Chère lectrice, Cher lecteur,
Je vous ai dégoté de l’or pour votre santé venant tout droit des océans.
Cet or vous permet de réduire vos niveaux de triglycérides (graisses dans le sang) qui sont responsables des maladies cardiaques… Oui rien que ça !
Et c’est : l’huile de poisson !
Plus précisément, c’est son taux en oméga 3 qui réduit votre niveau de triglycérides.
Ils sont composés d’EPA (acide eicosapentaénoïque) et DHA (acide docosahexaénoïque),
Qui sont 2 des 3 meilleurs acides gras, le dernier étant le ALA (acide α-linolénique) mais de source végétale.
Selon les études le EFSA (European Food Safety Authority), en consommant 250 à 500 mg de ces acides gras par jour
Vous faites d’une pierre 10 coups !
En fluidifiant votre circulation, ils empêchent la formation de caillots tout en vous protégeant des troubles du rythme cardiaque.
Les oméga 3 ont aussi leur mot à dire sur votre cholestérol. En réduisant les niveaux de triglycérides, ils augmentent votre niveau de HDL, le « bon cholestérol ».
Vous réduisez ainsi votre risque face aux maladies cardiaques, AVC et autres problèmes de cœur.
L’équilibre de vos acides gras peut aussi être responsable de vos kilos en trop. Si vous avez vécu une prise de poids anormale ces derniers temps, vérifiez vos oméga 3 et 6.
Ils sont également connus pour leurs propriétés anti-inflammatoires.
Si vous avez perdu en mobilité ou que vous souffrez d’inflammations chroniques, alors l’apport d’oméga 3 pourrait bien vous aider à y mettre un terme.
Sachez que la réduction de l’inflammation ne touche pas seulement vos articulations… c’est aussi votre cerveau qui pourrait vous remercier. Les oméga 3 aident à combattre les troubles mentaux, les problèmes de dépression et améliorent l’humeur.
Ils ont aussi un impact sur l’élasticité de votre peau, votre vision, et aussi pour la perte de votre mémoire…
Pas mal n’est-ce pas ?
Mais avant de vous précipiter les yeux fermés sur la première huile que vous trouvez…
Attention à ce polluant avant d’avaler la moindre goutte
Il est impératif de vérifier l’absence de contaminants, tels que le mercure, pour éviter tout risque pour votre santé.
Car les poissons, avant d’arriver tout cuits dans votre assiette, ont parcouru des kilomètres à la nage dans des eaux de mer pas vraiment très propres.
En effet, l’Homme déverse dans l’océan depuis des décennies ses déchets industriels.
Et les poissons, en particulier les espèces en haut de la chaîne alimentaire comme le marlin et le thon rouge du Pacifique, en sont donc « gavés ».
Des organismes tels que le Biodiversity Research Institute ont révélé, après avoir effectué près de 26 000 prélèvements dans diverses zones de pêche, que
Certaines espèces de poissons accumulent des concentrations de mercure qui dépassent les seuils de sécurité alimentaire.
La contamination au mercure est particulièrement préoccupante car elle est associée à des risques élevés pour le développement du fœtus et les jeunes enfants, et peut même, à terme…
« Attaquer notre système nerveux central et périphérique, ainsi que notre appareil digestif, notre système immunitaire, nos poumons et nos reins » – selon l’ONIP (Office National de l’Eau Potable
Je vous invite donc à limiter votre consommation qu’à de petits poissons, en bas de la chaîne alimentaire.
Car ils n’auront absorbé que très peu de mercure.
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