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« Mantras pour débutants » Découvrez le pouvoir de guérison des mantras
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On m’a demandé de ne pas vous partager cette histoire.
Il semble y avoir un tabou sur ce qui est « sacré ».
D’après les « censeurs » que ces propos choquent, aborder ce sujet pourrait nuire à ma réputation.
Tant pis ! C’est trop important pour que je me tais et je respecte trop mes lecteurs pour leur cacher un savoir aussi précieux…
Des formules sacrées pour guérir : connaissez-vous la mantrathérapie ?
Pour le tantrisme tibétain, ce sont les mêmes vibrations qui parcourent le corps et l’univers.
La répétition des mantras aurait donc le pouvoir de soigner la maladie en harmonisant les rythmes de l’organisme.
La mantrathérapie aurait été transmise à une époque immémoriale, alors que vivaient sur terre des êtres d’une autre dimension.
De forme humaine, leur corps n’était cependant pas physique au sens où nous l’entendons.
Ce peuple, doté d’un corps de lumière, se soignait au plan énergétique par la mantrathérapie qu’il légua aux Bönpos, habitants des vallées himalayennes entourant le mont Kailash et détenteurs de la première religion du Tibet, le bön, qui signifie « réciter des mantras ».
Ancrage historique
L’histoire médicale fait remonter l’art de guérir par les mantras à 3.900 ans avant J.-C., en se fondant sur des documents transmis de génération en génération.
La première encyclopédie de médecine tibétaine, intitulée « l’Essence d’ambroisie » et connue au Tibet sous le titre abrégé de Gyushi, fut adaptée de l’original sanscrit et sa composition s’échelonna du VIIIe au XIIe siècle.
Ses 156 chapitres intègrent la mantrathérapie et présentent une compilation d’environ 100.000 formules de soin dont l’usage est répertorié et qui ont fait leurs preuves dans le traitement de diverses pathologies.
Or c’est à cette même époque que le bouddhisme devient religion d’État, supplantant le bön.
Plusieurs enseignements du Bouddha comportent des instructions sur la guérison par les mantras.
La source de la mantrathérapie est donc attestée à la fois dans le bön, le bouddhisme et la médecine tibétaine qui fusionne ces deux traditions.
Cet ancrage historique multiculturel est reflété, à l’heure actuelle, dans la manière même dont les mantras arrivent en Occident, transmis tant par des lamas des quatre écoles du bouddhisme tibétain, que par des lamas bönpos, ou des médecins tibétains en exil.
Protéger l’esprit
Mantra est un mot sanscrit, composé de deux racines, man, désignant l’esprit (manas), et tra, radical verbal signifiant « protéger ».
Le mantra est donc une formule qui protège l’esprit.
De quoi faut-il protéger l’esprit ?
De la souffrance et de l’ignorance.
La souffrance, selon Bouddha, est le symptôme physique et mental de l’ignorance de l’esprit qui, faute d’un entraînement à la méditation, méconnaît sa véritable nature, aimante et lumineuse, et la réalité interdépendante de la vie.
L’étymologie même du mot « mantra » nous conduit donc au cœur d’une pratique de soin inspirée des sciences internes du bouddhisme, dont l’objet est d’identifier différents niveaux de l’esprit qui correspondent à différents corps, décrits selon leur degré de subtilité.
Les lamas enseignent que le corps physique n’est pas le seul que nous expérimentons :
« Il y a plusieurs corps dans votre corps. »
Il est associé à l’état de veille, lorsque fonctionnent nos consciences sensorielles et la conscience mentale. Il s’agit d’un corps « grossier », tourné vers l’extérieur et la matière.
Dans le rêve, nous entrons dans un autre corps, intérieur et plus subtil, puisque la connexion avec le monde extérieur est suspendue, une fois les sens désactivés au moment de l’endormissement.
Toutefois les stimuli enregistrés par le cerveau persistent dans l’activité onirique, produisant images et sensations.
Celles-ci disparaissent dans l’état de sommeil profond ou l’absorption contemplative.
Quel est alors le support de la conscience ?
Il est identifié comme un corps d’énergie produit par un esprit très subtil que l’on peut explorer au moyen de méditations avancées.
L’absorption méditative par les mantras conduit à ces niveaux subtils du continuum corps-esprit, qui canalisent l’énergie de sagesse et d’amour de la vie universelle.
C’est à ce plan que peut se manifester le pouvoir de guérison des sons.
Selon le principe bouddhiste d’interdépendance en effet, tout est relié et chaque organe correspond à une vibration spécifique qui résonne au plan physique humain mais aussi par exemple dans la structure végétale (raison pour laquelle les plantes guérissent) et cosmique (sujet d’étude de l’astroscience tibétaine).
Des points d’énergie du corps sont identifiés sous forme de sons particuliers, classés dans des tables de correspondances avec les jours lunaires et les maisons zodiacales, notamment dans le Tantra de Kalachakra.
Lorsque la vibration d’un organe malade entre en phase avec la vibration d’un mantra de soin approprié, il peut être guéri.
La mantrathérapie définit donc la santé comme un état d’équilibre des constituants psychophysiques du corps et de l’univers, appréhendés comme des réseaux de vibrations et d’harmoniques.
Entre espoir et scepticisme
Il serait réducteur de ne pas situer la mantrathérapie dans ce contexte des sciences internes bouddhistes, au risque de l’assimiler à un répertoire de formules magiques.
Certes, on l’a peu testée en laboratoire et les recherches restent embryonnaires. Rebaptisée Tibetan Sound Meditation (TSM) au Centre de médecine intégrative de l’université du Texas, elle a toutefois fait ses preuves dans le traitement de patientes atteintes de troubles cognitifs consécutifs à des cancers du sein récidivants.
Et David Servan-Schreiber s’est fait l’écho des recherches du professeur Luciano Bernardi, de l’université de Pavie en Italie, qui fit réciter à des sujets, non formés à la méditation, le mantra le plus connu du bouddhisme tibétain, Om Mani Padme Hum, résultant en une mise en cohérence rapide des biorythmes autonomes du corps (respiration, cœur, tension artérielle) grâce à la répétition de cette formule.
On est donc loin d’avoir aujourd’hui scientifiquement prouvé le pouvoir thérapeutique des mantras.
Il faudrait pour cela que se généralise la vision holistique de la physique quantique, démontrant que tout est énergie et vibration.
L’auteur de cet ouvrage a vécu un changement de paradigme et entreprit l’étude et la pratique des mantras auprès de lamas et de médecins tibétains.
Ils m’autorisèrent à la transmettre, lui ayant appris à développer la conscience du lien vital avec tous les êtres, qui transforme la maladie en voie d’Eveil.
Pour vous initier à la puissance des mantras, cliquez sur le bouton ci-dessous :
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Je vous souhaite beaucoup de bonheur, et la santé,
Votre ami,
Francis Dukros
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