Vous l’avez compris…
Si vous ne soignez pas vos intestins, aucun régime ne sera efficace :
… ça ne marchera pas !
Et c’est la même chose avec d’autres problèmes de santé, comme les douleurs articulaires, qui frappent beaucoup d’entre nous après 50 ans.
Vous pensez peut-être qu’il n’y a AUCUN RAPPORT entre vos genoux… et votre ventre ?
Détrompez-vous car des chercheurs de l’University College London ont constaté qu’il y avait un lien étroit entre la mauvaise santé de vos intestins…16
… et les inflammations que vous pouvez ressentir dans vos articulations : genoux, poignets, doigts ou chevilles.
Oui, ces chercheurs ont remarqué que les patients atteints de certaines douleurs articulaires avaient dans leurs intestins des taux plus élevés de LPS.
Qu’est ce que c’est ?
Les LPS, ce sont les lipopolysaccharides.
C’est un composé de graisses et de sucre qui constitue la membrane externe de certaines bactéries.
Et on sait que les LPS peuvent favoriser plein d’autres maladies.
On a par exemple observé que la concentration en LPS était élevée chez les personnes souffrant de :
– troubles inflammatoires de l’intestin (syndrome du côlon irritable),
– maladie d’Alzheimer
– sclérose en plaque
– maladie de Parkinson
– arthrite rhumatoïde
– diabète
– dépression…
Et je ne continue pas, car la liste est longue…
S’il y a trop de LPS, c’est peut-être que votre intestin est « troué ».
C’est-à-dire que sa surface est poreuse, et qu’au lieu de les évacuer, elle laisse passer :
-
les particules toxiques
-
les substances chimiques
-
les bactéries pathogènes
On parle aujourd’hui de perméabilité intestinale.
Vos intestins sont une passoire.
Et alors là…
Imaginez si ces 100 milliards de bactéries pénètrent à l’intérieur de votre corps ?
Elles traversent vos intestins, contaminent votre sang, infiltrent vos organes, votre cerveau…
C’est la porte ouverte aux pires maladies…
C’est pourquoi cette découverte sur 2 souches probiotiques est tellement importante.
On s’est aperçu que les bactéries saines Lactobacillus Plantarum ont la capacité de régénérer les cellules épithéliales.
Ce sont elles qui composent le revêtement des muqueuses intestinales.
Et puis, il y a les Lactobacillus Paracasei.
Ces bactéries résistent bien aux milieux ultra-acides comme l’estomac et le tube digestif.
Mais surtout, elles ont la capacité de produire de la mucine, une substance qui va venir lubrifier les cellules épithéliales.
Elles agissent donc un peu comme un « enduit », qui colmatent les petits trous de la paroi intestinale.
Ces 2 souches (L. Plantarum et L. Paracasei) aideraient donc à réparer efficacement la muqueuse intestinale pour :
-
réduire la perméabilité intestinale,
-
limiter le passage des bactéries nocives dans le sang,
-
calmer les inflammations liées à l’âge, et
-
et améliorer les fonctions physiques… mais aussi : les fonctions cognitives.
J’y reviens dans 1 minute.
Et si l’inflammation est déjà là…
Il y a une autre souche qui est intéressante à prendre pendant au moins 8 semaines : c’est Lactobacillus Casei.
Elle pourrait diminuer l’inflammation de façon très nette, et même agir sur la souplesse articulaire.
Mais ce n‘est pas tout.
En intervenant directement sur le microbiote, on peut agir sur notre santé globale.
Notamment sur ce phénomène qui frappe 85% des personnes après 60 ans.
-
Aucun de nous ne peut le voir… ni le sentir.
-
Il n’entraîne pas de symptômes particuliers, il n’est pas localisé dans un organe spécifique…
-
Et pourtant, il se diffuse dans tout le corps.
Les médecins appellent ça une « inflammation de bas grade »… parce qu’elle est indétectable par les moyens actuels !
Quand l’inflammation est « normale », la réaction fait mal mais ne dure pas longtemps : des rougeurs, puis la chaleur, puis un gonflement et des douleurs.
Mais si ça dure plus de 3 semaines, c’est qu’il y a un gros souci.
A priori, la plupart des maladies – pour ne pas dire TOUTES – sont liées à cette inflammation chronique.
Arthrose… Diabète de type 2… Ostéoporose… Cancers… Maladies cardiovasculaires… DMLA… Maladie de Parkinson… Maladie d’Alzheimer… Sclérose en plaque…
On pense aujourd’hui que ces inflammations pourraient être évitées et traitées par des moyens naturels.
Vous allez voir.
En fait, c’est assez simple et facile en fait.
J’aimerais vous raconter l’histoire de Carlos, un patient du Dr David Perlmutter, un neurologue devenu un des plus grands spécialistes au monde du microbiote.
A 43 ans, Carlos est obligé de se déplacer avec une canne…
Rendez-vous compte : à 43 ans, quelle horreur.
Car un matin, il s’est réveillé avec des vertiges, avec une impression de ne plus avoir de jambes pour tenir debout et la sensation d’être dans un brouillard total…
Ses examens sont « ok », mais malgré ça, les années passent et sa santé continue de se dégrader :
-
il commence à ressentir de plus en plus souvent des fourmillements dans son dos ;
-
sa vision devient floue ;
-
3 ans plus tard, c’est un engourdissement de ses 2 jambes à partir de la taille qui apparaît.
Toujours rien sur les IRM.
Mais un jour, ce ne sont pas des étourdissements “comme d’habitude” qui le touchent.
Il ressent une réelle perte d’équilibre qui le “cloue” littéralement.
Il se décide à consulter une énième fois :
Cette fois-ci, les médecins voient quelque chose et le verdict tombe “enfin” :
Carlos est atteint de sclérose en plaque comme 110 000 Français aujourd’hui, et comme 5 000 nouvelles personnes touchées chaque année en France.
C’est une maladie neurodégénérative qui entraîne la mort des neurones et provoque une inflammation chronique des nerfs.
Elle touche le cerveau, la moelle épinière et les nerfs optiques.
Vous pensez qu’il n’y a plus rien à faire pour ce pauvre Carlos ?
Eh bien, si !
Si je vous parle de Carlos, c’est parce qu’il a réussi à réduire les symptômes de sa sclérose en plaque en seulement 2 semaines.
Et même à “vaincre” sa maladie.
-
Ses douleurs et inconforts ont disparu.
-
Il ne souffre plus de pertes d’équilibre.
-
Il peut remarcher avec plus d’aisance et SANS sa canne
Comment a-t-il fait ?
C’est le grand Dr. David Perlmutter qui a trouvé LA solution.
Lui aussi a été sidéré par l’amélioration fulgurante de l’état de son patient.
Il lui a prescrit un traitement de probiotiques 2 à 3 fois par semaine pour recoloniser son microbiote malade.
Et dès la 2ème semaine de traitement, oui vous avez bien lu, dès la 2ème semaine, sa santé s’est stabilisée.
Et il a pu lâcher sa canne.
Ça parait à peine croyable.
Pourtant beaucoup d’autres études scientifiques ont depuis montré le potentiel de plusieurs ferments lactiques pour agir sur la sclérose en plaque :17
Et Carlos, n’est pas le seul patient que le Dr. David Perlmutter ait transformé.
Il y a aussi eu aussi Jason, 12 ans :
Ce garçon souffrait d’une forme d’autisme et de troubles intestinaux sévères.
Son état s’est amélioré rapidement grâce à un apport de Lactobacilles et une transplantation de microbiote.
Ou encore Martina, 56 ans :
Elle souffrait d’anxiété et d’une dépression longue de 25 années.
Il l’a « sortie de là » grâce à un programme intensif de probiotiques et une alimentation riche en fibres alimentaires (prébiotiques).
Et des dizaines et des dizaines d’autres.
Ce qui est fascinant, c’est de voir comment les bactéries qui sont dans notre ventre… agissent dans notre tête !
Oui, nos bactéries intestinales stimulent la production de substances chimiques essentielles pour le cerveau :
-
le BDNF (Brain-Derived Neurotrophic Factor) une protéine responsable de la mémoire et de la croissance du cerveau
-
la dopamine, responsable de nos humeurs, de nos comportements et même de notre motivation et prise de décision.
-
la sérotonine, responsable de notre zenitude et de notre endormissement
-
et même de la vitamine B12 qui contribue notamment au fonctionnement normal du système nerveux.
Il y a notamment 2 souches importantes pour maintenir votre cerveau en bonne santé : c’est le Lactobacillus brevis et Lactobacillus plantarum.
Quand elles sont présentes en quantité suffisante, elles aident votre cerveau à fonctionner correctement.
Mais vous allez voir que les probiotiques font encore bien plus que ça.
Une étude a montré que la prise d’une souche particulière de probiotiques pouvait contrôler votre taux de cholestérol et éviter que votre cœur ne vieillisse plus vite que vous…
Il s’agit des Lactobacillus Reuteri.
Elles colonisent nos intestins depuis notre enfance et elles luttent contre les mauvaises bactéries.
C’est un élément-clé du microbiote intestinal car elles sont robustes et résistent à l’acidité de l’estomac.
En 2011, une étude a été réalisée sur 114 Canadiens qui ont pris 2 fois par jour un yaourt chargé en Lactobacillus Reuteri.
Et savez-vous ce qu’ils ont observé ?
Une chute de 9% de leur taux de mauvais cholestérol LDL… en moins de 6 semaines.18
Une autre étude chez des souris a même démontré une chute jusqu’à 22% de leur cholestérolémie en seulement 7 jours.19
Vous voyez comment ces bactéries invisibles peuvent agir sur toute votre santé ?
Et vous aider à retrouver la symbiose nécessaire à l’intérieur de votre flore intestinale ?
Même sur l’hypertension, qui touche 80% des Français… les probiotiques ont un effet très intéressant.
Des chercheurs toulousains ont mené une étude sur 155 patients, tous atteints d’hypertension artérielle.
Ils ont découvert qu’ils avaient tous un point commun : un microbiote pauvre.
C’est-à-dire un microbiote avec trop peu de bactéries et surtout pas assez de diversité de souches.
En se basant sur 9 autres études, d’autres chercheurs ont examiné le rapport entre la pression artérielle et la consommation de probiotiques auprès de 543 adultes.20
Savez-vous ce qu’ils ont observé ?
Ils ont vu que manger des probiotiques pouvait aider à diviser par 3 la pression artérielle.
Mais attention pas n’importe lesquels.
D’après un des experts français des probiotiques – auteurs du Guide des probiotiques – il faudrait 5 à 10 milliards d’UFC (Unité Formant Colonie) par jour des souches de probiotiques suivantes :
ou
Pendant au moins 8 semaines, pour avoir une baisse significative de la pression artérielle.
Chacune de ces souches a également d’autres bienfaits.
Si on prend la bactérie Lactobacillus Casei par exemple, elle joue un rôle majeur pour défendre notre système immunitaire.
Écoutez bien ce qui suit…
C’est le British Journal of Nutrition qui a révélé ces résultats incroyables.21
Des scientifiques ont mesuré l’effet de probiotiques face au virus de la grippe.
Cette étude a été menée sur 2 groupes de personnes, durant 6 semaines :
-
Le 1er groupe a pris un complément alimentaire contenant des probiotiques
-
Le 2nd groupe, un simple placebo.
Puis les scientifiques ont injecté le virus de la grippe à ces 2 groupes :
Dès la 2ème semaine, le groupe qui a pris les probiotiques avait des taux d’anticorps beaucoup plus élevés et donc une résistance plus forte au virus que ceux soumis au placebo.
On sait aujourd’hui à quel point la bonne santé de notre système immunitaire est centrale.
Voilà pourquoi, si vous ne prenez pas encore de probiotiques, je vous invite à le faire au plus vite.
Et si vous en prenez déjà, écoutez bien ceci.
Il faut faire très attention au moment de choisir vos probiotiques.
Car dans 75% des cas, ils ne servent à rien…
Dans la plupart des produits vendus aujourd’hui, il n’y a “que 1 seule souche” ou dans le meilleur des cas, 3 à 7 variétés de souches de ferments lactiques.
C’est toujours mieux que rien bien sûr !
Mais les études scientifiques montrent à quel point la diversité des souches est essentielle pour l’équilibre de la flore intestinale.
Beaucoup de compléments que l’on trouve en supermarché, sur le web ou même en parapharmacie ne contiennent que 2 ou 3 souches.
C’est très peu !
L’autre problème, c’est le dosage : 8 fois sur 10, les probiotiques ne contiennent « que » quelques milliards d’unités, pas plus.
C’est ce qui m’a poussé à m’intéresser à la formule innovante de cette marque.
Sa concentration est 4x plus élevée que les probiotiques classiques du marché.
La plupart des souches ont été cultivées en France, dans le Maine-et-Loire.
Chaque souche a été identifiée, sélectionnée et étudiées individuellement pour vous apporter les meilleurs résultats :
-
Lactobacillus plantarum (9,6 milliards de bactéries) et Lactobacillus reuteri (200 millions) : reconnues pour leurs propriétés antioxydantes, elles stimulent l’immunité.
-
Lactobacillus brevis (200 millions): efficaces pour inhiber les effets de bactéries pathogènes dans les intestins et elles permettraient d’augmenter l’hormone de croissance vedette du cerveau (la BDNF) qui est responsable de la mémoire et de la vivacité du cerveau.
-
Bifidobacterium adolescentis (400 millions) : ses propriétés anti-inflammatoires aident à protéger la flore intestinale, à stimuler les défenses immunitaires et à contrer les effets néfastes des antibiotiques.
-
Lactobacillus gasseri et Lactobacillus plantarum (9,6 milliards) : aident à contrôler le poids et réguler l’obésité ou le surpoids.
-
Lactobacillus casei (10 milliards) : pour son action antioxydante, elles agissent en faveur d’une bonne santé respiratoire et d’une bonne santé des cartilages et des articulations.
-
Lactobacillus paracasei (400 millions) et Lactobacillus salivarius (200 millions) : réparent la perméabilité intestinale et renforcent le système immunitaire en contrôlant les infections des bactéries pathogènes.
-
Bifidobacterium bifidum (200 millions) : protège des infections gastro-intestinales et atténue les symptômes d’intolérances alimentaires.
Et pour aider votre intestin et votre flore intestinale à se repeupler, les experts sont allés 1 cran plus loin que 92% des probiotiques qu’on trouve en France.
|