Je serais très surpris que quelqu’un d’autre que moi dans le Mark comme le Ting francophone ait eu l’opportunité de dealer « en direct » avec autant de clients que moi.
(Entre les coachings, le done for you, les prestations de copywriting, les immersions, je serais incapable de te dire combien de clients ça fait exactement depuis le temps)
En tout cas ?
Je peux t’assurer d’un truc.
C’est que même si il existe de sacrés loustics et des personnes très… « créatives »…
…je pense que j’ai à peu près tout vu en matière de clients.
Des gens géniaux, avec qui tu as un plaisir fou à travailler.
(La grosse majorité, heureusement)
Des gens qui essaient d’abuser de toi, et de ton temps.
Et aussi des gens à qui tu donnerais le bon Dieu sans confession au départ.
Mais qui se révèlent finalement être on ne peut plus malhonnêtes.
(Les pires, ceux là)
Si toi aussi, tu satures des clients à la con ?
Il y a quelques points d’influence et de psychologie à comprendre qui changent absolument tout.
Le premier ?
C’est que c’est très probablement de ta faute si tu en as plus qu’à ton tour, des comme ça.
Etre prêt à accepter la première personne ok pour faire appel à toi, et facturer 2 fois rien ?
C’est le meilleur moyen d’attirer ce genre de profils.
Ces gens qui ne choisissent pas un prestataire en fonction de ses compétences, mais en fonction de ses prix.
Tu es cheap ?
No surprise :
Tu vas avoir des clients cheap.
Ce qui m’amène au second point, qui est exactement la même chose qu’en séduction :
Tu ne dois pas mettre ton client potentiel sur un piédestal.
Mais au contraire bien te rappeler que c’est toi le prix.
Que travailler avec toi, ça se mérite.
Que tu ne dois pas être accessible pour tout le monde.
D’ailleurs :
Un concept qui change toute notre psychologie là-dessus, et qui nous libère totalement ?
C’est quand tu finis par comprendre qu’il y a bien moins de « toi » disponible, que de clients potentiels qui ont besoin de ton aide et de tes compétences.
Et que tu renverses le game, pour les faire se qualifier comme éligibles à travailler avec toi.
Que ça soit eux qui doivent tout faire pour que tu les acceptes comme clients, et non l’inverse.
(Ce qui ne fait que décupler leur envie de travailler avec toi, et personne d’autre.
Puisqu’il n’y a rien qu’on ne désire plus que ce qui parait inaccessible)
Un troisième point que tout le monde néglige, pour finir ?
C’est sur comment tu gères tes clients.
La règle d’or là-dessus ?
C’est exactement la même que quand tu adoptes un toutou, ou une meuf.
Tu ne veux surtout pas encourager les mauvais comportements.
Et même les décourager, direct.
Si tu laisses passer des choses à ton Bubble les premières semaines parce qu’il est « tout petit tout mignon » ?
Bon courage pour revenir en arrière plus tard et lui faire entrer dans la caboche qu’il n’a pas le droit de faire ça…
Même chose avec les choupettes, of course.
Même chose avec les mioches, j’imagine.
Et bien sûr donc avec tes clients.
Par exemple ?
Un client qui chouine pour te régler à temps, pour que tu fasses quelque chose qui n’était pas prévu dans le contrat ou pour quoi que ce soit du genre ?
Tu remets les pendules à l’heure, direct.
Sinon, c’est l’escalade assurée.
Et ça serait de ta faute.
Parce que tu aurais encouragé son mauvais comportement en le laissant passer.
Et si vraiment il abuse ?
Tu le vires.
Je te donne un exemple que j’ai eu par le passé.
Un mec qui fait appel à moi pour de l’accompagnement.
Je lui vends 3 sessions de coachings, à 4500€.
On fait la première.
Tout se passe bien.
Je l’aide comme pas possible.
Le mec a l’air super cool, et il est ravi.
On cale notre second RDV, pour quelques temps plus tard, le temps qu’il bosse son client idéal en suivant les exercices que je lui ai donné.
La veille au soir de ce second call ?
Il m’envoie un mail rapide en disant qu’il ne va pas pouvoir faire le coaching, parce qu’il « n’a pas fait les exercices ».
Pour moi, ça c’est clair :
Séance qui m’est due malgré tout.
(Tu peux avoir un empêchement avec une vraie raison, ça arrive.
Mais dans un cas comme là, tu préviens pas la veille au soir, alors qu’à côté des clients sérieux aimeraient que j’ai une place libre pour les aider)
Je te laisse deviner la suite :
Le mec n’a non seulement pas réglé cette séance.
Mais pas non plus la 3e qu’il devait faire.
A côté de ça, il a quand même osé me demander un peu plus tard si je connaissais un bon copywriter pour l’aider sur son projet.
Ma réponse, grosso merdo ?
« Oui.
Mais je ne te conseillerai à personne.
Donc démerde toi ».
Le gars est bien évidemment blacklisté de Gregsland.
Comme quoi :
Même si tu maîtrises la répulsion, les principes psychologiques qui attirent les bons clients, et pas les autres, et qui permettent de te faire payer bien plus cher que la concurrence tellement tu deviens incomparable ?
Tu n’es jamais à l’abri de tomber sur un mauvais client malgré tout.
Alors imagine quand tu te vends comme une vulgaire commodité, et que tu n’utilises pas ce genre de principes d’influence…
Allez, pour finir ce groove…
Encore meilleur que la loi de l’attraction :
A chaque fois que j’ai viré un client ?
J’en ai toujours eu 2 bien meilleurs qui sont arrivés juste derrière.
Médite là-dessus, si tu en as marre de voir tes chiffres dépendre du bon vouloir de tes clients.
Et si tu veux apprendre à trouver les top clients de ta thématique, bien plus vite que jusqu’ici, et pour des tarifs que tu ne penses même pas possible de facturer ?
Regarde cette page : https://lifestylers.fr/clients-flash/
Tout ce que tu peux y découvrir a changé ma vie.
Celle de dizaines et dizaines et dizaines de mes Padawans depuis que je l’ai sorti.
Et j’ai même l’arrogance de penser que c’est l’un des tous meilleurs produits jamais créés sur le marketing.
Ever.
(Quelque chose que nombre de mes clients m’ont confirmé, d’ailleurs.
Dont certains que tu pourrais classer parmi mes plus gros « concurrents »…)
Et non, il n’y a pas de promo dessus.
Pas nécessaire, vu que je te garantis les résultats, de toute façon.
Si tu vends de l’accompagnement ou des prestations de services et que tu as besoin d’une réduction pour prendre un truc pareil ?
C’est sans doute que tu as un sacré problème de priorités…
Greg
