Il est temps d’affirmer nos valeurs

Chers lecteurs,

J’espère que vous avez passé un bon weekend et que vous avez rechargé vos batteries spirituelles car j’ai prévu pour aujourd’hui un programme assez costaud …

Si vous avez le temps, je vous recommande de visionner la dernière vidéo de Christine André dédiée à l’ignorance volontaire (<25min)…

Si vous ne la connaissez pas, Christine André est une médium parisienne (que je n’ai pas consultée) dont j’ai lu quelques ouvrages et que j’ai vue en conférence.

Sa particularité c’est qu’elle reçoit des enseignements de ses guides et que ce sont eux qui décident des thématiques de ses livres et de ses conférences.

Et en ce moment… les guides souhaitent que nous ouvrions les yeux sur :

L’ignorance volontaire… “Notre” ignorance volontaire…

Je trouve que cet enseignement et extrêmement important et si vous n’avez pas le temps de visionner la vidéo, je vais vous la fais à ma manière :

Le monde est en plein bouleversement… les énergies changent et nous sommes de plus en plus nombreux à comprendre que nous sommes cocréateurs de ce Monde…

Et que nous pouvons en faire un Paradis… à condition de travailler d’abord sur nous, et ensuite au bien-être de la Planète et des Etres qui la peuplent.

De l’autre côté, dans l’invisible, ils nous aident… mais ils n’ont pas de baguette magique, c’est à nous de faire le travail… tout au mieux peuvent-ils nous guider.

Et c’est ce qu’ils font aujourd’hui en nous ouvrant les yeux sur un des principaux freins au changement que nous mettons nous-même sans même nous en rendre compte :

Notre passivité face aux situations qui nous dérangent.

On peut appeler ça du déni… ou bien de l’ignorance volontaire… de quoi s’agit-il ?

Eh bien de ce réflexe que nous avons parfois à fermer les yeux sur une situation qui dérange, plutôt que de s’en saisir et de la faire cesser définitivement.

Il y a pléthores d’exemples de situation de ce type :

Ce proche qui fait tout le temps des blagues sexistes
- “Il y va un peu fort des fois”
Cette relation de couple qui bat de l’aile depuis des années
- “On reste ensemble pour les enfants”
Ce travail qui ne vous épanouit pas
- “Il faut bien payer les factures !”
Ces amis nocifs qui entretiennent votre dépendance au tabac
- “Il faut bien mourir de quelque chose !”
Ces élus de la République qui ont des casiers judiciaires
- “Personne n’est parfait !”
Ces gouvernements qui sème le chaos pour récolter les profits
- “Mais qui pouvait anticiper une telle pandémie ?”

Bon, je m’arrête là parce que je pourrais continuer des heures… vous avez l’idée…

Comme nous le disent les guides de Christine André, il y a deux catégories de passifs :

Les passifs qui savent qu’ils sont passifs

Ceux-là n’ont aucune excuse, ils sont juste dans un état de zombi, toute leur attention rivée aux journaux télé qui leur gavent le cerveau de contre-vérités et de propagande.

Ceux-là savent au fond qu’on leur bourre le mou… mais ils préfèrent suivre le courant plutôt que de s’isoler et risquer de perdre une forme de bien-pensance.

Les passifs qui sont dans l’ignorance…

On peut classer ceux-là dans 5 grandes catégories :

Les peureux… les paresseux… les volontaires… les convaincus… les éperdus.

Les premiers se sont jeté dans une forme d’asservissement par la peur…

Ce peut être de la maladie… de la violence… de la mort… de l’autorité… – ce ne sont pas des choses anodines, parfois, c’est l’inconscient qui réagit et qui nous fait perdre notre lucidité – il faut essayer de prendre du recul et raisonner sans émotions.

Ensuite viennent les paresseux, qui trouvent que ce serait “trop compliqué” de faire autrement. Typiquement pendant la pandémie, ceux qui disaient :

“Je me vaccine parce que sinon ça va être compliqué pour voyager ou aller au restaurant”.

Toute la question est de savoir si on estime que notre liberté d’aller au restaurant est plus importante que la liberté de refuser de se faire injecter sous de mauvais motifs.

Ensuite il y a les volontaires… ceux qui font le choix de suivre la voix d’autorité parce que ça leur va bien.

C’est une position de servilité qui leur convient et dans laquelle ils trouvent leur compte. “C’est pas terrible mais on s’habitue”.

Après il y a les convaincus :

Là ce sont des gens qui sont têtus, bornés et dans le déni.

C’est très difficile d’en sortir parce qu’on est prêt à accuser le monde entier de complotisme avant d’accepter de faire sa propre introspection.

Bon courage si vous êtes dans cette catégorie – ou si vous en connaissez, il est peut-être temps de leur ouvrir les yeux et de ne pas vous défausser au risque de tomber vous-même dans l’ignorance volontaire !

Enfin il y a les éperdus… ceux qui sont par exemple dans une relation d’amour passionnelle qu’ils savent peut-être destructrice, mais qui acceptent tout parce qu’ils l’ont “dans la peau” et que rien n’a de sens tant qu’il ou elle s’intéresse à eux.

C’est un peu le syndrôme – je crois – des personnes qui travaillent au gouvernement.

Elles sont en présence du Président ou de ses proches ministres comme des lapins dans les phares d’une voiture… dans ces cas-là, votre esprit critique ne répond plus, vous êtes en extase devant l’aura du Roi… aurevoir les promesses aux électeurs…

Bref, vous l’aurez compris… l’idée n’est pas d’être dans le jugement ici… on a tous été un moment ou un autre dans une situation d’ignorance volontaire…

Avec plus ou moins de recul sur notre attitude… et dans tous les cas, on peut se dire qu’il faut en sortir le plus rapidement possible… et qu’il n’est JAMAIS trop tard.

Car non seulement c’est se mentir à soi, mais c’est aussi mentir aux autres, et véhiculer une fausse note tout autour de vous. C’est créer du chaos.

Et vous le savez car tout cela ne finit JAMAIS bien.

Tôt ou tard, il faut payer l’addition.

Une façon de sortir de l’ignorance volontaire, c’est d’apprendre…

L’assertivité

L’assertivité c’est un terme qui nous vient des anglo-saxons et qui signifie qu’on est capable d’affirmer ses croyances, ses convictions, ses choix…

… sans verser dans l’agressivité.

C’est être ni dans la passivité, ni dans l’agressivité. C’est faire exister votre volonté, incarner votre position, donner corps à ce que votre âme désire…

… dans le respect de l’Autre, et sans vous compromettre.

Donner une certaine image pour ne pas déplaire, c’est se compromettre…

Dire quelque chose pour faire plaisir à l’autre, c’est se compromettre…

Laisser faire quelque chose que vous trouvez immoral sans rien dire, idem…

L’assertivité demande de prendre position, c’est un acte volontaire.

Elle comporte toujours un risque de blesser, de froisser, de déplaire.

J’en veux pour preuve le sort réservé à certains lanceurs d’alerte…

Cela demande plus de ressource que de faire l’autruche, notamment pour trouver la bonne façon de faire, mais c’est un investissement qui paie toujours sur le long terme.

Parfois, votre acte d’affirmation et d’émancipation aura un impact dépassant votre propre vie… il influencera vos enfants, vos proches ou bien le monde entier.

Mais quelle que soit la situation… on en revient toujours au même principe :

Vous pouvez voir l’ignorance volontaire comme un crédit…

Vous achetez une forme de paix temporaire, que vous devrez rembourser un jour…

L’assertivité quant à elle est un débit immédiat en échange du respect de vos choix.

Pas toujours évident d’opérer le bon choix au bon moment, mais c’est pour cela que je voulais vous en parler, car en parler, c’est déjà reconnaître le problème.

Et si vous voulez œuvrer véritablement pour un changement de paradigme dans ce moment, il faut apprendre à s’exprimer, à être assertif, à ne pas se taire.

C’est en tout cas le message des guides.

A bientôt,

Olivier Cros

Olivier Cros

Oraison improvisée

Chers lecteurs,

Aujourd’hui, nous avons prévu une sortie en famille à la Ménagerie du Jardin des Plantes, je n’ai donc pas le temps de faire de recherche étendue sur une prière.

Toutefois, une pensée m’a traversée ce matin que j’aimerais développer… et pourquoi pas tourner en prière.

Vous me direz si ça vous parle et si vous aimez ce format ?

J’aimerais dédier cette prière à Aurore, la fille de Chantal Lafont.

Amicalement,

Olivier Cros

Olivier Cros

J’aimerais aujourd’hui prier pour ces Etres des mondes visibles et invisibles, qui nous soutiennent dans les épreuves… nous guident sur notre chemin… et qui nous aiment.

Ce peut être un Ange gardien… un Guide… un Ami proche, un Parent… ou tout simplement un Esprit lointain mais sympathique.

N’avez-vous pas été vous-même cet Esprit récemment ?

Il n’est pas besoin de se présenter à une personne, de la prendre physiquement dans ses bras et de lui dire combien on l’aime pour que la magie opère…

Bien sûr, joindre l’acte à la parole ou à la pensée, c’est bien !

Mais nous savons bien que la communication n’est pas toujours aisée, ni avec les mondes invisibles, ni sur cette Terre avec les gens qu’on aime parfois le plus…

Toutefois, rien ne nous empêche d’envoyer de bonnes pensées et de vibrer notre divinité intérieure, afin de les partager avec celles et ceux qui en ont le plus besoin.

Il ne faut pas sous-estimer la puissance du rayonnement… de l’onde de choc qui se propage d’âme en âme… au détour d’un rêve, d’une conversation ou d’une pensée.

Toutes nos prières sont entendues… nos pensées aussi… on nous le répète souvent.

Alors il ne faut point douter…

Il faut s’appliquer à purifier notre coeur pour irradier cet Amour divin.

Dieu – la Source – n’abandonne jamais les siens… ce serait s’abandonner Soi-même !

Mais il arrive que nous ne le ressentions pas au cours de certaines épreuves de la Vie, quand nous ressentons de la douleur dans notre chair ou dans nos cœurs.

Et c’est dans ces moments que les proches, l’entourage, peuvent aider à manifester la présence du Créateur à cette personne qui en a particulièrement besoin…

C’est un travail d’équipe au fond… où chacun a un rôle à jouer. Quelle responsabilité !

Et quel honneur de nous faire les émissaires de la Source.

Nul besoin de validation, de récompense… nul besoin de remerciements.

Cet acte d’Amour n’est-il pas aussi légitime et naturel que de prier pour notre propre bien ?

Tout est lié, nous sommes tous unis, et nous œuvrons au fond pour l’Harmonie.

Sortie Hors du Corps

Chers lecteurs,

Aujourd’hui, je vous propose de reprendre les bases de la Sortie Hors du Corps…

Commençons par dire que je ne suis pas un “voyageur expérimenté”.

Je m’intéresse à ce phénomène depuis l’été 2022, j’ai un peu lu sur le sujet et j’ai fait un stage de deux jours avec Borvo – voyageur de la conscience.

J’ai également eu quelques expériences concluantes… mais je n’ai pas encore assez d’expérience pour me considérer comme un voyageur aguerri… disons que j’ai un niveau intermédiaire.

La preuve étant que j’ai encore du mal à sortir… et que je dois avoir un taux de réussite de 1 sur 10 en incluant les sorties foireuses !

Toutefois, même quand on n’a pas touché les étoiles, on ramène toujours quelque chose de ces expériences…

Alors, ces quelques précautions prises, commençons :

Qu’est-ce que c’est ?

Quel est l’intérêt ?

Pour faire simple, disons que la Sortie Hors du Corps (SHC) est un phénomène qui consiste à sortir de son corps physique pendant le sommeil.

Selon certains, on sortirait de son corps tous les soirs, sans s’en rendre compte.

Et ce qui caractérise les “voyageurs” qui pratiquent sciemment la SHC, c’est précisément de développer des techniques qui leur permettent de se souvenir…

… et de vivre pleinement leur sortie, avec un niveau de lucidité similaire voire même supérieur à l’état de veille.

Il existe de nombreux ouvrages sur la question qui témoignent de ce que vivent les voyageurs… qui va de l’exploration de leur chambre à coucher… au confins de galaxies éloignées de milliers voire de millions d’années lumière.

Tout cela ne se passe plus sur le plan physique tel que nous le connaissons, mais sur un plan “autre”, dont les physiciens quantique commencent tout juste à admettre l’existence et qui pourrait avoir un rapport avec l’énergie noire qui compose plus de 70% de l’Univers.

Toutefois les voyageurs étayent le plus souvent leur connaissance des SHC à partir de leur expérience car la science est clairement à la traine sur ces questions. Et comme nous le verrons, l’empirisme reste encore le meilleur moyen de se faire une idée de ce qu’est la SHC – à condition de savoir faire preuve de discernement.

Comment ça marche ?

La règle est simple :

Plonger le corps physique dans un sommeil profond, tout en gardant sa conscience dans un état le plus éveillé ou lucide possible.

En réalité, on verra que pour y parvenir, l’état d’endormissement du corps et d’éveil de la conscience sont tout deux poussés à leur paroxysme.

Quand on arrive à cet état assez schizoïde, il faut bien le dire, certains phénomènes peuvent apparaître, tels qu’un état vibratoire (E.V) très attendu par les “voyageurs” car souvent annonciateur d’une Sortie imminente.

Cet état vibratoire permettrait à ce qui maintient les corps énergétiques/astraux au corps physique de se détacher – un peu comme si les vibrations “chauffait la colle” qui maintenait les différents corps les uns contre les autres.

Une fois hors du corps, les voyageurs ont constaté qu’il leur était très difficile de rester dans une zone appelée la Zone de Retour Rapide (ZRR) et qui représente grosso modo la zone autour de son lit, car les retours spontanés dans le corps sont fréquents.

Or soyons clair :

Il est aussi difficile de sortir de son corps volontairement que de passer un fil dans le chat d’une aiguille avec des moufles et les yeux bandés… donc tout ce qui va vous ramener dans le corps involontairement est à éviter absolument.

D’ailleurs on entend beaucoup d’inepties à ce sujet :

Faire une SHC n’a rien de facile (sauf quand c’est involontaire et subi), ce n’est pas dangereux (hors problèmes cardiaques ou psychiatriques) et il est beaucoup plus facile de retourner dans son corps un fois sorti que de s’en extraire (et quelque part, tant mieux !).

En revanche, il faut quand même vous dire que ce n’est pas une simple promenade de santé… que si vous y parvenez, vous pourriez être choqué de réaliser qu’un pan entier – et pas des moindres – de la réalité vous était inconnu jusque là…

Cela pourrait remettre en question beaucoup de certitudes, de croyances voire de convictions religieuses… et challenger votre socle idéologique et philosophique sur le sens de la vie et l’existence de vies extra-terrestres par exemple.

Bon, à part ça… c’est sympa !

Hallucination/Projection ou réalité extra-physique ?

Evidemment, la question qu’on se pose toujours, c’est :

Est-ce que les voyageurs voient des choses “réelles”

n’est-ce pas simplement des projections de leur “mental”.

Question éminemment légitime quand on considère que la SHC s’opère à la frontière entre l’endormissement et l’état de veille… on pourrait imaginer que le voyageur rêve tout bêtement, avec une conscience accrue et des sensations ultra-réalistes.

Eh bien il y a un nom pour ça :

C’est le rêve lucide, et c’est très différent de la SHC, même si c’est d’une certaine manière sur le même continuum et qu’il est possible de faire une SHC à partir d’un rêve lucide… mais mais mais, inutile d’aller trop loin…

Pour faire court, je vous dirais simplement que tous les voyageurs hors du corps, depuis la nuit des temps, tentent de ramener des preuves que leur expérience n’est pas fantasmée et qu’elle a une prise sur la réalité consensuellement admise.

Yram, de son vrai nom Email Forhan, expérimentait très régulièrement des choses pendant ses SHC, telles que déplacer une feuille de papier en soufflant dessus… ou bien embrasser son corps physique endormi…

Le “problème”, si on peut dire, c’est que dans l’astral, la réalité n’est pas exactement conforme à ce qu’on peut observer dans le monde physique.

Vous pouvez tout à fait avoir 4 doigts à chaque main et avoir la peau bleue un jour…

Et puis 3 doigts et la peau blanche un autre jour…

Vous pouvez “voir” un tableau qui a été décroché du mur il y a 30 ans…

Et inversement, ne pas “voir” certains éléments de votre mobilier actuel.

Difficile de faire la part du vrai et du faux dans ces conditions… mais je ferai un jour un article dédié aux preuves les plus tangibles, je pense que cela pourrait être utile…

A noter que les chercheurs Claude-Charles Fourrier et Sylvie Dethiollaz disposent de quantité de preuves et de témoignages prouvant la réalité du phénomène…

Mais que cela reste encore et toujours une expérience à vivre soi-même afin d’en être convaincu.

L’autre difficulté, c’est que dans notre culture, ce qui relève du rêve ou de l’hallucination est souvent considéré comme une construction de notre esprit, une sorte d’émanation furtive, immatérielle et sans valeur (quand elle n’est pas rangée dans la catégorie de la pathologie), du même ordre que l’idée, la pensée ou l’imagination.

Bref, ça se soigne très bien !

Toutefois, il est intéressant de se demander si une hallucination est forcément une projection du sujet (donc endogène) ou si cela peut être parfois une émanation d’un plan autre qui viendrait faire interférence avec le nôtre (exogène).

C’est toute la question qu’on se pose dans la transe chamanique, les voyages hors du corps, la méditation ou les apparitions mariales (ou de défunts ou de certains E.T !), et tout ce qui a trait à des états de conscience modifiée (et j’exclus volontairement ceux qui sont induits par des plantes).

Donc une autre façon de dire tout cela, c’est de se poser la question de savoir si l’imagination n’aurait pas une existence propre, sur des plans a priori inaccessibles (un peu comme les rayons ultra-violet et infra-rouge)…

… mais des plans peut-être partagés par tous… et qui pourrait aller au-delà de l’imagination ! Car en effet, la vraie question derrière tout cela porte surtout sur :

La Conscience

Ce qu’on observe dans les expériences d’état de conscience modifiée, c’est que la Conscience n’est pas uniquement localisée dans notre boite crânienne…

Elle serait délocalisée et omnisciente…

Oui, elle serait partout dans l’univers, autant dans l’infiniment petit que dans l’infiniment grand.

La conscience serait peut-être même la solution à cette énigme qu’est l’énergie noire qui interroge les physiciens.

Mais si on en revient à nos idées spiritualistes…

On dit souvent que la pensée est créatrice. Anne Givaudan et d’autres, ont popularisé le concept de “forme-pensée”.

Cela signifie que dans l’astral, à partir d’une certaine “hauteur” vos pensées créent directement dans la matière.

En fait ce phénomène serait possible parce que dans l’astral, les notions de temps et d’espace sont différentes, l’énergie n’est pas bridée.

La matière, selon cette théorie, serait de l’énergie figée dans le temps. CQFD.

On dit aussi que l’univers serait truffé d’égrégores, qui sont des amas d’énergies entretenus par la pensée, les croyances et les prières de certains groupes d’individus.

Qu’ils aient une existence propre ou non, ces eggrégores auraient une capacité à interagir avec notre monde.

Cela veut dire aussi que la Conscience universelle est pour, tout ou partie, la résultante des productions des consciences individuelles.

C’est parce que vous existez et que vous avez conscience de telle ou telle chose que vous expérimentez, que cette information existe dans l’Univers.

Ainsi le voyageur hors du corps se promènerait en réalité dans un immense bain de Conscience universelle, créé par tout un chacun – aussi bien les humains que les autres.

Il pourrait visiter non seulement la réalité physique de notre existence, mais également des plans plus astraux… galactiques… totalement éthériques…

… des plans de musique ou encore des paradis mystiques….

Il n’y a pas réellement de limite…

Sauf en termes de “vibrations”.

Car chaque explorateur a un “scope” ou une “gamme” vibratoire qui lui permet de visiter des mondes basse et haute fréquence… on dit généralement que le bas est sombre et mal famé… le haut est lumineux et Sacré (on se rapproche de la Source).

Il y aurait une limite basse où le corps astral ne peut plus se mouvoir, tant il est englué dans la matière, et une limite haute où le corps astral risquerait d’être pulvérisé.

Il semblerait qu’il y ait des Lois de l’autre côté… des Lois très spécifiques qui sont souvent au carrefour entre l’ésotérisme et le cartésianisme.

Nous y reviendrons un autre jour.

Encore une fois, mieux essayer par soi-même et se faire sa propre opinion.

Techniques

Ce n’est pas en quelques lignes que je pourrais vous transmettre les techniques pour réussir une SHC…

Qui plus est je n’ai pas la légitimité de le faire, étant moi-même en pleine exploration

(j’ai tout juste quelques expériences à mon actif qui m’ont permis validé le phénomène et de me construire une conviction suffisante pour continuer).

Toutefois, pour vous donner une idée, voilà les étapes de base :

Intention :
Il est essentiel d’émettre clairement votre intention de faire une SHC dans la nuit qui vient… ou dans deux jours… aussi précisément que possible.
Cela permettrait à votre inconscient (qui lui n’est pas étranger à ce phénomène) de se préparer et de vous aider.
Relaxation :
Il est également essentiel que votre corps soit parfaitement reposé.
Beaucoup de voyageurs ont expérimenté – voire subi – des paralysies du sommeil.
Au début ils étaient terrorisés, ensuite ils ont appris à en sortir via différentes techniques.
Conscience éveillée :
Le gros risque de la SHC est de tomber dans le sommeil.
Les exercices sont assez longs.
Donc plus la conscience sera éveillée, et moins vous risquez de sombrer, ou bien parasiter votre SHC avec des projection ou des inductions de votre mental.
Lâcher prise :
Un des gros écueil de l’apprentissage des SHC, c’est de vouloir tellement sortir qu’on va créer une tension interne – quelle soit physique ou psychologique – qui va être un frein à la sortie.
C’est comme si plus vous vouliez sortir et plus vous vous mainteniez “collé” à votre corps.
Il faut apprendre à vouloir tout en ne ressentant aucune pression.
Etat vibratoire :
Pas obligatoire mais toutefois la plupart des voyageurs expérimentés passent par cette étape qui serait liée au sommeil paradoxal.
C’est un état de vibration intense et parfois impressionnant qu’on ressent quand on est éveillé – et dont on n’a pas conscience quand on se laisse simplement aller au sommeil.
L’E.V est la dernière étape avant la sortie… souvent on va essayer de l’amplifier pour décoller…
Induction/Sortie :
A ce stade une simple volonté, une intention de décoller peut suffire… vous pouvez vous imaginer en train de monter dans une montgolfière ou bien imaginer la sensation d’être soulevé ou aspiré du sol… et cela peut lancer la sortie.
Retour :
Malheureusement, vous expérimenterez de nombreux retours avant de considéré avoir réussi une vraie sortie… car quel que soit l’étape à laquelle vous êtes, si vous ne sortez pas et que vous ne vous endormez pas, vous allez reprendre conscience de votre corps immédiatement.
Et même si vous arrivez à partir en rêve lucide ou en SHC, la moindre émotion un peu trop forte… le moindre mouvement dans votre lit… la moindre pensée à propos de votre corps physique peut vous ramener à votre corps….

Conclusion :

Evidemment cet article n’est pas exhaustif…

Il n’est pas non plus aussi précis que si j’avais moi-même des milliers de sorties.

Ce que je dirais pour finir c’est que la SHC, qu’elle soit comme on le pense une exploration de la conscience dans l’univers au sens large, ou pas, nous permet de vivre avec une intensité totale des expériences hors du commun, qui vont nous faire évoluer, grandir et dont on se souviendra toute sa vie.

Pour aller plus loin :

Lisez Nanci Trivellato, Anne Givaudan, Marc Auburn, Akhena, Yram, Michael Raduga, Borvo…

Olivier Cros

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