|
Traverser le détroit de Floride depuis les côtes de Cuba, soit une distance de plus de 180 kilomètres, sans interruption et sans l’aide d’une cage anti-requin.
Sacré objectif, n’est-ce pas ?
Bien sûr, comme toute athlète, elle se prépare physiquement pendant de longs mois.
Et en 1978, âgée de 28 ans, elle se lance. Mais après 40h de nage, l’équipe médicale interrompt sa traversée à cause des conditions météorologiques trop dangereuses.
Après cet échec, elle prend une pause de 33 ans avant de réessayer.
Ce qu’elle fait en 2011 une première fois. Après 29h dans l’eau, elle est de nouveau arrêtée à cause des courants. Mais elle avoue également avoir eu du mal à respirer. Elle devait donc très régulièrement se mettre sur le dos pour reprendre son souffle.
Sa deuxième tentative de 2011 s’est soldée par un échec à cause de piqûres intenses de méduses l’empêchant de respirer et provoquant des douleurs atroces.
Elle tente une quatrième fois en 2012, mais à nouveau sans succès à cause des méduses.
|
|
Comme si le sort s’acharnait sur elle
|
|
Le 31 août 2013, Diana, âgée de 64 ans, prend à nouveau le départ de sa traversée mythique.
|
|
Elle commence sa nage à La Havane, Cuba.
Elle nage, sans interruption pendant 53h.
Et atteint avec succès Key West en Floride.
|
|
Pendant sa course, Diana Nyad a dû affronter les mêmes obstacles que précédemment : tempêtes, méduses, requins…
Et pourtant cette fois-ci, elle a réussi.
Pourquoi ?
|
|
Votre corps dompté par votre esprit
|
|
Diana l’avoue elle-même, qu’au cours de cette traversée
|
-
Elle a puisé dans sa force émotionnelle et mentale pour continuer à nager, malgré les brûlures et les douleurs musculaires intenses ;
-
Elle a répété un mantra pour se motiver tout au long de sa nage, affirmant qu’elle pouvait le faire
-
Elle a également utilisé des images mentales positives pour garder son esprit concentré et motivé.
|
|
Grâce à cet exploit à 64 ans, elle est devenue le symbole de la persévérance et de la détermination pour des millions de personnes dans le monde entier.
Et c’est loin d’être la seule.
Car des destins incroyables comme ceux-ci, il y en a des centaines voire des milliers.
|
|
Comme Aron Ralston qui, par son désir de vivre, arrive à se couper tout seul son bras coincé par un rocher.
Ou encore Wim Hof, qui malgré son âge, défie toutes les croyances limitantes sur les capacités de notre corps par la seule force de son esprit.
Et tous ces héros du quotidien qui ont réussi à soulever des voitures ou d’autres objets très lourds car leur enfant était coincé dessous par amour et désespoir.
|
|
Il est donc évident que
|
|
Les émotions peuvent bouger des montagnes
|
|
Les émotions sont souvent considérées comme une simple réaction psychologique à un événement.
Mais la vérité, c’est qu’elles sont bien plus que cela.
Les émotions sont en fait de l’énergie pure, la plus forte que nous puissions connaître.
Cette idée a été développée par plusieurs théoriciens, notamment Wilhelm Reich et Carl Jung.
Selon eux, les émotions sont une énergie qui circule dans notre corps, influençant notre état d’esprit et notre comportement.
Cette énergie est si forte qu’elle peut nous amener à accomplir des choses incroyables.
Plus récemment, cette idée a été reprise par des scientifiques qui ont étudié les émotions du point de vue de la physique quantique.
Ils ont découvert que les émotions étaient une forme d’énergie électromagnétique qui circulait dans notre corps.
Cette énergie peut être mesurée à l’aide d’un électroencéphalogramme (EEG), qui enregistre l’activité électrique du cerveau[1].
On pourrait donc se dire,
|
|
Petite émotion = petit impact, grande émotion = grand impact ?
|
|
Eh bien non, cela ne fonctionne pas comme cela.
Il ne faut pas forcément vivre une émotion ultra puissante pour réaliser quelque chose d’incroyable.
Et inversement, il ne faut pas sous-estimer l’impact sur notre moral de ces « petites phrases » négatives répétées à droite et à gauche.
Car les émotions font partie intégrante de notre vie.
|
|
Dès le réveil nous ressentons quelque chose, jusqu’au coucher le soir où parfois nous soupirons de soulagement. Sans oublier nos rêves et nos cauchemars…
|
|
Elles ont donc un impact considérable sur notre vie quotidienne.
Et laissez comme cela, vos émotions vous empoisonnent à petit feu :
|
-
En s’accumulant elles peuvent causer des problèmes tels que l’anxiété, la dépression et le stress. Des symptômes qui eux-mêmes amènent leur lot de problèmes : maladies cardiovasculaires, diabète, cancer[2] ;
-
Elles mettent des barrières à votre épanouissement et accomplissement. Vous aurez plus tendance à procrastiner et à être déconcentré ;
-
Vos relations ne sont pas épargnées. Les personnes les plus proches de vous paieront inutilement vos émotions refoulées à coups de conflits et de malentendus.
|
|
De mon point de vue, aujourd’hui, vous êtes face à un choix,
|
|
Choisirez-vous la force ou la faiblesse ?
|
|
C’est une vraie question.
Et les options ne sont pas celles que vous avez d’habitude.
Ici et maintenant,
|
-
La force se trouve dans les émotions, leur observation, leur compréhension et leur utilisation afin qu’elles vous propulsent au-delà du possible et de ce qui est « normal ». C’est la voie difficile, car souvent douloureuse au début, mais qui vous rapportera tellement plus sur le long terme ;
-
La faiblesse est dans l’ignorance et le refoulement des émotions. Elle vous enferme et vous isole de tous les contacts humains. C’est la voie facile car à court terme, vous êtes dans un faux bonheur alimenté par le déni qui est malheureusement éphémère, ce qui peut se traduire sur le long terme en dépression voire pire.
|
|
Mais à mon avis, si vous êtes ici aujourd’hui avec moi en train de me lire,
C’est parce que vous savez, au fond de vous, que vous devez changer quelque chose.
|
|
Qu’il n’est plus possible d’être dans le déni, de ne pas vous écouter, de toujours garder votre masque sociable pour faire plaisir aux autres.
Qu’en ne faisant pas le travail nécessaire pour gérer vos émotions, vous ne faites que repousser ET empirer la situation.
|
|
Donc vous savez au fond de vous, que vous devez faire le bon choix… et ce même s’il est difficile.
Mais j’ai une bonne nouvelle.
Car, je ne vais pas vous laisser seul•e dans cette épreuve.
Mieux : même la nature ne vous laisse pas seul•e.
C’est ce que nous allons découvrir ensemble dans ma prochaine lettre.
Vous savez que vous êtes sur le bon chemin quand la nature est elle-même de votre côté.
Soyez courageux•se,
|
|
Spirituellement votre,
Gabriel Ethos
|
 |
|
PS : dans 2 jours, je partage avec vous ma « botte secrète » naturelle pour renforcer votre esprit. Surveillez bien vos emails. N’hésitez pas à échanger avec moi sur vos émotions via ce formulaire en cliquant ici.
|
|
Sources :
[1] https://hal.science/hal-00727593/document
[2] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34807367/
|
|
