Aujourd’hui, les créateurs de contenu sont menacés par 2 choses.
La première menace, c’est l’IA.
Elle a rendu la production de textes ultra-facile et abondante.
N’importe qui peut créer des posts textes et des scripts de vidéos convaincants en moins de 10 secondes.
C’est devenu difficile de différentier les artisans des industriels.
La deuxième menace, ce sont les marketeurs bullshit.
Ceux qui vendent le dernier bouton magique pour devenir riche, et ceux qui jouent sur la provoc et l’extrémisme pour se faire remarquer.
C’est de plus en plus dur de se construire une crédibilité, dans un monde ou l’exagération et le mensonge sont omniprésents.
Résultat : si tu es coach, formateur, prestataire de service, e-commerçant ou simplement créateur de contenu…
Ton métier est attaqué de toutes parts.
Alors je me suis demandé : comment faire pour tenir ?
Faut-il tout déléguer à des systèmes IA et jouer le jeu de « l’industrie », quitte à tuer l’âme de notre métier ?
Faut-il faire la course aux promesses toujours plus grosses, à la provocation, quitte à détruire sa réputation ?
Comme beaucoup, j’étais perdu.
Et puis il s’est passé quelque chose d’inattendu.
Comme mon audience stagnait depuis des années, j’ai décidé de lancer un nouveau business.
J’ai engagé un développeur et je me suis donné 100 jours pour concevoir un outil en ligne pour les entrepreneurs.
Mais je ne voulais pas faire l’erreur classique.
Celle de créer le produit dans mon coin, sans en parler à personne, puis de le lancer dans le vide, en s’étonnant de ne pas faire de vente.
Alors j’ai commencé à documenter la création de ce produit, avec de courtes vidéos pour les réseaux.
Chaque jour ou presque, j’ai créé une petite vidéo pour parler de l’avancée du projet, de mes succès, de mes difficultés et de mes questionnements…
Puis j’ai posté ces vidéos sur toutes les plateformes.
Et à ma grande surprise, alors que la création de contenu n’était plus du tout au centre de mon business…
Ça a commencé à décoller :
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