J’en suis chaque année plus convaincu :
Pour réussir ?
(Quoi que ça veuille dire pour nous, chacun étant différent là-dessus)
La clé numéro une n’est pas de travailler plus.
Mais de réfléchir plus.
Plus précisément ?
De plus réfléchir à ce que tu fais.
Pour que ça ait beaucoup d’impact.
Sans te demander plus d’effort.
Plus de temps de travail.
Sans que ça soit plus dur.
(Au contraire même, tu veux justement que ça soit facile pour toi, et n’opter pour faire que ça)
Tout ce que tu me voies te partager, ou tu sais que je fais ?
(Comme de l’accompagnement en coaching)
Je le fais parce que c’est mon truc.
Que c’est facile pour moi.
Que ça ne me donne même pas l’impression que je bosse.
Parce que c’est juste du plaisir.
Et pour le temps que j’y passe, concrètement ?
Très très très peu.
(Surtout maintenant que je ne fais plus de marketing pour les autres comme par le passé)
A un point que c’est limite indécent.
Et que je me retrouve avec tellement temps libre que ça en est
presque vertigineux.
Pour ce qui est d’une paire d’exemples de ce qui est de réfléchir, plus que de travailler dur ?
Il y a par exemple le fait de m’être spécialisé sur le copywriting, il y a plus de 10 ans maintenant.
A l’époque où personne n’en parlait, et que même certaines des personnes que je respectais le plus me déconseillaient de le faire, tellement personne ne voulait en entendre parler.
Est-ce que ça me demandait plus de taf qu’avant ?
Non.
Mais très vite, ca a cartonné.
Parce que c’était facile pour moi.
Un régal à faire.
J’étais comme fait pour.
Pareil pour le coaching.
Pareil pour l’emailing.
Et particulièrement pour le moment où j’ai décidé de l’utiliser en mode « mailing quotidien »)
(Là encore, ça sortait de nulle part en Francophonie, à ce moment là)
Rien ne m’a fait faire de tels « jumps » dans mon activité que ce genre de décisions là.
Pourtant ?
Je n’ai pas eu à travailler plus qu’avant pour en récolter les fruits.
(Ca a même été tout l’inverse)
Juste à réfléchir.
Et c’est vrai aussi à plus petit niveau.
Comme quand tu décides de quelle offre de formation lancer.
De comment tu vas t’y prendre pour vendre tel ou tel truc.
Ou même juste de quoi tu vas parler dans ton prochain contenu.
80% du taf ?
C’est trouver la bonne idée.
Ce qui rend tout le reste d’autant plus facile si elle t’inspire.
Parce que tu as alors l’enthousiasme de t’y mettre facilement, du coup.
Pile comme là, je me retrouve à rédiger ce groove…un samedi, à 17h20.
Clairement pas le moment où je rédige normalement.
Sauf que les 5 premières lignes de ce mail me sont venues.
C’était donc même plus facile de m’y mettre direct, que de remettre le truc à plus tard.
Et du coup ?
Ca sort tout seul, et ce mail est écrit à une vitesse éclair.
(Je ne te tape vraiment pas vite, avec juste 2 doigts, et il sera claqué en moins de 6 ou 7 minutes, le truc, le temps que je fasse le lien avec mon offre, et mon appel à l’action, comme il se doit)
Et, puisqu’on en parle…
(Ô hasard…)
La 100e formation papier de la MMS que je fais envoyer dès demain matin aux membres est intégralement dédiée à ce que je viens de t’illustrer :
Arriver le plus vite possible au moment où tu n’as presque plus besoin de bosser pour super bien gagner ta vie.
Ou que, même si tu y passes un peu de temps, que ça soit un tel plaisir de toute façon que tu t’en fous total si faire les choses te prend 10 minutes ou 3 heures de ta journée.
En (re)pensant tout ce que tu fais pour jouer sur tes points forts.
Ce qui est le plus facile.
Et le plus plaisant pour toi.
Dit autrement ?
C’est une édition spéciale « Les cheat codes de l’entrepreneur paresseux ».
Pour jouer le game du business tout le temps le vent dans le dos.
Et pas de face.
Inscription ici avant ce soir 23h59 pour la recevoir avec mon livre Emailing 4.0 pour la recevoir, vu que je la fais expédier aux membres demain matin : https://lifestylers.fr/marketing-master-school/
Greg