Quelque chose qui bloque pas mal de monde au moment de partager du contenu (et de vendre) ?
Le syndrome de l’imposteur.
(Tu as peut-être connu ça, ou tu en souffres encore…)
De l’autre côté du miroir du oueb ?
Les impostures.
(Et ça, on en connaît encore plus)
Genre « je me lance après avoir lu 3 bouquins sur un sujet, parce qu’on m’a dit que si j’avais lu 3 livres en entier sur un domaine, j’en savais forcément plus que 99% des gens ».
Pas faux en soi.
Mais not enough.
Honnêtement ?
Tu n’as pas besoin de moi pour régler l’un ou l’autre de ces éventuels soucis.
Il y a plein de formateurs en marketing mainstream pour te parler de ça.
Perso ?
Je fais de l’underground.
Et je laisse le top des charts aux autres.
Un truc sur le sujet auquel tu n’as pas peut-être pensé, par contre ?
C’est ta légitimité sur le sujet que tu vends au moment M.
Je ne te parle pas d’être légitime sur ta thématique.
Ca, ça tombe sous le sens.
Si tu ne connais pas super bien ton domaine, il va manquer un truc.
Et ça va se voir tout de suite.
Comme si tu sortais faire tes courses en ayant oublié de mettre au moins un peignoir.
Nan.
Je te parle du sujet sur lequel tu fais une offre.
Exemple :
Tu peux être légitime en tant que coach en dev perso, et, un jour, lancer un produit pour aider les gens à arrêter de fumer.
Sauf que toi, tu n’as jamais été fumeur.
Ou, comme ça m’est arrivé il y a des années :
Tu sors un produit sur comment remplir tes webinaires de prospects déjà prêts à acheter.
Mais, vu que tu ne fais jamais de webinaires toi-même, il y a quelque chose qui cloche.
(Pas faute pourtant d’avoir aidé beaucoup de clients à bien le faire)
Et ton lancement fait flop comme le prochain album d’Enrico Macias.
(Si il est mort, paix à son âme.
Si il est encore vivant, idem)
C’est l’un des critères les plus importants mais les plus sous-estimés des produits qui cartonnent :
La légitimité perçue.
Qu’il faut voir exactement comme de la preuve sociale pour convaincre les gens d’acheter.
Tu peux être très bon et maîtriser ton sujet.
Mais les gens doivent le savoir avant que tu lances ton offre.
Sinon, il va te manquer un froc.
Une façon simple de régler le souci ?
Parler de ce sujet dans les semaines qui précèdent la sortie de ton produit.
Et prouver que tu maitrises ton sujet aussi bien qu’un spécialiste.
En gros, pense à ton costard en avance.
Voilà, ça, c’est cadeau.
Mais il y a pas mal d’autres manières de convaincre y compris tes prospects les plus sceptiques dès tes mailings.
De leur (dé)montrer qu’ils ont tout intérêt à t’écouter.
A appliquer tes conseils.
Et, bien sûr, à acheter tes trucs.
J’en utilise généralement une bonne douzaine dans mes mailings.
(La plupart ont l’air de tout faire sauf de construire ma crédibilité, ou celle de mes clients)
Les plus efficaces ne ressemblent pas à des preuves d’ailleurs.
Je te montrais mes 9 favorites dans la formation papier de décembre 2018 de la Marketing Master School.
(Et si voir une si vieille date te fait croire que l’information ne doit plus être à jour, c’est sans doute que le marketing est quelque chose que tu devrais oublier…)
Il y en a notamment qui te permettent d’être instantanément perçu par ceux qui te lisent crédible et légitime sur ta thématique.
Même si personne ou presque n’a encore entendu parler de toi ou de tes produits ou services…
Et c’est ce qui manque à beaucoup trop d’entrepreneurs pour vendre…
Ca change tellement de choses que j’ai décidé d’ajouter cette édition dans Financial Hypergrowth ce samedi, pour être sûr que les membres aient accès à ça, et puissent convaincre une part bien plus importante de leur audience d’acheter chez eux.
Et ça change tellement de choses que c’est le seul moyen de récupérer cette édition, d’ailleurs.
(Pas la peine donc de m’écrire pour me demander comment la récupérer sans être membre)
Si tu n’es pas encore membre, tu peux le devenir par là : https://financialhypergrowth.com/
(Tu dois l’être avant ce vendredi soir pour avoir accès à cette édition samedi matin)
Greg