer, 2007), 343–357.
Yi-Sun Yang et al., « Lipid-Lowering Effects of Curcumin in Patients with Metabolic Syndrome: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Trial », Phytotherapy Research28, no12 (2014): 1770–1777.
https:/ /therapeutesmagazine .com/7- bienfaits-de-curcumine-prouves-scientifiquement/
Jayesh Sanmukhani et al., « Efficacy and safety of curcumin in major depressive disorder: a randomized controlled trial », Phytotherapy Research28, no4 (2014): 579–585.
So Jung Kim et al., « Curcumin stimulates proliferation of embryonic neural progenitor cells and neurogenesis in the adult hippocampus », Journal of Biological Chemistry283, no21 (2008): 14497–14505.
Panahi et al., « Adjuvant Therapy with Bioavailability-Boosted Curcuminoids Suppresses Systemic Inflammation and Improves Quality of Life in Patients with Solid Tumors ».
https:// www. mdpi .com/2072-6643/11/9/2147
https:// www .mdpi. com/2072-6643/11/9/2147
Guido Shoba et al., « Influence of piperine on the pharmacokinetics of curcumin in animals and human volunteers », Planta medica64, no04 (1998): 353–356.
https:// www. ncbi. nlm .nih .gov/pmc/articles/PMC4963991/
https:// www .lemonde .fr /societe/article/2019/05/14 /l-inflammation-mal-du-siecle_5461715_3224.html
Meghna R. Adhvaryu, Narsimha M. Reddy, et Bhasker C. Vakharia, « Prevention of hepatotoxicity due to anti tuberculosis treatment: a novel integrative approach », World Journal of Gastroenterology: WJG14, no30 (2008): 4753.
K. Srinivasan, « Fenugreek (Trigonella foenum-graecum): A review of health beneficial physiological effects », Food reviews international22, no2 (2006): 203–224.
|
|
|
|
|