(🦊N°1) La leçon de ce joueur NBA

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🦊 LE MAIL DU RENARD N°1 :Voici une de mes bonnes rĂ©solutions de 2023. Le principe des bonnes rĂ©solutions est que bien souvent, elles restent des rĂ©solutions et non des…

🦊 LE MAIL DU RENARD N°1 :


Voici une de mes bonnes résolutions de 2023.

Le principe des bonnes résolutions est que bien souvent, elles restent des résolutions et non des actions.

C’est pourquoi je vous prends en témoin en l’écrivant dans cet e-mail.

J’ai mis en place un plan pour avoir de meilleurs scores sur ma chaîne YouTube ainsi que pour mon activité du Disrupteur en 2023 (le C.A).

Une des briques de ce plan est de vous envoyer un mail très qualitatif par semaine.

Pour moi, c’est un véritable challenge parce que je déteste écrire.

Mais quand je vous dis que je déteste, c’est peut-être la tâche que j’aime le moins dans mon activité.

Bien qu’écrire permet de structurer sa pensée et de s’améliorer dans son discours, je n’aime pas ça.

Pourtant, vous ne devinerez jamais combien d’heures par mois je passe à écrire.

Entre les scripts de mes vidéos qui nécessitent plusieurs jours (en moyenne 5000 mots par script) et la rédaction du mensuel La Tanière (quasiment 5000 mots également), c’est un pan très important de mon travail.

Mais la réalité, c’est quoi ?

C’est que pour se différencier, il faut accepter de faire des choses que nous n’aimons pas.

Pour aller plus loin, des choses que les autres ne sont pas prĂŞts Ă  faire.

C’est la fameuse barrière à l’entrée dont je vous parle dans mes nombreuses études de cas.

À vrai dire, je repousse toujours l’instant où je dois écrire.

Mais le moment oĂą je dois le faire finit toujours par arriver.

J’ai lu un excellent livre sur le sujet qui s’appelle « Avaler le crapaud ».

Le concept est simple.

Faire d’abord les tâches qui vous enthousiasment le moins pour finir par celles qui vous plaisent le plus.
Ok ! Ok !
C’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire.
Mais prenons un peu de hauteur.
C’est votre rôle de Disrupteur
En plus de détester écrire, je détestais lire.
Sauf que je prenais le problème par le mauvais bout.
Dans un premier temps, il ne s’agit pas de lire pour lire, mais de lire quelque chose qui nous plaise.
C’était le cas avec les Comics, les bandes dessinées américaines Marvel pour être précis.
Inutile de préciser que pour améliorer mon expertise, à part concernant les super Slip, ce n’était pas ce qu’il existait de mieux.
Puis un jour, je suis tombé sur un livre.
En fait, non !
C’était plutot LE livre.
J’en parle plus en dĂ©tail dans cette vidĂ©o juste en dessous.

Entretien très enrichissant pour comprendre les mécanismes de l’innovation.

Ce bouquin a provoqué chez moi un déclic.

Résultat, je me suis mis à lire de plus en plus concernant les sujets de la créativité, de l’innovation et de l’image de marque.

Arrivant mĂŞme Ă  lire un livre par semaine sur le sujet.

Je suis un homme de chiffres.

Et j’espère que vous aussi parce que naviguer sans chiffres, c’est naviguer sans boussole.

Nous souhaitons aller quelque part, mais nous ne savons pas oĂą nous allons.

Un livre par semaine c’est 4 livres par mois.

48 par an.

Si nous prenons une moyenne de 300 pages par ouvrage, nous arrivons Ă  un total de
14 400 pages par an.

Évidemment, si je vous dit aujourd’hui que vous devez lire 14 400 pages par an pour vous améliorer, vous allez me regarder et me dire « ouais super ! ».

Il s’agit de découper l’objectif en petites parcelles.

La fameuse théorie des petits pas.

Commencez simplement par lire 20 minutes par jour.

10 minutes le matin, 10 minutes soir.

Puis, au fur et Ă  mesure, vous augmentez la cadence.

Il y a une question essentielle Ă  vous poser.

Qu’êtes-vous prêt à faire que votre concurrence ne fait pas ?

Parce que je sais pertinemment qu’en m’améliorant sans cesse, c’est un processus permanent, j’augmente ma compétence.

Je m’éloigne ainsi de ma concurrence.

Très peu lisent 14400 pages par an.

Et c’est valable dans tous les domaines.

Le regretté basketteur Kobe Bryant appliquait cette stratégie.

Quand ses partenaires arrivaient très tôt sur le terrain de basket pour s’entraîner, Kobe était déjà là.

Il était arrivé aux aurores.

Et il repartait après tout le monde.

Si nous multiplions le nombre d’heures supplémentaires durant lesquelles il s’entraînait par le nombre de jours dans l’année, il devenait irrattrapable.

Pour aller plus loin, même psychologiquement, c’est très dur de suivre un tel rythme.

Ses partenaires qui étaient là très tôt, observaient que lui était là encore plus tôt.

Psychologiquement, c’est très puissant.

« C’est un surhomme comment il peut faire tout ça. »

Kobe Bryant nomma cette stratégie la Mamba mentalité.

Il en parle en détail dans cet excellent livre avec de très belles photos.

Autre cas de figure, dans un autre domaine, le sulfureux Andrew Tate.

Si nous nous arrêtons à l’instant T, nous pourrions croire que c’est juste un personnage qui a des propos clivants.
La réalité est tout autre.
C’est un ancien champion d’échecs.
Jeu qui permet d’être ultra focus et également de planifier ses coups en amont.
Idéal pour les personnes qui font du business.
Je sais de quoi je parle puisque j’adore jouer aux échecs.
Mais ça, je vous en parlerai peut-être dans un prochain e-mail.
Andrew Tate est Ă©galement un champion de kick-boxing.
Là encore, savoir encaisser les coups, donner des coups, ça s’apprend et ça prend du temps.
Quand vous ĂŞtes tous les jours sur le ring Ă  prendre des coups, vous savez encaisser.
Je vais m’arrêter là sur ce personnage parce que j’ai réalisé une étude de cas très complète que je vous invite à regarder.

Ériger cette barrière à l’entrée vous permet de vous éloigner de la concurrence, de vous différencier en devenant très qualitatif sur votre fond, ce que vous délivrez.

Maintenant arrive la question Ă  1 000 000 de dollars :
Qu’est-ce que vous êtes prêt à faire aujourd’hui que votre concurrence ne fait pas ?
Ou mĂŞme mieux, ne pourra pas faire ?
Répondez-moi en retour de cet e-mail, je lirai toutes vos réponses.

Si ce type de contenu vous a plu alors La Tanière vous plaira encore plus.
 
Franck Maes
 Image de marque, innovation et créativité.
« En devenant la copie d’une copie, on se transforme en photocopieur »
 
 

Maes Franck, 2915 Olgletown Road #2918, Newark, DE 19713, États-Unis


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