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« Se soigner par l’Hypnothérapie » Guérissez et prenez votre vie en main avec l’hypnothérapie
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L’hypnose, une voie d’accès à la guérison
« Longtemps des problèmes physiques et psychologiques ont fait de ma vie un véritable calvaire.Je me suis occupée de ma mère démente durant plus de dix ans, j’ai souffert du dos au point de me réveiller un jour paralysée d’un bras, et à cela se sont ajoutées des migraines très fréquentes. J’ai tenu le coup un temps en m’accrochant à mon travail. Et puis, je me suis tournée vers l’hypnose. »
Sur les conseils d’un médecin du centre antidouleur montpelliérain, Catherine, 62 ans, consulte un hypnothérapeute, d’abord pour soulager ses migraines.
Pour cette agrégée d’histoire, avoir retrouvé en quelques mois une sérénité depuis longtemps disparue tient du miracle.
« Aujourd’hui, mes maux de tête sont supportables, et bien moins fréquents. L’hypnose m’a surtout permis de changer ma façon de réagir face aux difficultés familiales, d’être moins rigide et de prendre la vie avec beaucoup plus de légèreté. »
Calmer des douleurs, éviter l’anesthésie…
Difficile de savoir combien de médecins pratiquent l’hypnose aujourd’hui.
Quelques centaines probablement, parmi lesquels des psychiatres et neuropsychiatres.
En fait, la plupart des médecins qui ont ajouté la technique à leur palette thérapeutique l’ont souvent fait sans l’indiquer sur leur plaque.
Elle est pratiquée dans certains hôpitaux pour calmer des douleurs, aider à supporter une opération mutilante ou favoriser le sevrage tabagique et, dans des cabinets médicaux, notamment, de psychiatres.
« Spécialité » française, elle a connu son âge d’or à la fin du XIXe siècle, sous l’impulsion du grand neurologue le Pr Charcot, de l’hôpital de la Salpêtrière, à Paris.
Utilisée pour endormir les malades avant une opération chirurgicale, elle ne résiste pas à l’arrivée des premiers anesthésiques chimiques, jugés plus rationnels et efficaces.
Dans les années 1980, elle signe son retour, modernisée, sous l’impulsion du psychiatre américain Milton Erickson.
Ses mécanismes d’action sont encore loin d’être totalement élucidés.
Renouer le dialogue entre le corps et l’esprit
Le principe fondamental est de réconcilier le corps et l’esprit pour rendre la personne actrice de sa guérison.
Le thérapeute, par des suggestions imagées, guide son patient vers un état de bien-être libérant son imaginaire.
Contrairement à ce que beaucoup redoutent, on n’est pas endormi, à la merci du thérapeute, mais dans un état de conscience modifiée, proche de la rêverie, qui abaisse les défenses psychologiques et rend accessibles nos ressources internes inexploitées.
La collaboration et la confiance du patient sont indispensables mais pas toujours suffisantes : l’hypnose est plus ou moins efficace selon les personnes.
« Mon médecin m’a expliqué qu’il fallait prendre de la distance avec ce qui m’affecte. Il m’a fait retrouver des sensations pour mettre en réseau mon corps, mon esprit, mes pensées », se souvient Catherine. Marielle, 55 ans, a recouru à l’hypnose après un accident vasculaire.
Son objectif : rééduquer son bras et sa main devenus capricieux.
« Aujourd’hui, je peux à nouveau prendre la clé de ma boîte aux lettres ou éplucher des légumes. J’ai travaillé mentalement chaque geste, de façon répétée. L’hypnose m’a aidée à rendre ces gestes possibles à nouveau. »
Sevrage tabagique, phobie, boulimie, eczéma…
« La maladie, à travers ses symptômes, nous encourage à nous poser des questions. L’hypnose aide à trouver des solutions », résume le Dr Patrick Bellet, médecin hypnothérapeute, fondateur de la Confédération francophone d’hypnose et de thérapie brève et auteur de l’hypnose (éditions Odile Jacob).
Particulièrement efficace contre les dépendances (tabac, anorexie, boulimie, grignotage compulsif), les phobies, les tics, l’anxiété ou les troubles dépressifs, l’hypnose est aussi utilisée pour venir à bout des douleurs chroniques, des problèmes de peau (comme l’eczéma), des troubles moteurs ou sensitifs (hémiplégie).
Elle joue sur la composante émotionnelle de la douleur et aide à se libérer de son emprise.
Elle est également une alternative à l’anesthésie, lorsque celle-ci n’est pas réalisable ou souhaitée, en particulier chez le dentiste, et est l’une des rares techniques susceptibles de soulager les acouphènes.
Comment l’hypnose peut-elle soigner ?
Difficile de garder le moral lorsque le corps fait souffrir. Stress, angoisse, douleur, inconfort, nausées…
Pourquoi l’hypnose ?
En état de transe hypnotique, le cerveau active à son maximum la production d’endorphines, les hormones du plaisir.
À l’inverse, les influx neurologiques de la douleur se réduisent, entraînant une baisse de la production d’hormones associées.
De véritables antalgiques naturels !
La suggestion positive, quant à elle, permet à l’hypnothérapeute de bloquer certaines sensations négatives, en programmant l’inconscient pour mieux les gérer.
Que traiter grâce à l’hypnose ?
Entre traitement bien-être et outil curatif, l’hypnose s’attaque aux douleurs, physiques ou morales, chroniques ou aiguës… ainsi qu’aux souffrances psychologiques.
Utilisée à des fins antalgiques ou anesthésiques, elle soulage migraines, douleurs lombaires, ulcères ou asthme.
Elle soigne également dépression, stress post-traumatique, angoisses ou phobies variées : l’hypnothérapie peut être un traitement psychologique à part entière, s’attaquant aux addictions de toutes sortes.
Mais encore ? Les troubles fonctionnels relatifs au sommeil, à la concentration, l’apprentissage, le stress, la mémoire… et beaucoup d’autres.
Ce guide étape par étape est fait pour vous aider prendre soin de votre santé et vous guérir grâce aux pouvoirs de l’hypnose :
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Je vous souhaite beaucoup de bonheur, et la santé,
Votre ami,
Francis Dukros
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