Chers amis,
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Depuis de nombreuses annĂ©es, la France est en proie Ă une montĂ©e inquiĂ©tante de la violence face Ă laquelle les gouvernements restent passifs et ne semblent pas en prendre la mesure. Sous la prĂ©sidence d’Emmanuel Macron, les homicides ont grimpĂ© de 20% et les “faits divers” sont devenus de vĂ©ritables faits de sociĂ©tĂ©. Ils sont le triste reflet d’une sociĂ©tĂ© en proie Ă l’ensauvagement.
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Les événements de ces derniers jours révèlent l’ampleur de cette violence : Nicolas, un jeune rugbyman de 22 ans a perdu la vie, abattu par balles gratuitement devant une boîte de nuit en Ardèche. Un an après le meurtre de son coéquipier Thomas, tué au couteau lors de l’attaque d’une fête populaire.
Le quotidien des Français est empoisonné par des scènes de barbarie comme en témoignent, hier, l’attaque à la hache dans le RER E, ou encore la fusillade nocturne de Poitiers, qui a laissé plusieurs adolescents entre la vie et la mort.
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Ces drames ne sont pas des faits isolĂ©s : ils sont les symptĂ´mes d’une sociĂ©tĂ© en perdition, gangrenĂ©e par le laxisme et l’inaction des autoritĂ©s. Alors qu’une majoritĂ© de Français rĂ©clament une justice plus ferme pour les mineurs, le gouvernement reste attachĂ© Ă un dogme qui protège les dĂ©linquants juvĂ©niles, au dĂ©triment de la sĂ©curitĂ© publique.Â
Comme le souligne Marine Le Pen, aucune lutte contre la violence juvénile ne sera efficace tant que le droit pénal ne rendra pas à la peine sa valeur dissuasive.
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