Ce groove de Teddy va avoir bien plus de sens pour toi si tu as lu mon mail de mercredi dernier, « Les mails pour Bubble ».
Yo Bubble,
Comment ça va la vie aujourd’hui ?
J’ai écouté la dernière interview en date de ton compagnon Greg.
Il a encore dit que tu étais son idole.
Que tu mènes vraiment une vie de chien.
Sans soucis aucuns.
Qu’il était même jaloux de voir comment tu passes tes journées.
Je n’ai pas beaucoup de détails sur ta vie, mais ça à l’air d’être vraiment une vie de chien !
Moi aussi en ce moment j’ai aussi une vie de chien !
Et cela depuis que ton satané Greg a envoyé une simple photo de sa nouvelle offre.
Sans commentaire.
Sans rien.
Juste une photo intrigante.
Encore un de ses tours de passepasse.
En vérité, j’ai tellement de choses à te raconter depuis que je suis Greg que je ne sais pas par où commencer.
La dernière en date par exemple :
C’était lors d’une de ces toutes dernières promos sur toutes ses formations.
Je voulais en profiter. Faire une razzia !
J’avais le budget.
Le timing était bon.
Mais voilà, dans la liste, il devait m’en manquer que 2.
Peut-être 3 grand max.
Surtout qu’il y a en une qui n’est pas encore pour moi.
Celle où il parle de comment payer moins d’impôts et tout ce qui avec.
Je vais la prendre un jour.
C’est sûr.
Mais, j’en suis pas encore là.
Toutefois, je sens que c’est en train d’arriver.
Car ton loustic de Greg m’a donc envoyé cette photo étrange qui m’a fait tourner dans mon bocal pendant deux jours.
Je me demandais :
» Qu’est-ce qu’il va donc me sortir ? »
Avec lui, je ne t’apprends rien, on est jamais au bout de nos surprises.
Bref, cette photo me hantait.
Et son titre aussi me rendait fou.
Il en disait long.
Et en même temps ça avait un côté confidentiel. Genre réservé à une élite ou un truc du genre. C’était clairement pas pour moi.
Mais bon ça me démangeait comme une crise d’urticaire. Je voulais savoir.
Juste pour voir son approche et sa matrice pour se jouer de ma curiosité.
Finalement, j’ai eu l’idée de me rendre sur le groupe privé. Et là, j’ai vu.
J’ai eu ma réponse.
Super !
Mais…il avait un hic…
Cette réponse a été très, mais très loin de calmer mon agitation.
Au contraire.
Si j’étais comme toi, j’aurais commencé à remuer la queue frénétiquement.
Et ça ne serait toujours pas arrêté aujourd’hui encore, je pense.
L’offre de ton compagnon était magnifique. Elle était faite pour moi.
Je te jure Bubble que j’ai cru un instant que les emails de présentation de cette offre, il les avait écrits rien que pour moi.
Comme s’il me connaissait par cœur.
J’étais dans tous mes états.
Je voulais absolument m’inscrire.
Mais quelque chose n’allait toujours pas.
Quelque que chose me retenait.
Et ça me tordait les tripes.
Mon hésitation n’était pas sur le prix.
Ni sur ce que cela allait m’apporter.
Tout ça était clair pour moi. Non.
Mon souci c’était ma légitimité et mon besoin d’approbation.
Je l’ai remarqué suite à un autocoaching rapide pour comprendre qu’est-ce qui me retenait exactement de sauter sur cette offre qui était taillée pour moi.
Quelle était donc cette peur ?
Et c’est à ce moment-là que j’ai senti que mon existence était en train de basculer dans une vie de chien.
J’ai donc suivi un autre des conseils de Greg :
« Faire ce qui nous fait peur est souvent la meilleure des choses à faire. »
J’ai donc mis ma CB pour m’inscrire en étant flippé comme un mouton qui va se faire tondre.
Mais tu veux que je te dise le plus beau dans cette histoire mon cher Bubble.
Ce n’est même pas le premier call qu’on a eu avec le groupe. Ou l’exercice que Greg m’a demandé de faire.
Ni même en rapport avec le business.
Non…
C’est que j’ai réalisé un pas de géant sur comment je fonctionnais.
J’ai découvert une put* de faille en moi.
Dès le lendemain, j’ai pris des mesures drastiques pour éradiquer cette peur qui m’attachait exactement comme un éléphant de cirque à son petit piquet.
J’ai compris que je pouvais me briser ma chaine.
Et au moment où je t’écris, mon cher Bubble, je me sens libéré.
Libre de penser.
De dire.
De faire…
… et d’être.
C’est pourquoi depuis, tout comme toi Bubble, je vis vraiment comme un chien.
Je fais ce qui m’éclate le plus en étant complètement détaché des résultats.
Je fais comme Greg m’a dit de faire.
Je ne me pose plus de questions.
Avec ton compagnon, je suis entre de bonnes mains.
Je sens que je vais vivre cette année à la vitesse d’un cent mètres même si c’est un marathon.
J’écris tous les jours…
Je me sens merveilleusement bien.
Allez je te laisse là-dessus, Bubble. Profite bien de ta vie de chien
A très vite,
Je pense que je t’écrirais chaque jeudi.
TeddySan
Bubble a sa « tête de content » quand il lit ça.
Pas juste parce qu’il voit déjà une transformation aussi rapide, juste après une séance avec son loustic de marketeux de patron.
Mais parce qu’il y a beaucoup de leçons hyper puissantes ici.
Je te recommande d’ailleurs de relire tranquillement ce que Teddy a écrit, et de te les noter.
Puis de réfléchir dessus.
Et encore, tu n’as pas tout le contexte ici.
Parce que Teddy se « cachait » derrière un projet quand il est arrivé dans The Secret Society.
Quelque chose sur lequel il travaillait depuis un bon moment.
En mode « c’est ça mon truc, et c’est ça que je dois faire ».
Sauf qu’on ne la fait pas à ton loustic de marketeux.
Qui a, sans prétention aucune, développé un sorte de 6e sens pour détecter direct ce genre de truc.
(Heureusement, en même temps, vu le nombre de séances de coaching que j’ai données depuis près de 15 ans, et le nombre d’entrepreneurs différents que j’ai accompagnés)
Comme quand on se ment à soi-même.
Comme quand on se cache derrière quelque chose.
Comme quand on a peur de faire ce qui nous fait vraiment vibrer.
J’aurais tout à fait pu aider Teddy sur le projet avec lequel il est arrivé.
Et je suis sûr que c’est ce qu’auraient fait l’immense majorité des coachs en marketing.
(Beaucoup n’auraient même pas mis le doigt sur le « vrai » truc, je suppose…)
Sauf que les chances qu’il ressorte de son année dans The Secret Society avec de gros résultats auraient été faibles…
A méditer, si toi, tu es coach en business ou marketing, comme c’est le cas de beaucoup sur ma liste.
A méditer, si toi, tu bosses sur un projet, tout en sachant bien au fond de toi que ce n’est pas le vrai truc qui t’anime.
A méditer, si tu n’oses pas faire ce que tu sais que tu devrais faire, parce que ça te fait peur.
Si c’est le cas, d’ailleurs ?
Tu peux m’écrire, pour qu’on se fasse une séance ensemble.
Surtout si tu penses que ce n’est pas encore le moment pour toi.
Parce que tu n’es encore assez « avancé ».
Parce que que ce n’est pas du tout la question…
Les seules questions qui comptent ?
C’est est-ce que tu dans le brouillard sur ce que tu devrais faire pour arriver là où tu aimerais être ?
Ou est-ce que tu es au clair sur ce que tu devrais faire ?
Est-ce que tu préfères tâtonner pour trouver par toi-même tes propres réponses (et tu sais que ça peut durer longtemps) ?
Ou est-ce que tu veux gagner des mois, si ce n’est des années, avec quelqu’un qui va te poser des questions auxquelles tu voudras sans doute vraiment réfléchir ?
Et, last but not least :
Est-ce que tu es prêt à être bousculé, et faire un virage à 180 degrés si nécessaire ?
Greg