Connaissez-vous LA différence fondamentale entre les systèmes de santé français et suisse ?
En Suisse, il est courant pour les patients de repartir de la pharmacie avec un remède naturel plutôt qu’avec un médicament conventionnel.
Par exemple, si vous consultez pour un syndrome grippal en Suisse, il est probable que l’on vous propose de l’homéopathie comme l’Occilococcinum, plutôt que de l’Ibuprofen.
Pour l’hypertension, un pharmacien pourrait vous recommander des extraits d’aubépine.
Et plus incroyable encore, un ami est ressorti avec une prescription pour du ginkgo biloba pour ses crises d’anxiété !
En plus, ce n’est pas un cas isolé : même dans les hôpitaux suisses ils utilisent les remèdes naturels…
Une étude récente de ce CHU a révélé que 45% des patients sous traitement de chimiothérapie avaient recours à la médecine complémentaire.
Car en fait, en Suisse, lorsqu’une nouvelle étude est publiée sur les remèdes naturels, ils l’analysent et ils la mettent en pratique rapidement.
C’est bien loin de la pratique française qui se résume à la mettre aux archives…
Et pourtant ces découvertes sont si précieuses.
Certains chercheurs courageux n’ont pas peur de le dire, comme Paul Iserin, directeur de recherche à Bobigny :
« Les bons conseils pour une alimentation et un style de vie sains incluant des plantes comestibles comme le curcuma se révèlent plus efficaces que les médicaments prescrits par les médecins pour aider la population âgée à rester en bonne santé. »
Alors pourquoi cette puissance des plantes est-elle si peu exploitée ?
Pourquoi renonçons-nous volontairement à des années de santé ?
La réponse pourrait se résumer en deux mots : Sécurité Sociale ou CPAM.
Habituellement, nous ne payons rien de notre poche, ce qui nous pousse à accepter sans questionner des traitements médicamenteux apparemment gratuits, mais souvent moins efficaces et plus risqués que les alternatives naturelles disponibles.
ET même si vous êtes déjà tourné vers des compléments alimentaires comme le magnésium ou le curcuma… sachez que ce n’est qu’un aperçu limité de l’éventail des remèdes naturels efficaces :
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Pour la dépression, le mucuna pruriens est souvent plus efficace que le Prozac ;
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Pour l’insomnie, le Griffonia, riche en 5-HTP, aide à rétablir le cycle circadien naturellement, sans créer de dépendance, contrairement aux somnifères classiques ;
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Pour les douleurs articulaires, la Griffe du diable offre un soulagement efficace sans les effets secondaires des anti-inflammatoires conventionnels ;
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Pour l’hypertension, l’huile essentielle d’ylang-ylang agit efficacement sans les risques associés aux traitements chimiques.
Face à ce constat, on ne peut que se poser cette question les bras ballants :
Pourquoi on insiste tant à recopier chimiquement ce que la Nature fait de mieux ?
Lorsque l’efficacité thérapeutique d’une plante est reconnue, les scientifiques tendent à isoler et à synthétiser le soi-disant « principe actif » pour en faire un médicament.
C’est-à-dire qu’ils prennent 1 seul élément et jette tout le reste… Erreur fatale !
Car ce qui permet un si bon fonctionnement d’une plante c’est la multitude de principes actifs qui travaillent ensemble pour créer un effet thérapeutique global.
Laissez-moi vous expliquer avec le ginseng :
Il contient des composés comme le Rg1, qui stimule le système nerveux, et le Rb1, qui l’apaise.
L’interaction de ces composants et de nombreux autres optimise l’effet global de la plante.
En fait, la plante CONNAIT les besoins spécifiques de votre corps et ajuste son action en fonction de votre état à l’instant T.
Et ce ne sont pas des « apprentis sorciers » qui vont réussir à copier ce que la Nature a mis des milliers d’années à peaufiner.
C’est de cette manière qu’en dissociant les principes actifs des plantes, nous perdons jusqu’à 80% de leur potentiel et de leur action.
Car il faut savoir que le ginseng dans son état naturel ne se contente pas de réguler votre stress,
Il agit aussi sur les éléments qui peuvent être liés à ce stress comme vos hormones, votre respiration, votre capacité de réflexion et votre énergie.
Et ce n’est qu’un exemple.
Imaginez savoir
Débloquer le plein potentiel des plantes médicinales
C’est ce qui a de plus important.
Et sans guidance appropriée, il est difficile de tirer pleinement parti des incroyables propriétés curatives des plantes.
Prenez l’exemple de l’ail, souvent cité pour ses bienfaits contre l’hypertension.
Savez-vous qu’il existe plusieurs variétés d’ail, chacune possédant des propriétés thérapeutiques spécifiques ?
Alors comment choisir ?
Ou l’aubépine qui est reconnue pour ses vertus cardiaques.
Cependant, pour maximiser son efficacité, il est recommandé de la consommer sous forme de teinture mère plutôt qu’en gélules.
Et en l’associant à une autre plante cardio-vasculaire comme l’olivier, vous renforcez son action bénéfique sur le cœur.
Et que dire de la chicorée, excellent détoxifiant pour le foie.
Il stimule les fonctions biliaires, mais à condition d’utiliser les racines et non les feuilles.
Une décoction de cinq minutes à couvert, suivie d’un repos de dix à quinze minutes, est nécessaire pour obtenir les meilleurs résultats.
Sans oublier les racines d’eleuthérocoque, reconnues pour leurs propriétés neurostimulantes, qui doivent être bouillies pendant au moins cinq minutes pour libérer leurs actifs bénéfiques.
Sans cette étape cruciale, vous pourriez passer à côté des bienfaits de cette plante.
Vous voyez, sans un accompagnement adéquat, il est facile de se perdre sur la manière d’utiliser les plantes médicinales.
C’est quand même dommage de réduire leur efficacité voire même de l’annuler !
C’est pourquoi il est essentiel de se tourner vers des sources fiables qui peuvent guider vos choix et votre utilisation des plantes.
Pour vous aider, dans les prochains jours, je vais partager avec vous des informations de personnes de confiance sur les meilleurs remèdes naturels à avoir absolument pour s’assurer de rester en bonne santé.
Surveillez bien vos emails !
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