Tes meilleurs concerts

Les retraités de l’après-midi

Je crois que ça m’était venu en répondant à je ne sais plus quelle question de je ne sais même plus qui, pendant une interview…

« Marketeur le matin, retraité l’après-midi, en fait »

Et ça a toujours été mon rythme.

A part lors de quelques sessions où il fallait vraiment « mettre un coup » pour avancer.

Y compris quand j’ai été le plus au taquet de ma carrière.

C’est-à-dire quand…

… en plus de créer chaque mois 2 formations sur Life Stylers (la formation papier de la MMS, qui a fêté ses 10 ans en décembre, et une nouvelle formation audio/vidéo en plus)

…en plus des sessions d’accompagnement que je donnais à mes clients

…je gérais en plus l’intégralité de la stratégie et du marketing de 3 autres business en done for you.

Un rythme de fou à l’époque.

Mais que je n’aurais jamais soutenu, justement, si je ne coupais pas total l’après-midi.

Et l’utilisais juste pour réunir les troupes dans ma tête.

Et réfléchir.

Pour penser les offres que j’avais à lancer (ou faire lancer par mes clients)

Les angles des contenus que j’avais à écrire.

Pour justement pouvoir facilement m’y mettre direct pour mon sprint matinal le lendemain.

Est-ce que je recommanderais de gérer autant de projets différents en parallèle ?

Clairement pas.

(Il m’a fallu du temps pour m’en remettre, pour tout te dire.

Pas à cause de la dose de taf en temps que telle.

Mais à cause de la pression et de l’énergie mentale que faire tout ça de front demande)

Si je t’en parle ?

C’est qu’il y a une grosse leçon à en retirer, je trouve.

Qui va à l’envers total de ce que l’immense majorité des entrepreneurs font :

Etre sur tous les fronts.

Chercher à mener bien trop de batailles en même temps.

Et même surtout celles qu’ils n’ont pas grand intérêt à mener.

Parce que tout ce que ça leur amène ?

C’est qu’ils se dispersent.

C’est qu’ils perdent une énergie folle (et un temps dingue), sur des choses qui ne vont rien changer, ou presque, à leurs résultats.

Pire encore ?

En plus de les fatiguer, et de les frustrer de faire tout çà pour que dalle, ou 3 miettes ?

Ca les distrait de l’essentiel :

Juste faire ce qui compte.

Et ce qui a de l’impact.

Ce qui se fait en grand max 2 heures par jour, la plupart des jours.

(Ok, tu vas y passer un peu plus de temps le jour où tu prépares un nouveau lancement, surtout quand tu n’en as pas encore fait des masses.

Mais c’est pas tous les jours, ça)

Je vais même être plus cash que ça encore :

Quelqu’un qui ne gère qu’un seul projet sur internet, et qui bosse plus de 2 heures par jour la plupart du temps, passé le temps de lancement nécessaire ?

C’est soit qu’il n’a pas trouvé le bon projet pour lui.

Soit qu’il part dans tous les sens et ne sait toujours pas ce qui est vraiment important pour lui, et donne les beaux résultats.

Et c’est quelque chose que je vois tellement souvent revenir que l’édition spéciale « 10 ans de la MMS », de décembre dernier, avait pour but premier de déglinguer la tronche à toutes ces merdes qu’on se fout en tête sur ce qu’on pense nécessaire de faire pour réussir.

Pour au contraire juste faire ce qui a de l’impact, ce qui est facile pour nous, et ce pour quoi on a vraiment un avantage.

Tu vas voir si tu la lis que le plus gros conseil que je vais te donner est même le truc le plus hardcore dans l’idée que tu liras sans doute jamais au sujet de l’entrepreneuriat en ligne.

Et je me doute que beaucoup vont avoir une grosse résistance naturelle à le suivre.

Surtout au début.

Parce que même si tu vas de suite en saisir les avantages évidents…

….comme percer plus vite (y compris sur une thématique coupe gorge et saturée) qu’il est possible de le faire normalement

…comme avoir toute l’attention des gens pour toi

…comme rendre presque impossible que les gens ne finissent pas par tomber sur ton travail, même si tu ne fais rien d’autre pour ça

… comme pour pouvoir facturer plus cher que les autres, et que ça soit tout à fait justifié

.. ou encore comme pouvoir obtenir 95% des résultats que l’entrepreneur moyen obtient en mettant juste 5% des efforts, là où il faut

…tu risques d’avoir du mal à oser suivre cette approche.

Exactement comme un entrepreneur qui sort du salariat se dit qu’il doit bosser 8 heures par jour.

Parce que c’est comme ça qu’il est encore programmé.

Aucune idée, donc, de ce que ça donnera pour toi.

Mais si tu me demandes de compiler 10 ans de philosophie « Gregstyle » dans une seule formation ?

Et quel est le meilleur moyen d’arriver le plus vite et facilement possible à monter un projet qui rapporte, uniquement au plaisir et en jouant sur tes points forts ?

Alors cette édition anniversaire « spéciale 10 ans de la MMS » est la synthèse de tout ce que j’ai expérimenté et découvert sur le sujet.

Et ce que je ferais, si je devais revenir en arrière et démarrer de zéro.

Tu peux recevoir cette édition, et celle du mois précédent)…

…soient les deux formations papier spéciales « 100e MMS » puis « 10 ans de la MMS » consacrées aux cheats code de l’entrepreneur paresseux…

…si tu passes commande avant ce soir, 23h59, via ce lien : https://lifestylers.thrivecart.com/mms-x2-cheat-codes-paresseux/

(Indique bien l’adresse à laquelle tu veux recevoir ces deux formations papier)

Greg

GREGORY LAGRANGE
Qwenaya Light Interactive LLC
emotionalspying@yahoo.fr
www.lifestylers.fr

Ton VRAI TRUC (Trouve le, et c’est freestyle…)

Dans ce groove ?

Quelque chose qui peut tout changer à ce que tu fais, à tes résultats, et à la facilité avec laquelle tu les obtiens, une fois sur les rails.

Mais avant de te dévoiler tout çà ?

Un peu de contexte sur comment je vois les choses…

C’est quelque chose qui peut surprendre :

Ton cher loustic de marketeux ?

Ca fait belle lurette qu’il ne fait plus de Mark ni de Ting.

Du moins, au sens développer sa mailing liste.

Faire ce qu’il faut pour se faire connaître.

Que ce soit en faisant de la pub, en publiant du contenu gratuit avec les appels à l’action pour s’inscrire à sa liste qui vont bien, ou quoi que ce soit du genre.

Du coup, dans les faits ?

Je « vis juste sur mes acquis » en termes de taille de ma liste.

C’est-à-dire que si tu n’entends pas parler de moi d’une manière ou d’une autre ?

Ou que tu ne tombes pas sur une ancienne interview que j’ai pu donner ?

Aucune chance que tu puisses rejoindre Gregsland.

Bien sûr ?

C’est beaucoup plus facile de se permettre ça quand tu as déjà un minimum de positionnement, de références et que ton nom est plutôt bien établi dans ton domaine.

Mais n’empêche que c’est clairement laisser de l’argent sur la table.

Et que ce n’est pas pile oilp’ la façon recommandée de jouer le game.

Est-ce que ç’est parce que les gros défis dans ma carrière, ils ont déjà été relevés ?

Est-ce que ç’est parce que de toute façon, je n’ai plus vraiment besoin de cash ?

Il y a de ça, c’est clair.

Mais je pense que la raison principale est encore ailleurs :

C’est que la lumière, c’est pas franchement mon kif.

Je préfère 100 000 fois bosser avec bien moins de monde, mais des gens qui collent vraiment à ceux que je veux aider, que d’essayer d’exploser les scores.

De me retrouver à aider la Terre Entière.

Ce qui impliquerait, par nature, une immense majorité de gens pour qui je ne pourrais rien, de toute façon.

Aussi, et même surtout ?

Je préfère 100 000 fois faire uniquement ce qui est hyper plaisant ET hyper facile pour moi.

Et laisser tout le reste à ceux que ça branche.

Je préviens d’avance :

Les prochaines lignes vont peut-être paraitre HYPER arrogantes.

Mais si mon objectif avait été de « tout exploser » avec ce que je fais sur Life Stylers ?

De devenir le formateur sur mon sujet qui vend le plus ?

Qui a la plus grosse mailing liste ?

Ca fait bien longtemps que ça aurait été fait.

(Je t’avais prévenu…)

Parce que j’ai déjà réussi des défis bien plus chauds que ça.

Notamment les business de mes clients, dont j’ai repris toute la stratégie et le marketing alors qu’ils faisaient dans les 300 à 500k annuels, pour les emmener à entre 3 et 5 millions de CA par an, en même pas 5 ans.

Ce qui peut donc paraitre comme de l’arrogance niveau Connard +++ ?

C’est juste de la confiance dans mes compétences, comme je le vois.

Le truc ?

C’est que ce genre d’objectifs ?

…et bien j’en ai rien à branler.

Qu’est-ce que ça aurait changé ?

Absolument que dalle.

A part pour l’égo.

A part pour gagner au jeu de qui a la plus grosse.

Dans mon cas, j’entends.

(Précision importante)

Certains peuvent avoir de très bonnes raisons de vouloir développer un très gros business avec le temps.

Comme pour aider le maximum de gens possible.

Genre c’est leur « mission de vie ».

Chacun son délire.

Et c’est justement là qu’il ne faut pas se planter, faute d’être déçu quoi qu’il arrive :

Une fois qu’on est compétent dans son domaine, et qu’on sait vendre ?

On peut aller à peu près jusqu’où on veut, en étant un minimum motivé et régulier.

La question ?

C’est de savoir quel jeu on a envie de mener.

Pour ne pas se retrouver à jouer celui de quelqu’un d’autre.

Et donc de n’avoir aucune chance de le gagner.

Pour (et c’est ça le pire)…

… « Se réveiller » après des années et se rendre compte que ça ne valait pas la peine.

Que ce n’était pas celui qu’on avait envie de jouer.

Perso ?

Tout ce qui m’intéresse ?

C’est de jouer le game en mode hyper facile.

Et surtout hyper plaisant.

Ce qui fait que tout ce que je fais, ou décide de faire, passe par ces filtres exacts.

(Si ça ne rentre pas dans ce cadre ?

Je refuse simplement de ne serait-ce qu’y penser)

Ca doit donc être hyper facile pour moi.

Ne même pas me donner l’impression que je suis en train de bosser quand je le fais.

Tout en aidant pourtant énormément mes clients.

(Quitte à les changer, si nécessaire, pour rendre tout ça possible, et même que vendre soit encore plus facile, comme tu verras dans la formation si tu la suis)

Et me donner énormément de temps libre.

(Ma priorité numéro une depuis un moment maintenant)

Que ça soit mon VRAI TRUC, si tu préfères.

Pour que ça soit possible ?

Quelques points clés, concepts et formules auxquels penser.

Voire même beaucoup réfléchir.

Jusqu’à ce que les réponses te tiltent littéralement la tête.

Et que tu demandes pourquoi tu n’y as pas pensé plus tôt.

Pourquoi tu ne l’as pas fait plus tôt.

Et c’est tout ce que je te montrais dans les éditions « spéciale anniversaire » de la formation papier de la MMS que j’ai rédigées en fin d’année.

Avec celle de novembre, pour fêter la 100e édition.

Et celle de décembre, pour fêter les 10 ans de la School.

Deux éditionx dédiéex aux cheat codes de l’entrepreneur paresseux.

Pour jouer le game du business selon tes propres règles, tout le temps à domicile le vent dans le dos.

En le repensant intégralement si besoin.

Pour tout miser sur tes points forts, ce qui est facile et plaisant pour toi…

…et en trouvant les clients ultra idéaux pour faire fonctionner le tout.

La version « paresse créative » d’approcher et de pratiquer le business en ligne et le marketing, en quelque sorte.

Tu peux les recevoir chez toi à ton tour en les commandant via ce lien avant demain soir : https://lifestylers.thrivecart.com/mms-x2-cheat-codes-paresseux/

(Fais bien attention à indiquer l’adresse à laquelle tu souhaites être livré)

Greg

GREGORY LAGRANGE
Qwenaya Light Interactive LLC
emotionalspying@yahoo.fr
www.lifestylers.fr

Le business et le marketing joués en mode facile : La méthode

J’en suis chaque année plus convaincu :

Pour réussir ?

(Quoi que ça veuille dire pour nous, chacun étant différent là-dessus)

La clé numéro une n’est pas de travailler plus.

Mais de réfléchir plus.

Plus précisément ?

De plus réfléchir à ce que tu fais.

Pour que ça ait beaucoup d’impact.

Sans te demander plus d’effort.

Plus de temps de travail.

Sans que ça soit plus dur.

(Au contraire même, tu veux justement que ça soit facile pour toi, et n’opter pour faire que ça)

Tout ce que tu me voies te partager, ou que tu sais que je fais ?

(Comme de l’accompagnement en coaching)

Je le fais parce que c’est mon truc.

Que c’est facile pour moi.

Que ça ne me donne même pas l’impression que je bosse.

Parce que c’est juste du plaisir.

Et pour le temps que j’y passe, concrètement ?

Très très très peu.

(Surtout maintenant que je ne fais plus de marketing pour les autres comme par le passé)

A un point que c’est limite indécent.

Et que je me retrouve avec tellement temps libre que ça en est

presque vertigineux.

Pour ce qui est d’une paire d’exemples de ce qui est de réfléchir, plus que de travailler dur ?

Il y a par exemple le fait de m’être spécialisé sur le copywriting, il y a plus de 10 ans maintenant.

A l’époque où personne n’en parlait, et que même certaines des personnes que je respectais le plus me déconseillaient de le faire, tellement personne ne voulait en entendre parler.

Est-ce que ça me demandait plus de taf qu’avant ?

Non.

Mais très vite, ca a cartonné.

Parce que c’était facile pour moi.

Un régal à faire.

J’étais comme fait pour.

Pareil pour le coaching.

Pareil pour l’emailing.

Et particulièrement pour le moment où j’ai décidé de l’utiliser en mode « mailing quotidien »)

(Là encore, ça sortait de nulle part en Francophonie, à ce moment là)

Rien ne m’a fait faire de tels « jumps » dans mon activité que ce genre de décisions là.

Pourtant ?

Je n’ai pas eu à travailler plus qu’avant pour en récolter les fruits.

(Ca a même été tout l’inverse)

Juste à réfléchir.

Et c’est vrai aussi à plus petit niveau.

Comme quand tu décides de quelle offre de formation lancer.

De comment tu vas t’y prendre pour vendre tel ou tel truc.

Ou même juste de quoi tu vas parler dans ton prochain contenu.

80% du taf ?

C’est trouver la bonne idée.

Ce qui rend tout le reste d’autant plus facile si elle t’inspire.

Parce que tu as alors l’enthousiasme de t’y mettre facilement, du coup.

Pile comme là, je me retrouve à rédiger ce groove…un samedi, à 17h20.

Clairement pas le moment où je rédige normalement.

Sauf que les 5 premières lignes de ce mail me sont venues.

C’était donc même plus facile de m’y mettre direct, que de remettre le truc à plus tard.

Et du coup ?

Ca sort tout seul, et ce mail est écrit à une vitesse éclair.

(Je ne te tape vraiment pas vite, avec juste 2 doigts, et il sera claqué en moins de 6 ou 7 minutes, le truc, le temps que je fasse le lien avec mon offre, et mon appel à l’action, comme il se doit)

Et, puisqu’on en parle…

(Ô hasard…)

La 100e formation papier de la MMS, et la 101e qui fêtait les 10 ans de la Marketing Master School, soit les éditions de novembre et décembre derniers, étaient intégralement dédiées à ce que je viens de t’illustrer :

Arriver le plus vite possible au moment où tu n’as presque plus besoin de bosser pour super bien gagner ta vie.

Ou que, même si tu y passes un peu de temps, que ça soit un tel plaisir de toute façon que tu t’en fous total si faire les choses te prend 10 minutes ou 3 heures de ta journée.

En (re)pensant tout ce que tu fais pour jouer sur tes points forts.

Ce qui est le plus facile.

Et le plus plaisant pour toi.

Dit autrement ?

Il s’agissait de deux éditions spéciales « Les cheat codes de l’entrepreneur paresseux ».

Pour jouer le game du business tout le temps le vent dans le dos.

Et pas de face.

Et je pense qu’elles peuvent tellement t’aider aussi que j’ai décidé de les re proposer, juste là.

C’est-à-dire que tu peux les commander via ce lien : https://lifestylers.thrivecart.com/mms-x2-cheat-codes-paresseux/

Et tu reçois dans les prochains jours à l’adresse que tu as indiqué ces 2 formations, au format papier.

Greg

GREGORY LAGRANGE
Qwenaya Light Interactive LLC
emotionalspying@yahoo.fr
www.lifestylers.fr

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