Chers amis,
Face à un gouvernement sourd aux préoccupations des Français et résolu à poursuivre la politique d’Emmanuel Macron, nous restons fermement engagés à défendre vos intérêts.
Lors de son entretien avec Michel Barnier à Matignon, Marine Le Pen a réaffirmé nos lignes rouges essentielles, précisant que le franchissement de ces mesures entraînerait inévitablement la censure de ce gouvernement :
l’augmentation des taxes sur l’électricité ;
la désindexation des pensions de retraite ;
le déremboursement de soins médicaux ;
la sanctuarisation de l’aide médicale d’État pour les clandestins ;
et l’alourdissement des charges sur nos TPE et PME.
Ces mesures, profondément injustes, aggraveraient les difficultés de nos compatriotes, déjà frappés de plein fouet par l’inflation et la crise économique persistante.
Pour répondre aux attentes des Français et protéger leur pouvoir d’achat, nous proposons un contre-budget pragmatique et responsable :
une contribution de 15 % sur les rachats d’actions ;
une augmentation de la taxe sur les transactions financières ;
des économies ciblées sur l’aide publique au développement ;
une réduction de la contribution nette de la France à l’Union européenne.
Nous avons été clairs : si le gouvernement persiste à ignorer nos avertissements et à aggraver la situation de la France du travail, nous n’hésiterons pas à appuyer sur le bouton de la censure. Censure qui conduirait à la désignation d’un nouveau Premier ministre dont nous refuserions catégoriquement qu’il soit issu des rangs du NFP comme nous l’avons toujours indiqué.
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